It's over Armando.

[Invité]

Can't fuck with da pintà.

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I.San Fierro Azul Flats.

Il existe dans notre société, de multiples groupuscules qui prônent des principes particulièrement racistes et violents, ces groupes, dût à leurs croyances et fondements sont rejetés de la société et sont condamnées à vivre dans la misère la plus profonde, oubliées et cachées par les médias.

San Fierro est, après Los Santos, le terrain de jeu préféré des gangs pour évolués, son architecture pentue permet aux "gangs" qui contrôlent la ville de s'affronter plus violemment et d'entretenir un climat de terreur constamment, Armando Orozco, ouais, c'est moi, c'est ce que je suis aux yeux du gouvernement fédéral, une larve lambda d'mes deux qui est censé engraisser les capitalistes et toute la fine équipe de fils de putes qui nous dirige, si j'ai choisis de vivre différemment, de vivre par mes propres règles c'est que j'ai ouvert les yeux, j'ai compris que personne ne pouvait nous tirer des sables mouvants dans lesquels nous sommes. J'devais avoir quoi... douze ans ? Ouais, environ 12 ans quand je suis devenus un homme, j'vous parle pas de conduire une tire, de s'acheter de l'alcool, j'avais déjà tout ça, j'étais un de ces gamins qui n'avait pas foi en ce système de merde, j'étais pas programmé génétiquement pour ramener des bons résultats au niveau scolaire, j'avais pas le pedigree de tout ces gamins lobotomisés qui ne pensent qu'a satisfaire leurs parents. Moi j'avais choisis ma voie, ma destinée, je l'avais tracée dès le moment de ma naissance, j'étais condamné à finir comme ça.Los San Fierro Azul Flats, c'est pas les clichés télévisés, et ça me plaisait bien comme ça, je crois qu'a dix-neuf piges j'avais cerné le monde qui m'entourait, non j'étais pas devin, j'avais juste vécus dans la merde, j'avais frappé, extorqué, mutilé des.. pas mal de personnes.. mes actes avait fait de moi un de ces fils de putes qui se croyait intouchable, j'avais rien compris au film, je vivais berné d'illusions, dans une sorte de boite où la violence régnait.
Depuis mes "13 secs", j'avais oublié mes parents, je n'avais d'yeux que pour mes frères, on contrôlait une putain de rue à San Fierro, en périphérie de la ville, vous savez quoi, une douzaine de fils de putes qui sont aux abords de la route pour te refourguer de la merde coupée à l'Ether ? Ouuais c'était nous ouais, on était les rois du monde, l'argent coulait à flots, comme partout chez ceux qui vendait de la dope. Sauf que nous, on avait pas la tête au frais, j'devais avoir 20 ans, on avait tellement d'argent qu'on se mettait à prendre de la came, c'est à ce moment là que tout à foiré joyeusement, quesque tu veux que des connards grillés du bocal puissent avoir une longueur d'avance sur des flics qui mangent des donuts ? C'est mathématiquement impossible, j'avais beau avoir le nez dans la merde, je sentais que tout allait s'effondrer, comme si je savais que le Temple Maya allait tomber avec fracas dans les abîmes des Enfers, je savais bien qu'on allait finir derrière les barreaux, alors j'ai décidé de m'extirper de ces conneries, j'avais.. je sais pas si j'avais ouvert les yeux une seconde fois ou si j'me faisais fister violement une fois de plus mais j'avais plié baguages et j'avais pris la route direction Las Venturas, je pensais pouvoir partir tranquillement...

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II.It's Over.

