Philip "Philly" Rosenberg

[Peter Filkowski]

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Philip "Philly" Rosenberg
La folie des grandeurs

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Note : Pour ce background, j'ai pris pas mal de risques, je m'explique. Il se passe dans le futur, une discussion avec un homme alors que l'histoire de mon personnage est déjà terminée à Los Santos. C'est mon personnage qui raconte son histoire, j’essaie d'être concordant avec les dates (j'en met le moins possible, sinon c'est mort). Philly sait déjà ce qui va passer, alors que moi quand je rédige, non. Donc, il arrivera que d'anciens chapitres soient retouchés, c'est pas impossible. Merci de votre compréhension, et de votre lecture.

Act 1

Philip,..
Phillip Rosenberg, un marginal d'origine juive ashkénaze, environs la cinquantaine, avachi sur son lit miteux, un verre de whisky a la main, raconte son histoire à un étrange interlocuteur. Il se trouve dans un appart délabré, à Chicago. Le deuxième homme, assis sur une chaise à bascule, un verre de whisky à la main également, fixe Philip avec un grand intérêt. Celui-ci viens de se laisser s'écrouler sur son lit, après environs 10 minutes d'un long monologue, le début de sa vie.
Son interlocuteur, que nous nommerons Harry, l'interromps de temps en temps avec des "Mhh" ou des hochements de tête légers.

« Donc.. j'suis né à Miami. Ma mère viens de Pologne, et mon père de Lituanie, ou de Russie de l'ouest, je sais plus vraiment. Alors, comme tu t'en doutes, j'suis juif, commença-t-il en faisant remuer sur sa poitrine une épaisse étoile de David. Un ashkénaze, comme tu sais. J'suis donc né à Miami, avec mon frère un peu plus jeune que moi, de 3 ou 4 ans plus jeune. Rodolphe, mais on préfère l'appeler Rody, avec les "potes". Avec la bande, quoi. Miami, pas beaucoup de fric à vrai dire, m'enfin on vivait quoi, ça allait. Avec Rody et Maximilian Aaronson, on l'appelait Maxi -je reviendrai sur lui, après- on faisait quelques coups pour se faire un peu d'argent et se payer des trucs, comme la plupart des jeunes de notre âge. A ses 21 ans, Maxi est parti pour Los Santos. Moi et Rody on a donc continuer nos coups, tout ça, jusqu'à la mort de nos parents alors qu'on avait... hum.. 23 ans? Ouais, dans ces eaux là. On est resté à Miami encore pas mal de temps, des petits boulots par ci par là, rien d'incroyable. A mes 32 ans, j'suis parti à Los Santos, c'est là que commence l'histoire réellement. Pourquoi j'y suis allé ? Déjà, grâce (à cause ?) de Maxi et de toutes les éloges qu'il pouvait me faire sur la côte ouest dans ses mails. Mais aussi et surtout d'un type que j'avais rencontré à Miami deux ans plus tôt, Pasquale Greco, dit Patsy. On l'remarque vite, tu sais bien qui c'est, le grand associé de Paulie Gravano, les patron de la famille Gambino, tout ça. On est devenus potes à Miami, puis il est reparti pour Los Santos, où il était basé. Quand j'ai décidé d'y aller aussi, c'était pour Maxi et Patsy. Mais arrivé là bas, la Gambino avait été démantelée et Patsy avait changé de pays. Mon frère m'a rejoins pas longtemps après, et on a revu Maxi. Au début, avec Rody, on vivait dans des motels tout pourris, vraiment de la merde, j'te dis pas. Mais, j'm'en foutais car Maxi m'avait dit clairement dans ses mails ce qu'il était dev'nu : une sorte de gros caïd respecté de tous, avec un gros palace, des nibards à profusion et un chauffeur personnel. Mais au final, cet enfoiré me l'avait bien mise dans l'os, car il avait juste un entrepôt délabré et il dormait tout habillé sur son bureau, à boire d'l'alcool à longueur de journée. L'alcool, ça détruit un homme, je te le dis, j'en ai vu des gars être détruits à cause de ça, je te le dis. Avec Rody et Maxi, on vendait quelques armes à des noirs pas loin de chez nous, c'était pas facile, c'est l'début hein. On a tous commencé de la sorte. Avec Maxi, c'est là qu'on a aussi commencé à développer ce qui deviendrait mon plus gros business avant d'aller en taule, les combats illégaux. On foutait deux blacks sur le ring, dans l'entrepôt désaffecté qui nous servait d'planque, et les gars pariaient. De plus en plus de personnes venaient pour parier, et quand mon combattant se "couchait", c'est là qu'on se faisait plein de thunes. Ca marche comme ça dans ce pays, tu bouffes ou tu te fais bouffer. Néanmoins, c'était rare que je truque mes combats, je m'étais forgé une réputation grâce à ça, on savait que personne ne se couchait dans mes combats. Mais comme disait le plus grand gangsters des Etats-Unis, une réputation prend des années à se forger, et quelques secondes à se détruire. Mon grand idole à l'époque, c'était Arnold Rothstein. Puis j'ai rencontré cousin Avi Cohen, et ma vie a changé. »

Act 2

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L'interlocuteur de Philly l'avait arrêté à ce moment là, et lui avait demandé qui était Avi, lorsqu'il l'avait rencontré pour la première fois, sa façon de se comporter, qui il côtoyait, et surtout ce qu'il avait fait pour Philly.

