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Roger Sterz - I need to be happy, please.

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Message par Joseph Smith Mer 11 Juin - 0:54

Musique:

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Roger "Pado" Sterz, Story of Psychopathe

Chapter I : We gave to irony, a new definition.

Roger Sterz est un jeune-homme issu d'une famille allemande, né dans le petit hôpital de Angel Pine, le 2 septembre 1969. Il a passé sa tendre enfance dans ce petit village où il ne reçu pas une scolarité correcte, sûrement dû au manque d'écoles qui engendra un prix farabuleux pour avoir la chance de s'y inscrire. Il était seul avec sa famille en pleine campagne, perdu au milieu de tous. Il avait une sœur jumelle, Kayla ainsi qu'une mère aimante, voir un peu trop aimante, Aily. Le père disparu le jours de ses 5 ans, il ne laissa aucun trace de son passage, aucun mot, rien, nada. Il n'eu donc pas la chance de recevoir une éducation correcte, d'un père et d'une mère.

M'enfin .. Ne nous éloignons pas du sujet, c-à-d les fameuses "expériences" qui transformèrent Roger en ce qu'il est. On va faire court car j'ai un peu la flemme de raconter la vie d'un pauvre bâtard comme lui.
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Le batard en question, encore jeune.

La première de ses relations sexuelle date de ses 15 ans. Les circonstances de celle-ci étaient.. Quelque peu, déroutantes. Dans son lit, les 4 membres reliés aux barreaux de son lit.. Tu penses certainement que chacun a le droit à son délire.. Mais quand celui-ci est interdit, ou bien vivement déconseillé, ça change la donne mais ça reste du pareil au même.
Sa mère, certainement en manque de son mari, qui lui était disparu depuis maintenant 10 ans, s'est attelée à la tâche avec son propre.. fils. Le manque de prétendants dans ce petit village perdu au milieu de tous se faisait visiblement ressentir pour cette pauvre mère de famille n'ayant reçu aucun soutien psychologique à la mort de son mari. Certes l'expérience ne fut pas très désagréable, si ce n'est délicieuse pour nos deux protagonistes mais celle-ci ce répéta, répéta, répéta, encore et encore. Elle finissait par créer une pseudo-relation nuisible, qui laissa des séquelles à ce bâtard de Roger.

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Le batard et sa mère.

C'est suite à trois ans de relations avec sa mère que Roger se lassa, petit à petit. Il viola sa sœur dans sa chambre, du jour au lendemain comme sa mère l'avait fait. C'est lors d'une après-midi où sa mère était partit faire les courses qu'il le fit, il répéta le même schéma que sa mère avait répété tant de fois sur lui. Il attacha sa sœur à son lit, les 4 membres liés aux barreaux, abusant d'elle une dizaines de fois, inaltérable par les réactions changeantes de sa sœur .. celle-ci variant du cri de surprise, au pleure, pour finir sur une note inexistante de plaisir .. Vous n'allez peut-être pas me croire mais il ne lui fallut qu'une dizaine de jours, pour qu'elle commence à ressentir du plaisir. La folie était très certainement dans la famille depuis un bout de temps. De plus en plus chaque jours, le plaisir augmenta, jusqu'à atteindre l'apothéose de l'amour fraternel. Une putain de famille de fou.

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Le batard et sa soeur.

C'est au bout de ces relations infatigable et de six années de relations intenses entre les deux femmes de la maison et Roger que le malheureux accident se produisit. Il fallait une fin à cette maison remplit des pires tabou, non ? Ce n'était peut-être pas la meilleure fin, mais ça reste une fin à ce calvaire. C'était un lundi en début d'après-midi, la mère de Roger partit faire ses courses comme à son habitude. Roger eu l'habituel réflexe de monter dans la chambre de sa sœur afin de procéder à son rituel. Il commença sans tarder, Kayla semblait ne plus se débattre du tout, il l'attacha sans problème et commença un puissant va et vient, semblant utiliser sa sœur comme l'on se servirai d'un objet.