"LAS VENTURAS POLICE DEPARTMENT ! STOP YOUR CAR NOW !" Bordel, j'men souviens encore de ces paroles de merde.. ce flic, Hernandez, il était sur moi à San Fierro, sur mes frères, il avait été jusqu'à demandé sa mutation sur Las Venturas pour continuer à me filer tranquillement, je roulais, il devait être trois heures du matin, j'avais les yeux plus fermés qu'un chinois en personne, aussi blanc que la Vierge elle-même, j'engoissais à l'idée de refaire ma vie ailleurs, faut pas croire qu'on puisse sourire et se tirer comme un renard car on l'a décidé, y'a toujours quelque chose qui nous retient, une femme, la famille, les amis, l'argent, la routine.. l'ennui.. ouais, je crois que je me faisais chier et rien que l'idée de retrouver de l'adrénaline, ça m'épuisait, je roulais, roulais, sans m'arrêter, je pissais dans des bouteilles pour éviter de m'arrêter, je pensais juste à sortir de ce tunnel, mais.. c'était pas une putain de lumière blanche au bout, ça ressemblait plus à un gyrophare de mes deux, bordel, il était là, face à moi, le canon de son remington pointait sur mon pare-brise, seul, comme un lion attend une frêle proie agonisante qui court tant qu'elle le peut encore, le regard féroce, le souffle coupé. Il était là, me fixant, chaques mètres me rapprocher de mon dernier adversaire et m'éloigner de la liberté, j'avais pensé à accéllèrer, tu sais ? Attrapper mon automatique, le calait par la fenêtre et tirer tout en accéllèrant, mais.. je m'étais pissais dessus.
Après les éternelles secondes de frustration mon pied appuya machinalement sur la pédale de frein, mon carrosse s'arrêtait face à lui, Herdandez! Fumer! Enflure! Je ne savais comment qualifié ce chacal, il était là, fier, le buste bombé, je l'ai vu attrapper son talkie-walkie et murmurer quelques mots, j'avais retrouver le contrôle de mon corps et je m'étais décidé à lui foutre une belle branlée à main nue, mais lorsque je brandis mon poing en l'air, un souffle de ventilateur géant vînt à me perturber, j'ai, en un millième de seconde posé la main sur la crosse de mon flingue qui se trouvait à portée pour coller une balle dans la tête de ce fumier, lorsque j'entrepris mon acte, une balle me transperça le bras! BOUM ! A terre, je pissais le sang.. je voyais ma triste vie de pédé frustré défiler sous mes yeux. Quelle victime j'avais même pas portée mes burnes, moi qui me revendiquait prêt à tuer lorsqu'il fallait poster une vidéo sur NETWOOKS. En quelques secondes, une armada de paysans armés deboula autour de moi, menotté, coincé par une camisole de force, le tout dans la voiture d'un agent fédéral, la virée champêtre prenait de plus en plus des airs des de valse mortelle, je fixais perpétuellement l'horloge du bureau où j'avais atterris.. il devait être sept heures du matin, deux heures qu'on me questionnait sur des conneries de "eMe", j'en savais rien, enfin j'en savais mais.. juste qu'il pouvait te descendre même si tu léchais des trans' à Bangkok. Résultat ? J'ai rien craché du tout, je suis tombé pour trafic de stupéfiant et trouble à l'ordre public, j'ai passé quelques heures dans une cellule d'un village appellait Fort Carson, il était sûr que je ne tomberais pas nez à nez avec un de mes pairs, manque de chance, Cesario "Cee" Guetterez était un vieil homme de San Fierro qui voulait montait son entreprise criminelle dans la campagne, voyant que je le connaissais, le shériff demanda à ce qu'on me transvase dans un autre bocal, j'avais l'impression d'être une vulgaire mouche qu'on ne veut pas tuer mais qu'on jette à droite à gauche pour faire bonne figure.
Bang! Le lendemain.. bordel.. un bus s'arrêtait devant le batiment, on avait de la route apparemment, j'étais le seul détenu et ces enculés avait affréter un bus rien que pour moi. Je me sentais fier, jusqu'au moment où j'aperçus, après quelques 8 heures de routes les murs de l'impénétrable prison fédérale de LOS SANTOS! Si vous voulez mon avis, ça allait puer la merde là-dedans, personne à qui parler, rien à faire hormis faire le dos rond pour les dix prochaines années. Mais les gardiens m'avaient questionnés, j'avais compris que jouer les rebelles ne m'apporterait que des emmerdes, j'avais balancé que j'appartenais à un gang démantelé  d'affiliation sureños, enfaîte, ça m'avait juste servit à ne pas me retrouver dans le bloc des nègres ou des blancs, j'avais une chance, infime soit-elle de survivre.

(( Ecrit en 20 minutes, je le retravaille demain. ))

[Rosario Barajas]

Tres bon background meme si tu l'as fais en 20 min c'est du lourd t'as la plume d'un ecrivain.

[Lewis Griffin]

Bon niveau littéraire, cependant, ne te crois pas obligé de mettre des insultes partout pour être persuasif. Les mots ont un pouvoir qui dépasse celui de la haine.

[Invité]

J'aime bien

[Don Spinosa]

Du lourd gros, continues.

[Juan Romero]

C'est du bon boulot !

[Invité]

Bon niveau littéraire, cependant, ne te crois pas obligé de mettre des insultes partout pour être persuasif. Les mots ont un pouvoir qui dépasse celui de la haine.

Les insultes c'est vraiment pour montrer que c'est la personne qui fait un auto-récit et vu qu'Armando est un personnage très violent et très nerveux voir bi-polaire donc ça colle au personnage, compare avec mon autre background et là il n'y a aucune insulte hors-propos oral.

http://forum.cmlv-rp.com/t228724-lawrence-genoa-time-traveller-up-le-09-06-2013?highlight=time

[Lewis Griffin]

Ah non, mais on comprend très vite que c'est raconté de vive-voix, ça y a aucun souci. C'est pour ça que je te dis que c'est pas nécessaire les insultes récurrentes pour qu'on comprenne sa présentation.
Après, si les insultes correspondent à la personnalité de ton personnage, tu es le mieux pour en parler.

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