« Avi ? Je l'ai rencontré à mon premier Sabbat à LS. J'étais avec Rody et on avait été à une synagogue, près de Jefferson. Y'avait pas mal de juifs, comme tu peut t'en douter, mais c'est Avi et son pote, Ariel Goldberg, qui m'ont en premier interpellé. Moi et Rody on s'était mis derrière eux, ils étaient au premier rang, en train de préparer une arnaque à l'assurance, je crois. Ariel, je l'ai pas revu avant un bon moment après ce jour là, mais j'te reparlerai de lui après. C'est surtout Avi qui m’intéresse, là. En quelques sortes, c'est lui qui m'a lancé dans ma carrière. Il habitait dans une petite planque au bord de la mer, dans le nord. J'ai vite compris pour qui cousin Avi bossait réellement, pour Big Paulie, qui avait un cancer apparemment (c'est ce qui se disait dans la rue). Donc, moi et Avi on avait des prédispositions à devenir associés, tu vois ? Dans ce milieu, faut avoir les bonnes relations. Moi j'connaissais Patsy, lui bossait pour Paulie. Donc on s'est vite associés.
Avi possédait, par l'intermédiaire le Paulie, l'Alhambra, le Pig Pen et maintenant le Vinyl Countdown. Il était aussi sur le coup d'un resto casher dans le nord, je reviendrai dessus après.
Avec Avi, j'me faisais pas mal de thunes, tout en entretenant mes combats illégaux à côté et à me faire des relations à droite et à gauche.
Je m'étais déjà fais 60 plaques, de la part de Patsy, pour avoir buter Stacey Smith, elle bossait à la mairie, j'en sais pas plus. Je savais pas pourquoi Patsy voulait sa peau, j'en ai aucune idée et j'm'en fous, tant que j'ai mon salaire. On l'a donné à bouffer aux cochons, et j'ai reçu mes billets dans une lettre deux jours après ça.
Ça s’annonçait plutôt bien, pas mal de monde nous connaissait et beaucoup voulaient bosser avec nous, néanmoins on était encore une bande de merdeux.. »

Act 3

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Après avoir marqué une courte pause, Philly se redresse du lit sur lequel il venait de se laisser tomber. Son invité était toujours là, assis sur la chaise, friand d'en savoir plus.

« Hmm'.. Après ça, Maxi a pété un boulon. Il a braquer un 24/7, tu sais, les petits magasins merdiques tout l'temps ouverts.. bref. Il m'a appelé, j'suis arrivé, je regardais les barres de chocolat au fond du magasin quand tout à coup il s'est mis à braquer la caissière... et il m'a pris en otage avec bien sûr. Cinq minutes après, la cavalerie était déjà là, nombreux car il avait déjà tiré deux coups de feu. Ils ont fini par entrer à une vingtaine, Maxi les braquait avec sa poudre au nez et son flingue à la main. Il s'est mis à rigoler quelques secondes, avec plein de fusils braqués sur lui, puis il a ouvert le feu. Il a buter un gars, je crois, c'est pour ça que l'histoire a fini dans les journaux. Ils ont tous tiré sur lui, il a reculé de trois ou quatre mètres sans abuser à cause de la puissance des M4A1, troué de partout, puis s'est effondré sur un rayon. J'te raconte pas la suite... Une nana du FBI m'a braqué et a dit que j'étais un putain de coupable, j'ai fini en garde à vue pendant 48 heures avant d'être relâché.. Ils venaient de buter mon meilleur ami, mais le meilleur truc qu'ils trouvent à faire, c'est d'me coffrer ! Putain...
Peu après cet incident, et après s'en être remis, j'ai rencontré une bande de ritals. J'ai pas beaucoup tardé à faire le lien entre eux, ils bossaient tous ensemble, ils avaient tous la même classe donc ça se voyait. Y'avait Jerry Solari, Mike, Ray', Leather, Joe Jinx. Mon préféré c'était Leather, ce gars a une sacrée présence. Il sait te mettre en confiance tout ça, c'est ce qu'on appelle un homme d'affaire mon grand. Donc, pour un gars que j'connaissais un peu, un certain Max pare-balle, un gros costaud un peu bizarre de 1m80, j'ai commandé pour 300 kilo de matériel de l'armée à Leather, et 4 jours après, j'avais tout. Donc ce type était réglo, et il savait que moi aussi. Si je commençais à avoir un type comme ça dans la poche, au bout d'un moment j'aurai tellement de relation qu'on pourrait plus me toucher du tout. Donc j'ai beaucoup misé sur cet atout.
En plus, Ray et compagnie avaient organisé une soirée au Pig Pen récemment. 200 plaques qu'on s'est fait en une soirée à rien foutre. Comme Cousin Avi était absent, moi et Ari Goldberg on s'est chargés de prendre les sous, j'ai filé 15 plaques à Ray, 40 à Ari, et j'ai gardé tout l'reste. Encore une fois, c'est ça, un homme d'affaire.
J'ai donc pu m'acheter un appartement sur Yiddish street, un endroit où pas mal de juifs traînaient en permanence, dont Avi et compagnie, ainsi qu'un ancien ami à moi, Rony, Aaron Denovitz. Y'avait aussi le roi du porno, que j'avais rencontré quelques jours auparavant. Il était réglo et super sympa, un très bon homme d'affaire, l'un des symboles de la réussite juive à LS j'ai envie de dire. Je comptais beaucoup sur lui pour mes relations avec les ritals qui semblaient tenir la ville..

