|Background| "Marabun†a" - Ricardo Velazquez |MSXIII|

par Jackson Reakins Ven 6 Mai - 14:59

"Jamais deux fois, petit Loco`... Puta' aquì, es la MS XIII ...
Tu reviendras pas foutre ton nez, sa c'est sur .... *Coup de feu*"

Capítulo | 1 | † - La rue, un Enfer.

|Background| "Marabun†a" - Ricardo Velazquez |MSXIII| 1119349552

Ricardo Velazquez, surnommé Marabunta, est un jeune homme âgé de 28 ans, qui aurait eu un passer mouvementer dans un des gangs les plus dangereux sur terre, la MS 13, il aurait vécu a Iberia, pendant son enfance, quartier difficile causer par le gang présents, et les problèmes politique.
Il aurait reçu ses 13 secondes, a l'âge de 9 ans. Son père était un ancien narco-trafiquant, et fournissais en grande quantités de l'héroïne et de la marijuana a plusieurs junkies du quartier ou il vivait ainsi qu'en ville.
Son fils révais d'être connus, et d'avancer dans ce monde de brute. Il n'y avait pas mille solutions, il fallait soit être des leurs, soit être sur leurs chemins.
Il ce fit tatouer au visage des tatouages représentant sont territoire, et son appartenance au gang de la MSXIII, deux mois après son entrés brutale dans la MS13. Il est en général, très calme, et a une tête assez sérieuse, comparable a une araignée, prêt a sauter sur sa cible une fois prit dans sa toile.
Le deale et les armes qu'il ce procuras, fit de lui un Vato` respecter du barrio, et il montrât ces preuves pour être deux fois plus, éviter, et deux fois plus craint de la part des habitants, et autres gangs rival, telle que les membres du Gang 18

Il mesure 1M81 et pèse environs 78KG il a le crane raser, assez muscler, moustache il parle "Spanglish" qui est le language dans les getthos a Los Santos, c'est a dire un mélange de l'anglais et de l'espagnol, il fume beaucoup et a horreur de bouger il aime être poser et que le biznesse viens a lui, il ne parle pas trop surtout pas avec des inconnus, il pratiques différents gestes qui ont beaucoup de significations propres, et peuvent provoquer différentes actions
Il porte rarement un vêtement sur son buste et préfère le laisser a l'air libre, on peut donc voir différent tatouage, y compris un énorme XIII sur le ventre, et différent tatouages au visage ( Comme sur la photo ).

