Michael Bagarella, fuckin' life of Mickey Bags. [MAJ V3 29/06]

[Aiden Gatens]

Los Santos.. cette ville, je ne suis pas prêt de l'oublier. Dans cette ville ? J'ai tout fait, tout à 100%. Dans cette histoire ? Je vais vous expliquer tout ce que j'ai fais dans cette putain de ville.

Chapitre I. Ma vie d'enfant.
"La vengeance est un plat qui se mange froid."

On ne peut pas dire que j'ai eu la meilleure des vies, non. Je suis né à Chicago. A cette époque, j'étais un grand fan de baseball, j'en faisais même en club. Le problème c'était l'argent, le manque d'argent dans ma famille. Mon père, Daniel Bagarella était un Italien et avait immigré en Italie vers les années 1950. Il est arriver à Chicago sans rien du tout, ni argent ni rien. Il était pizzaboy, le genre de mec qui se promenait dans les motos et distribuait les pizzas. Il voulait tout faire pour moi, pour ma putain de vie, il faisait tout pour me payer ma licence, pour aller voir les matchs de baseball... Un soir, mon coach Eugène m'appelle dans son bureau.
"Bon écoutes Mickey, t'es un bon joueur mais on peut pas continuer comme ça.. Ton père n'arrive pas à tout payer à la fin du mois, je suis désolé mon grand mais je suis obligé de te virer du club, allez files."
A ce moment là, des larmes pouvaient être vu sur mon visage, un visage devenu désespérer. Je suis aller tout raconter à mon père, il a pris son manteau en cuire et ma emmené chez ma tante Lisa qui habite juste au dessus du terrain de baseball. Je regardais tout par la fenêtre avec mon pain au chocolat en main, je voyais mon père se battre. De l'autre coter du terrain, je voyais deux types avec des lunettes et des casquettes courir vers mon père en regardant de gauche à droite si il y avait personne. Ils étaient là, et un des deux gars avec une batte de baseball en main, ils commencèrent à assommer mon père et le tuer à mort. L'autre type trainait mon père dans un sac poubelle. Je pense qu'il y avait un autre truc en plus de la licence, peut-être que mon père devait une somme d'argent à ses mecs.. Depuis ce jour, je déteste le baseball. Suite à cette histoire, j'ai déménager à Miami où ma tristesse ne cessait d'être présente.

Chapitre II. Les affaires marchent comme sur des roulettes.
"Les amis de mes amis sont mes amis."

C'est lorsque je suis arriver à Miami que je commençais les trucs pas trop.. légal. Disons que j'avais rencontrer un gars à l'école, il s'appelait Paulie, Paulie Giacopazzi. Ce mec était un dealer, il faisait son business dans une ruelle près de chez moi et gagnait un max de pognon. C'est quand je l'ai connu que j'ai commencé à l'aider à vendre sa drogue. La vie nous a séparer lorsque sa famille avait déménager à Dillimore, une ville juste à coter de Los Santos. Moi à Miami, je continuais mon business. J'ai grandis là bas et appelais régulièrement Paulie pour lui demander de ses nouvelles. Dès que j'ai eu assez d'argent pour m'acheter une voiture, j'ai direct déménager à Los Santos histoire de continuer mes affaires avec mon amis Paulie. Quand je suis arriver, Paulie m'avait présenter à des types avec qui il bossait, Edward Monterigioni, Tony Carter.. on faisait une sacré équipe à l'époque ! Mais des connards de juifs ont tué Steel deux mois plus tard, Tony lui avait carrément disparu de Los Santos. Après cela, j'ai rencontrer les frères Amuso qui eux m'ont carrément mis dans le gros business. Steven Amuso avait lui eu une médaille par des gros bonnets au dessus de lui. Je faisais partit de son équipe et donnais mon enveloppe chaque semaine, il m'avait présenter un type, il s'appelait James LaCiota. C'était le boss de Steven, donc je bossais pour Steven et James. Après avoir ramener beaucoup d'argent, James et Steven m'annoncèrent une très bonne nouvelle, je pouvais faire une petite équipe dans un secteur. J'avais choisis Market Street, l'endroit près de l'Hopital et du Garage Reyes Motors. J'avais des gars qui bossaient pour moi comme Doni Patarazzo, Richard LoSciacia et Alfred Perogino, eux me ramenaient des enveloppes chaque semaine aussi.

Chapitre III. Los Santos et compagnie.
"Los Santos est la ville où l'on se sent chez soi quand on est de nulle part."