[Peter Filkowski]

Reservé, le background n'est pas du tout fini, je pose juste la base, je prévois des trucs sympa.

[Marchesi]

Je suis fan
Très bon style d'écriture, j'adore. Bonne continuation m'grand!

[Peter Filkowski]

Ooooh, ça me touche

[Neil McCauley]

Bon début ! j aime bien, le mix entre maxi et noodles ^^ "Max Aaronson"

[Walt Butchinson]

J'aime bien la dernière phrase.

[Peter Filkowski]

Beau background mec

[Jevon Rogers]

Je savais que t'étais pas net dans ta tête.. Auto-commenter son background, c'est de la folie !

[Robin_Calden]

Pas mal !

[Manuel Galvez]

J'aime pas

[Walt Butchinson]

Je savais que t'étais pas net dans ta tête.. Auto-commenter son background, c'est de la folie !

Clair par contre silly me fait un peut de la peine pour l'instanct il n'a qu'un commentaire ce merdeux haha.

[Peter Filkowski]

J'aime pas

Au pire y'a un truc qui s’appelle "argumentation"

[Manuel Galvez]

J'aime pas

Au pire y'a un truc qui s’appelle "argumentation"

Au pire y'a un truc qui s’appelle, "NO RAGE"

[Peter Filkowski]

Mdr

Bref, content que tout le monde aime

[Frank Ruggiero]

J'aime pas

Au pire y'a un truc qui s’appelle "argumentation"

Au pire y'a un truc qui s’appelle, "NO RAGE"

L'argument de n'importe quel joueur moyen de CMLV qui n'a aucune répartie, même sur un forum internet. "NO RAGE".
Lol, laisse tomber Philly, impossible de raisonner des gars comme ça.

[Gabriel Martinozzi]

Moi j'argumente ! J'aime pas..car c'est nul à chier ! Ou alors j'aime..car les irlandais aiment pas ! LOL ! Non sérieux, je lirai plus tard !

[Manuel Galvez]

Faut accepter la Réalité, Ton Back-Ground est moche, Et bâcler..Good Luck'

[Sally Caruso]

Faut accepter la Réalité, Ton Back-Ground est moche, Et bâcler..Good Luck'

Aucune mais aucune répartie, lol.

Des bons mots utilisés etc, moi j'aime bien.

[Peter Filkowski]

Pas grave Frank lol, c'est pas le seul comme ça dans ce serveur comme tu le dis x)

Sinon, merci tout l'monde. J'compte peut-être le continuer aujourd'hui.
PS : Ton message est moche, bâclé et rempli de fautes Francis*.

EDIT : J'ai édité l'acte 1 pour ajouter des oublis, et ajouté l'acte 2.

[Gabriel Martinozzi]

Je suis fan
Très bon style d'écriture, j'adore. Bonne continuation m'grand!

Arrête de faire des doubles comptes pour te féliciter toi même, sale imposteur !

[Peter Filkowski]

C'est pas un double compte, c'est Dominick Marchesi, un gars avec qui j'RP.

[Gabriel Martinozzi]

Fuck' tu m'as eu pour cette fois !

[Peter Filkowski]

Et oui, j'ai des vrais fans. (Bobby t'as qu'à créer mon fan-club si tu veux, je t'autorise.)

[Gabriel Martinozzi]

Merci, je m'en vais le créer sur le champs ! *jette des fléchettes sur une photo de Patsy accrochée au dessus d'une poubelle*

[Daniel_Daccacia]

Alors comme ça, Pascal le Grec a laissé place à Philippe Rose and Bêrk ?

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