Faradji Ibraham : The Arab History [CHAPITRE 4 EN LIGNE]

[Faradji Ibraham]

Chapitre 1 : La naissance dans la souffrance.

Oran, une des plus belles villes d'Algérie, tout en étant une ville portuaire de la mer Méditerranée à 432km de la capitale Alger, elle est dominée directement à l'ouest par la montagne de l'Aïdour.

Je me souviens plus très bien, mes Zaran mon grand frère me l'a raconté, je suis né dans un hôpital disons banal avec une jolie petite infirmière à mes soins, ma mère Amna me tenait dans ses bras.
La rougeur de ses joues flambait sur son visage, les larmes de joies coulantes sur les paupières de mon père Lahcen.
Je suis le dernier enfant de la famille Ibraham comportant 2 fils et bien-sur 2 parents, petite famille d'origine Magrébins, nous avions plusieurs dettes envers l'état.
Un jour, alors que je me rendais à l'école avec mon grand frère, mes deux parents ont étés assassinés dans un restaurant près de la mer par des terroristes, morts sur le coups.

Les agents de l'état se sont mis à rechercher les terroristes, tous arrêtés dès les 24 heures qui suivaient, tout ça pour de l'argent..

Après avoir perdus nos parents, Zaran et moi avions étés séparés directement, vu qu'il était majeur et moi toujours mineur, il fût s'installer dans son propre appartement et moi dans une famille d'accueille.
Il me manquait terriblement, je priais pour lui tout les soirs avant de me coucher, les repas avec mes nouveaux parents étaient tristes, je les haïssais.
Je me souviens plus très bien de leurs noms, mais de leurs façons de vivre, ça, je m'en souvenais, ils étaient extrêmement riches et ça, c'était leurs plaisirs, leurs passions.
Toute l'argent qu'ils jetaient par la fenêtre, ça me rendait malade, l'homme offrait des robes très chères à sa femme, ils m'avaient même acheter un scooter, ça me rendait la nausée tout ça.
Zaran me manquait terriblement, je n'avais plus de nouvelle de mon frère, qu'est-ce qu'il trafiquait de son côté? Était il mort lui aussi? Personne me parlait de lui.

Un matin, en me réveillant, réveille qui était très dur, j'avais regardé la télé jusqu'à 5 heures du matin pour ensuite me coucher, c'était horrible.. Ce matin là, en me levant
ma "fausse" mère venue me raconter une belle histoire, d'un homme allant en Amérique pour y chercher de l'argent et vivre dans un luxe moderne, mais par derrière, je voyais bien que cette histoire
avait un sens, mais lequel?
C'est après avoir reçu un sms de mon grand frère que j'ai directement compris ce qu'il ce passait, il était partie en Amérique dans la ville de Los Santos, non pas en tant qu'immigré mais en tant que
chercheur d’emploi, à ce moment là, j'ai fondu en larmes, je savais que je venais de perdre ma famille entière, que je ne reverrais plus jamais mon frère.

Chapitre 2 : La théorie mené en pratique.

Un jour, en allant en cours, comme tout les matins d'ailleurs, je fis la rencontre de Raïm, un gars de mon âge, qui avait un père marin, il me racontait tout ce que son père faisait durant ses journées.
J'ai appris par l’occasion, que son père allait lui aussi à Los Santos transporté de la marchandise, de l'essence, il m'expliquait que son père travaillait à mi-temps, mais quand il allait en service, il partait 1 semaine dans le mois.
Après les cours, je fis une action qui était l'une de mes premières marches dans l'illégalité, la surveillance de Raïm jusqu'à chez lui.
Arrivé 10 minutes après Raïm chez lui, je fis ouvrir le coffre de la voiture garé devant chez eux, pour ensuite, mis introduire et refermer la portière.

Le son du moteur s'alluma à 10h00 du soir, je commençais à avoir peur, mes faux parents devaient s’inquiéter, sur le moment, j'en avais rien à faire de leurs histoires.
La voiture se mit en marche, j'ai crus entendre une radio engourdir la voiture de musiques et après avoir fait 1 bonne heure de trajet, le moteur coupa, et la portière se referma directement, j'ai compté jusqu'à 100 dans ma tête pour sortir du coffre, j'étais au port.
Marchant accroupis en direction du bateau, je fis l'intrusion dans ses soutes pour aller directement à Los Santos en tant qu'immigrant.

Chapitre 3 : La découverte d'un visage commun.