Steven et James avaient totalement confiance en moi depuis que j'avais mon secteur, ça change de l'époque où je bossais pour Bobby. Steven était très futé dans tout ce qu'il faisait. Joey Baccino et son frère, deux enculés de fédéraux me voulaient en taule, surement des potes de Bobby. Steven avait demandé à Joey de lui vendre une arme, celui-ci n'hésita pas à lui vendre, sauf que Steven avait appeler les flics entre temps, histoire de faire licencier Joey et son frère. Ça a bien évidemment marcher, à chaque fois qu'on avait un problème on avait juste à aller voir Stevie et c'était réglé. C'est pour ça que j'étais très étonné quand j'ai appris que Steven avait été perpétuité. Le soir où je l'ai appris, James m'appelle et me donne rendez-vous sur Market Street. Je rentre dans le véhicule, c'était un vieux taxis de la LSTA. Au volant, Christian Gianetto, un type très respecté dans le circuit interne et James côter passager. Ils m'annoncèrent que j'étais passer bras droit de James, j'avais eu donc le syndicat et compagnie. Je reçu ma médaille que deux trois ans après, j'étais encore plus respecté sur Market Street. Je n'avais plus aucune nouvelle de Freddie et de Doni, alors j'ai rencontrer un p'tit de Market, Jacob Malarese. Ce petit a bosser pour moi pendant longtemps, il était passer ma couille droite lorsque Dante Uccello, qui était mon ancien bras droit meurt du cancer. J'avais de plus en plus confiance en Jackie Reeze. Richard LoSciacia ramenait beaucoup de fric à James sur Little Italy, alors on faisait pas mal d'affaires entre mon cousin et moi. Il tenait une armurerie, un social club et une salle de jeux. Sur Market, j'avais toujours ma boutique, et je venais juste d'avoir ma salle de sport ! Chose que j'attendais depuis plusieurs années déjà, j'ai enfin réussis à l'avoir. Il y avait aussi Jimmy Caramante qui bossait pour James, lui aussi avait son équipe sur Marina. On s'entraidait tous, même si dans ce milieu on a pas d'amis. Ronald LaRocca, le cousin de Richie et mon cousin éloigné était aussi de retour sur Los Santos, il bossait pour Hogs. En bref, il n'y avait pas un jour où tu pouvais t'ennuyer, t'avais toujours un putain de truc à faire. Mais y'avait ses gars là, je pense que vous les connaissez.. vous savez, les fils de pute qui te doivent du fric mais qui mettent plusieurs années à te les refiler.. et qui se cachent.. ce genre de mec là..

A suivre..

[Sonny Falcone]

La classe.

[Aiden Gatens]

Merci l'ami

[Graham Oaken]

J'ai été payé pour dire que c'était bien donc:
Excellent! WOAAAAH!

[Aiden Gatens]

Fallait pas l'dire ! :p

[Lavaughn Roy]

Juste un mot à dire, exellent !

[Herman Richter]

Perfecto.

[Aiden Gatens]

Merci les gars !

[Slick]

Bien joué, mon petit.

[Aiden Gatens]

Merci Patrick, bonne chance pour ton projet.

[Lester Carver]

Franchement, c'est magnifique et vraiment excellent ! Super beau travail frère !
Malgré quelques fautes..

[Aiden Gatens]

-

[Aiden Gatens]

Image + Chapitre III. ajouter. (Chapitre III pas encore finit, j'ajouterai au file du temps.)

[Craig Massey]

Super le BG.

[Joseph_Baccino]

Super Mick' !

[Aiden Gatens]

Merci les gars, ça fait plaisir.

[Jawad Jewerly]

Sisi gros

[Aiden Gatens]

Merci Tony.

[Aiden Gatens]

Prochain chapitre : Je savais qu'un jour un pote se retournerait contre moi.. [Bientôt]

[Sonny Falcone]

Juste un mot à dire, exellent !

Quitte a dire un mot, écrit-le bien, on dit : excellent. :p

[Aiden Gatens]

Sonny, quitte à corriger :

à prend un accent et écris un s. Voilà (Ne m'en veux pas Horros ahahahah.) Sinon no flood sur mon background.

[Invité]

Bon travail.

[Aiden Gatens]

Merci. Chapitre IV ajouté.

[Steven Amuso]

Magnifique Mickey, surtout le passage où tu parles de c'bogoss de Stevie Wonder..

[Aiden Gatens]

Merci vieux.

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