Rita Squez, la rédemption ?

[Rita_Squez]

Je mettrais ma main à couper que vous tous connaissez le préjugé comme quoi les femmes magnifiquement belles ont paradoxalement un caractère particulièrement agaçant. Cette fille là, c'était tout à fait le cas, c'était un stéréotype vivant.

Étonnant, quand on regarde ses origines. Un père italien patron de casino, réfléchi, calme, posé. Une mère afro-américaine, silencieuse, discrète, efficace. Qui aurait pu croire qu'elle allait devenir la pire... salope possible, une fille sans scrupule, profitant du malheur des autres pour en faire son bien, capricieuse, exigeante, imbue d'elle même. Pourtant, tout n'avait pas si mal commencé...

De gauche à droite : Le père de Rita, son bras droit, et son grand père.

Une enfance particulière.

D'accord, son père faisait et fais effectivement partie d'une mafia, mais ce n'est pas ça qui empêcha la petite Rita d'avoir une enfance paisible,  peut être même trop paisible. Son père, riche homme qui avait su investir dans les casinos de Las Venturas, l'avait toujours gâtée, sans doute car c'était sa seule fille, et la seule fille de sa vie, d'ailleurs. En effet, sa mère avait divorcé, pour aller habiter à Los Santos, et n'avait pas souhaité s'occuper de sa fille. C'était un sujet assez compliqué auquel la petite fille aimait beaucoup se renseigner. Il l'amenait ainsi régulièrement à la cabane du mont Chilliad, là où sa mère avait grandi, un certains temps. Ce lieu tenait la petite très à cœur, car, elle le savait, s'était une des rares choses qu'elle connaissait de sa mère. Personne ne lui disait pourquoi elle était partie, a vrais dire, personne ne semblait le savoir. Son père était resté très amoureux de sa mère, et cette douloureuse rupture lui était resté gravé dans la mémoire.

Il, Sonnie, avait toujours su la préservée des "activités" qu'il pratiquait avec sa grande "famille", cependant, il lui apprit assez tôt à tirer, faisant passez ceci pour un loisir, alors qu'il s'agissait véritablement de lui donné matière à se défendre, en cas de pépin. A l'adolescence, Rita devenait de plus en plus remuante, comprenez par là qu'elle avait comprit que son père ne lui refusait rien, et elle avait apprit à en profiter. Cela commençait par dépenser des tonnes de sous dans des vêtements, puis cela passa par l'alcool, la cigarette, les drogues. Son père se rendait bien compte de ce tournant, elle était devenue froide, et les moments d'intimités qu'ils avaient au par-avant étaient maintenant bien révolus. Elle se montrait parfois même blessante, n'hésitant pas à dire le fond de ses pensés, allant jusqu'à lui reparler de sa mère, lui rejetant le divorce sur sa faute.

Rita, dans sa période rebelle, peu de temps avant son départ pour Los Santos.

Le temps passait et les choses empiraient, elle était parvenue à se faire une bande d'amis qu'elle menait du bout des doigts, et ils étaient près à faire les quatre-cents coups. Elle savait jouer de son physique pour obtenir ce qu'elle voulait, et n'hésitait pas à ridiculiser quiconque ne correspondait pas à ses "critères". Le soir de ses 20 ans, ils décidèrent "d'emprunter" la voiture de Sonnie. Il s'agissait d'une Double Six 50 Corsica, une voiture que son père réservait pour les grandes occasions, une voiture d'exception.  Elle savait où se trouvait les clefs. Rita avait toujours aimé la vitesse, elle avait passé son permis sans soucis mais s'était vite vue retirer une majorité de ses points. Ce soir là, manque de chance, l'alcool et les drogues faisant effet, elle commit une erreur de conduite et le véhicule vint percuté les barrières de sécurités du périphérique. Son père fut mis au courant rapidement, et une dispute éclata entre eux deux. Pour lui, s'en était trop. Sa fille, qu'il avait toujours essayé de rendre la plus parfaite possible, s'était transformé en diablesse. Pris d'un excès de colère, et de tristesse, il lui coupa les vivres et l'envoya à Los Santos, lui disant que puisqu'il n'était visiblement plus en mesure de la raisonné, elle n'avait qu'à aller retrouver sa mère, et voire si comme lui elle serait capable de se "débrouiller" seule.