A la sortie du bateau dans laquelle j'avais immigré, la sueur au front et l'odeur d'urine retentissait sur moi, je ne m'étais pas douché depuis 4 jours, dans ce bateau, il faisait très chaud, nous étions serrés.
En prenant le Métro avec le reste d'argent que j'avais, j'ai par la suite contacté mon grand frère via l'annuaire dans une cabine téléphonique, il était là, en vie, il venu me chercher.
J'étais tout seul, dehors, devant le Métro de Marina, Los Santos, le froid me rongeait petit à petit, je semblais apercevoir quelque visages de tueurs au loin, mais ça ne restait que des civils pour moi, des simples citoyens.
Quand soudain, une voiture type Admiral apparue devant moi, j'en étais ébloui par les phares, la tête d'un homme que je connais est sortie par la fenêtre en disant "Salam frère, grimpe".
Le sourire me donnait un mal à la mâchoire, comme un fumeur accros qui passait son temps à tirer des petites cigarettes par-ci, par-là.

Le chauffage était dans la voiture, j'étais bien, j'étais fière de voir mon frère conduire cet engin, il ne semblait pas manquer d'argent, il m’amena directement à Santa Maria Beach où je pris le temps de prendre une douche et dormir un peu.


Le lendemain, en me réveillant doucement l'air heureux, je descendis les escaliers de l'appartement de Zaran pour ensuite le joindre dans la cuisine, il était là, le journal dans les mains, regardant celui-ci comme s'il était un homme
d'affaire visualisant le moindre petit détails pour enrichir son business.
Après avoir déjeuner avec lui, je me suis rendus chez Saïd, un ami de Zaran, nous avons fais connaissance, j'évitais toute parole inutile, je visualisais son caractère dans les moindres détails, comme si j'avais une mission, celle de devenir quelqu'un.

Chapitre 4 : Voler une voiture, oublier un délit.

C'est en ayant loué un petit appartement vers Vinewood à 200$ la semaine, que je me suis rendu compte que les moyens de locomotions à Los Santos restaient à désirer.
Le voisin de palier, George Rhamond, un Français d'origine possédait une voiture de luxe, elle était encore toute neuve, une belle Sultan à en crever vos yeux, je connaissais ses heures de sorties,
tout les matins, je le voyais partir dans sa voiture, mais un matin, alors qu'il était malade, je suis descendus vers celle-ci.
La voiture était bien-sur fermée à clefs, dommage, ayant commis aucun délit, je ne pouvais rien y faire, n'y même briser la vitre, ça m'aurait fait de la peine.
Alors que je buvais une bonne bière de marque Guinness dans un bar au bord de la mer de Santa Maria Beach, une personne me fit un signe, je me souviens encore de son surnom, le "Kanif" qu'il s'appelait, cet homme
d'origine italienne me proposa un marché, que je ne pu refuser "Je te rend un service, tu me rend un service, compris?".
C'est après lui avoir expliqué toutes les démarches de mon voisin de palier que l'homme s'empressa de sortir du bar, après 1 bonne heure d'attente, il revenu déposant les clefs sur le comptoir juste devant moi "voilà tes clefs" dit-il d'un ton ignorant.
Ce moment était miraculeux, j'étais comme la fois où j'ai retrouvé Zaran, l'humeur joyeuse m'entourait, j'allais pouvoir enfin conduire une belle voiture sans me soucier des problèmes, mais sans oublier, l'homme en face de moi voulait que je lui rende un service, qu'était-ce?
Devais-je tuer un homme? Kidnapper un homme? Brûler une propriété ou un bien? Non, loin de tout ça, il voulait que j'aille parler à une femme, sa femme, pour lui prouver que cet homme, que je connaissais que de surnom était un type bien et quelle ne devait pas le quitter.

Je racontais n'importe quoi à la femme, comme quoi l'homme devenait dépressif, disait qu'il allait se suicider s'il retournait pas avec elle, qu'importe, je m'en foutais, je voulais partir dans ma voiture.
La femme approuva mes paroles, et s'empressa de téléphoner à son homme pour lui dire quelque mot doux.
Première mission réussie, il me resta plus qu'a aller peindre le véhicule et acheter des plaques commerciales pour ne pas me faire inculper, mon plan marcha, le voisin ne me soupçonna pas d'un poils.

[Invité]

Bon début impatient de voir la suite !

[Marcus Rashard]

Yep bien vu Faradji.

[Faradji Ibraham]

Merci les gars, prochaine mise à jour bientôt.

[Alemdar]

J'aime bien, j'attends la suite.

[Faradji Ibraham]

MàJ : Chapitre 3 : La découverte d'un visage commun.


@Polat : Merci de ton commentaire, ça me fait plaisir.

[Edin Dijemir]

Bien, bien, j'attends la suite.

[Faradji Ibraham]

MàJ : Chapitre 4 : Voler une voiture, oublier un délit.

Merci Nihad, ça fait plaisir.

[Marcus Rashard]

J'aime bien fait pete le chapitre 5 ;D

[Invité]

Jolie chapitre Continue!

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