Re: The Ruggiero Mob : Part XIV

[Neil McCauley]

Timoots avait le meilleur contrat qu'un associé puisse recevoir de la part des mades. Ce contrat sur Freddy aurait pu lui assurer une place au soleil, mais il a tout fait capoter. Il y a toujours un certain nombre de paramètres et de règles à respecter dans notre milieu. Buter un mec dans le bureau d'un gros bonnet n'est pas acceptable. Mickey, de son coté, voulait laisser une chance à Timoots, ne voyant que le fric qu'il pouvait rapporter, mais ce n'est pas acceptable pour ma part. On doit faire ce que l'on doit faire, peu importe le fric en jeu. Quelle aurait été la prochaine étape si Timoots restait en vie ? Une balle dans la tête de Mike, je vous le dit moi. A force de se coucher pour du fric, la crainte s'effrite, et de la s'infiltre l'eau qui petit à petit érode et déstabilise la base,  les pieds d'argile d'une famille, qu'elle soit Ruggiero, Bonnano, ou encore Phily qui n'en est que le meilleur exemple. Carlo Gambino a fait cette erreur vis à vis de Gotti, voyez le résultat 20 ans plus tard. Nous avons fait ce qui devait être fait. Que ça fasse chier Mickey ou le vieux Franky, je m'en contrefiche, c'est grâce à notre conservatisme mafieux qu'ils resteront à leur place et que ce système perdure et perdurera encore.

Je ne vais pas vous cacher que j'ai profité de l'occasion pour lui arracher une bonne somme avant de le liquider. Bruskie appelle ca une Benedotti. Pour ma part, j'appelle ça la routine, ce Benedotti n'a rien inventé, c'est toujours comme ca que ca se passe la plupart du temps.

Timoots est à l'image d'une majorité de trous du cul de la génération 90' qui suivirent. Incontrôlable, imbu de pouvoir, d'une extrême violence, voulant tout et tout de suite, mais en même temps respecté et formidable Moneymaker. Comme dirait Andy, on a besoin de tout les Timoots qu'on peut trouver, mais on survit grâce à nos règles, à nos codes, à nos traditions. La survie d'une famille ne dépend pas du fric qu'elle peut générer. Malgré cela, pour les générations suivantes, ce petit con restera à leurs yeux, non pas ce trou du cul qui a bafoué tout un tas de règles et principes avec son équipe, mais l'un des plus grands moneymakers de cette ville.

[Grigor Kehiayan]

R.I.P.

[Brandon Pham]

[Rocco Clavani]

Pas mal Sally, mais retire le mod que t'as qui rend ton jeu laid, je t'en supplie. C'est un viol pour les yeux de les regarder.

C'est juste l'effet bloom du color mod que j'ai oublié de désactiver.
Sinon épic la série Moe !

[Don Spinosa]

[Eldar Panova]

Magnifique Moe, R.I.P moi.

[John Defendis]

Au top la narration Giacky.

[Anthony Zamora]

J'commençais à faire rentrer de l'argent, après mon enveloppe merdique de vendredi soir, je devais vraiment me sortir les doigts, et vite. Alors j'ai décidé de bosser avec ce Joey, il me ramenait du fric, m'avouait des trucs digne d'un vrai ripou, comme à la télé. Je voulais tripler mon enveloppe avant vendredi et garder la moitié pour moi, bien sûr.

[Fredrik Johansen]

Money, money..

[Anthony Zamora]

Cool Robert.

[Anthony Zamora]

Je proposais mon amitié et ma bienveillance, la sécurité, les barmans et les gonzesses aux juifs de Yiddish, et devinez-quoi ? J'avais réussi à leur faire accepter 5 putain de bucks, mais ils devaient "en parler" entre eux d'abord. Quoiqu'il en soit, la seconde étape, ça sera la violence, c'est comme ça qu'ils font les autres quand ça coince.

[Fredrik Johansen]

[DeAngelo_Porter]

[Andres Salinas]

Juste magnifique, très bon boulot Moe.

[James Park]

Epic Giacky.

[Shane Hodges]

Edité : Autant pour moi. Désolé.

[Invité]

C'est pas la partie, j'crois y'a une partie explication entre joueurs ou un blabla. #scott

Putain c'est classe MOE.

[Don Spinosa]

[Nelson_Belacte]

[Dieu Giacconi]

Excellent James.

[Anthony Zamora]

Enola Gayyyy:

Le petit con que j'suis essayait de poser sa patte sur quelques commerces, à coup de contrat hebdomadaire à 5 plaques, ça pouvait vite devenir lucratif. J'suis allé voir les concurrents, de War Sex, en leur expliquant quelques bases sur la concurrence.

Je reviens de chez moi le soir, et devinez qui je retrouve, cet enculé de Sonny Montagna, le Scarface européen, eh' eh'... Et vous savez ce qui me gêne le plus là-dedans ? C'est pas qu'il m'ait prit pour une tarlouze, mais qu'il ait mal jugé ma fantastique veste en cuir claire, après tout, on arrive nu devant Dieu, comme toutes les minettes de Hookers...

Ah, et c'est aussi à ce moment là que j'ai compris que Jimmy m'rongeait jusqu'à l'os, après mon club, c'était cet enculé de Montagna. Et j'me suis précisément dit, Jimmy, si un jour y'a un paquet de Bucks, tu m'las mettras aussi profonde que le sénégalais de Brazzers.

Une affaire qui tourne mal, Paulie décoche une putain bastos sur un juif de Yiddish, ils ont mon nom... Je me retrouve piégé, alors on finit quand même "proprement" les choses. Mais j'me suis cru dans le film de Scorsese à la toute toute fin, l'adrénaline au paroxysme, l'anhélation chimique et la paranoïa elle aussi poussée au plus haut avec ce putain d'hélico. Et si j'vivais un film, nom de Dieu de merde...

-A la tienne, Paulie...

[Adam Stompanato]

[Leland Brancato]

[Jose Perez]

[Brandon Pham]

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