La voiture de son père... avant l'accident.

Los Santos, les portes de l'enfer.

Arrivée dans la petite ville, elle ne savait guère où aller, et elle ne se doutait pas que cette ville ne lui réserverais pas le même sort que la belle ville de Las Venturas. Elle marcha quelques heures, elle était partie avec un simple sac à main, son téléphone, et quelques sous, pas assez pour payer l’hôtel. Elle se fit accoster par deux jeunes hommes, qui lui demandèrent si elle était une "fille de joie". Outrée, et seulement armé de sa grande gueule, elle les envoya "bouler". Mais quelle fut sa surprise, et sa peur, lorsqu'elle les vit revenir, masqué, et armés. Forcées de les suivre, elle fut livrée au Motel de Gleen Park, en guise de "punition" pour sa langue trop pendue. Ce qui se passa dans le Motel ne mérite pas grand détails, tant cela troublerai quiconque. Elle en sortie quelques heures plus tard, le regard vide. Par chance, elle fut recueillie par un individu, qui avait été témoin de son kidnapping,  escortée par les agents de la CTS, elle fit un séjour d'une semaine à l’hôpital, non pas à cause de dommage physiques, mais plutôt mentaux. Elle avait été traumatisée. C'était un retour à la réalité pour le moins radical. Lorsqu'elle fut autorisée à sortir, elle ne pouvait plus vraiment approché d'hommes sans trembler. Et deviner quoi ? Son malheur ne faisait que commencer.
Deux jours après sa sortie, des "gens" lui proposèrent de faire la prostituée pour eux. Elle refusai, en toute logique, mais se fit shooter dans le ventre. Elle fut prise en charge rapidement grâce à deux policiers qui passaient par là.

Une photo d'elle qui traine dans son sac.

Puis, finalement, tout semblait s'arranger. Elle était parvenue à se débarrasser du flic pervers qui devait s'occuper de l'enquête sur son "viol", et elle avait même trouvé quelqu'un qui semblait vouloir l'aider.
Mais deux mauvais passages ne vont jamais sans un troisième, et ce jour là, alors qu'elle attendait celui qui se proclamait son "copain", un homme latino vint l'accoster. Toujours entre deux chaises, elle se laissa prendre au jeux, l'homme lui promettait protection si elle acceptait de rejoindre son "gang" et lui jurait une espérance de vie plus longue. Rita n'était pas de nature à se laisser attendrir, mais après ce qu'elle avait vécue, force est de constater qu'elle avait changée, un peu. Elle accepta son offre, après qu'il lui ai gentillement demander une réponse -un canon de revolver sur la tempe-. Et, le démon qui semblait la suivre refit surface, le copain de ce latino, après une bagarre avec son gang, la descendit tout bonnement. Trois balles venait lui refaire son abdomen, quelle chance. Un asiatique prit tout de même la peine d'appeler les secours, et in-extrémiste, elle fut ranimée. Mais...
Quelque chose avait changé, ses blessures avaient été soignées mais son esprit, non. Elle avait perdue la mémoire.
Munie de son téléphone, de l'argent qu'elle avait dans sa banque, et d'un mystérieux pendentif en diamant, la voilà de nouveau sur des terres inconnues, l'esprit remplit de cauchemars qu'elle ne comprend plus...

[Kalvin_James]

Jolie,Jolie j'aime bien.

[Tyree Hicks]

Mdrrrr

just me and you know i've been waiting

[Rita_Squez]

Ah et, elle s'est suicidé du coup ! Hahaha

[Remy Guerri]

Joliiiiiiie !

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