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Ce matin, j'avais sentit en moi un manque important de couleur et de vie. En ouvrant les yeux, je ressentit les quelques rayons de soleils au contacts a mes yeux et mes joues, le champs des oiseaux ne ce fesais plus entendre depuis des mois, et le bruit des tracteurs ou des colts ce fesait entendre toute les heures l'avait remplacer.
Me fixant dans la tête que j'irais peut être crever en enfer un jour, je repensais n'ayant moin a ce que mon père m'avais dit sur les problèmes de la vie.
Jusqu'alors je n'avais pas encore rencontrer un réel problème. Je décidas de me relever d'un geste lent, mon draps trainais encore a moiter sur le sol, et mon petit ventilateur avait encore fais des siennes cette nuit. Soupirant, prenant sur moi ces petits problèmes mineurs, je passais lentement ma main sur ma nuque, tout en craquant lentement mon cou et en frottant de suite après mes yeux avec mes deux mains encore érafler par ses utilisations précédentes.
Qui aurait penser qu'un moment aussi beau que le sommeil, finirais aussi vite chaque soir, a chaque matin ? Personne ... Si ce n'est que Dieu.
Je décida d'aller dans ce que j'appelais encore ma cuisine ou les casseroles et les restes de mégot de cigarettes jonçais encore le sol. Fessant le minimum pour me frayer un chemin dans le désordre que j'avais laisser, moi et mes loco' j'arrivai enfin devant mon petit congélateur qui était en très mauvaise états et laissais percevoir des traces d'humidités, je l'ouvrit, puis saisit une bière, qui par chance avait réussie a être assez frais pour la déguster avec plaisirs.
J'étais buste nus, tenant ma bière a la main, mon jean avec des trous causer par des combats et des chutes assez brusques, quand j'entendis le bruit d'une grenade fumigène tomber a 2 mètres de moi.
Dans ces moments la .... Il n'y a pas dix milles solution ... Fuir, la prison, ou crever comme un pendejo.
Soudain j'entendis les troupes militarisé, déballer dans ce qui restais de ma casà. Vous savez, il y a une chose que j'ai regretter a cette instant, c'est le faite d'avoir envoyer ma bière dans le casque de ce puto.
Je me retournas rapidement et fit un bond a travers la fenêtre qui été légèrement refermer d'une taule, ce qui me provoqua une légère blessure au niveau de la jambe, car lors du saut, j'avais pas replier mes jambes assez vite, mais ce n'étais pas si grave, j'étais capable de fuir, enfin, d'essayer.
Trois mètre plus loin, je n'est pas compris comment j'ai fais pour tombez nez a nez avec un membre du gang 18 sur mon territoire.
Le pire c'est qu'il me pointais du doigt, j'ai compris alors qu'il m'avais balancer ...
Je fit un geste vif pour me relever, et courir a l'opposer de lui, je m'enfonçais dans la ruelle ou quand j'étais petit, je cachais mes cigarettes pour pas que mon père les trouve, mais quand on grandis on y change ses habitudes, la bonne nouvelle c'est que ce n'étais plus des cigarettes que j'y cachais, mais des armes.
Je commençait a froncer de douleur mes sourcils, et a serrer mes yeux, tendis que derrière moi c'étais un raffut totale, entre les femmes du quartier qui criait Alto' .. Laisser le, bref, ce genre de choses qui pour moi, était totalement inutile, vous pensez qu'une femme peut empêcher un militaire d'arrêter un mec qui avais buter un autre militaire ? Faut le faire je crois.
Je m'étais arrêter net devant une roche, ou je me mit a la soulever, je prit une machette de boucher que j'avais cacher.
Mais ici, on ne fuis pas. On tue pour son gang. Les militaires revenaient en force vers moi, armée de M4 rapidement.
Le membre du gang 18 ce mit a courir soudainement vers une autre ruelle, je n'avais pas perdue mon temps a le regarder faire, je fonças également vers lui, et la commença une petite course poursuites, tendis que je frappais rapidement sur deux trois casà en criant, vamos, vamos hermanos.
C'est alors que je vit débarquer deux trois, membres de mon gang, qui comprit vite ce qui ce passât.
Finalement, ce petit con avait frôler un grillage de trop, le voila tomber, le bras en sang, planter par un bou de ver qui était au sol.
Il fessait pitié, quand il essayât de ce lever, j'ai trouver étonnant que le petit José, un petit gars de 8 ans qui jouais avec son bâton a proximité, lui donna un gros coup de pied dans les dents.
Mais ce qui me mit hors de moi a cette instant ... C'est que ce hijo de puta, sortit son glock, et visa le petit ...
Mes yeux s'ouvrirent rapidement, et je serras les dents, derrière moi arrivaient les militaires de plus en plus proches.
Quand ce con hésita finalement a tirer, il visât le petit, puis me regardas quand il tournas son arme et la pointas vers moi, j'avais le choix, je lui coupe le bras, ou je crève.
Je ne sais pas si c'est l'adrénaline ou de la chance. Mais un coup de feu retentit. Géricò mon carnàl, avait tirer dans le bras de ce pendejo, soudain il ce mit a fuir, j'ai tout a fais compris, il avait vue les militaire derrière moi.
En une fraction de seconde, je me fit plaquer au sol, menotter, sous les yeux de Géricò, qui avait placer ses deux mains sur sa tête, les yeux remplies de larme et un visage qui fessait part d'une expression de peur.
Me séparant de mon arme, je commença a me mordiller la lèvre inférieur et me fit menotter, et tirer jusqu'à une voiture noir assez sales.
Le membre du gang 18 avait été laisser au sol, mon gang tombas surement sur lui.
Maintenant, la question que je me pose, c'est surtout, pourquoi les militaires n'ont t'il pas embarquer ce mec également, ou même aider ...

|Chapitre deux, très bientôt|.