C'est lors du quatorzième coup de pendule que tout ce passa, Aily eu le malheur d'entrevoir l'intérieur de la chambre. Elle vue ses deux enfants faire l'amour, elle qui était revenu dans l'unique but de récupérer ses clefs de voitures, elle qui n'imaginait pas un seul instant l'étendu de la relation entre ses deux enfants, elle qui pensait tout connaître d'eux.
Oui, elle qui vu son propre cœur volé en éclat en découvrant son amant alias son fils baisé avec violence sa fille.  
Aily était devenu malade au point d'en violer son fils et d'en tomber amoureuse, elle ne pouvait pas avoir une réaction des plus sereines, c'était comme demander une grâce au diable. Oui ce fut elle,  l'élément déclencheur du terrible désastre qui se produisit ce jours-là. C'est sans un mot qu'elle descendit au rez-de-chaussée où elle put s'emparer du premier couteau de cuisine qu'elle trouva.
Elle ne tarda pas à remonter, furieuse et silencieuse, incarnant le diable en personne; s'avançant furtivement dans la chambre des deux tourtereaux, n'ayant visiblement pas remarqué leurs mères.  Une fois devant la porte, le diable se réveilla complètement, il semblait avoir été retenu trop longtemps dans ce petit bout de femme qu'elle était.
Elle ouvrit le porte d'un grand coup de pied, créant un immense fracas, elle lâcha un horrible crie semblable à celui d'un éléphant que l'on égorge.
Elle fonça droit sur les deux jeunes qui fût surpris par l'arrivée de leurs mères, le premier réflexe de Roger fut de se déplacer à droite afin d'esquiver sa mère qui se jeta sur le lit, Kayla n'eut malheureusement pas cette chance, toujours attaché au lit où elle du accepté sa sentence pour les ignobles actes qu'elle avait subi, douce ironie. Mourir de la même main de celle que l'on aime, voilà un bien triste destin. Aily poignarda sa fille à plusieurs reprises, ne semblant jamais vouloir s'arrêter, mélangeant un ignoble cri de rage et de désespoir.  

Elle poignarda sans hésiter la chair de sa chair, ne semblant ne même pas oser regarder sa progéniture, mourir sous ses interminables coups. Il restait sûrement un peu d'humanité en elle mais c'était sûrement trop tard, le point de non-retour avait été dépassé au 15 ans de Roger. Roger resta figé pendant une dizaine de minutes à contempler sa mère dans son acte, il lui était impossible de bouger.. Impossible de déterminer si cela était dû à la peur ou à la haine qui l'envahissait petit à petit ..Lorsque sa mère fût épuisée et ne sembla plus capable de continuer à remuer le couteau dans la plaie.
C'est à ce moment précis que Roger reprit ses esprits, il s'approcha de sa mère en l'appelant tendrement par son prénom "Aily", elle se retourna aussitôt, semblant apaisé par ses douces paroles mais le réconfort fut court.. Elle se retourna en direction de son fils, que celui-ci, aussitôt, élança son pied d'une incommensurable force en direction de la tête de sa mère. Celle-ci fût tout d'abord déboussolé et surprise par l'acte de son fils. Mais, c'est lorsque sa tête heurta violemment le coin de la commode que le calvaire prit fin.. Elle mourut sur le coup.

C'est à ce moment-là que Roger eu une illumination, un peu de jugeote pour la première fois de sa vie, il attrapa les deux corps encore chaud et les enterras dans un champs voisin, il nettoya les pièces et pris soin de tout remettre en état dans sa petite maison, perdu au milieu de nul part.
Ça semblait être un don qu'il avait, un don inné et qui le guidait dans chacun de ses pas, il savait instinctivement quoi faire et comment le faire, cette petite famille perdu en campagne venait de crée un monstre.

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Ce gars-là, après avoir enterré les corps.

Chapter II : Bad start.

Roger Sterz - I need to be happy, please. Jb
Cette homme-là, se levant comme si de rien n'était.

Le lendemain, il se leva comme à son habitude et initia son processus de mise en marche, il prit une douche, se lava les dents et se plaça devant la télévision tout en savourant un petit déjeuner copieux.
Assoupi ou simplement fatigué d’ingurgiter les mêmes âneries télévisées, il se peut que Roger eu soudainement envie de changer de chaîne en espérant, pour une fois, rencontrer quelque chose, un programme, un truc, n’importe quoi susceptible de l'emmenez ailleurs et lui faire oublier son malheur.

A la télé ils disent tous les jours : "Y a trois millions de personnes qui veulent du travail." C'est pas vrai : de l'argent leur suffirait.

Sa recherche fût vaine et il ne tarda pas à abandonner avant de se lever s'habiller. Son petit cerveau jusque-là inutilisé se mit en route, il se mit à réfléchir à un stratagème capable de lui faire reprendre sa vie en main.
Il prépara aussitôt son sac, emballant le minimum vitale qu'il planqua dans la petite cabane servant à stocker le bois, au cas où. Il se rendit au poste de police le plus proche afin de rapporter la disparition de ses proches. Il usa d'un don inné pour le mensonge afin de persuader les officiers de polices déjà peu futé, de sa version des faits. Ce ne fût pas bien dur pour Roger grâce à son père qui réalisa la même pseudo-fugue plus tôt dans son enfance.
Il laissa l'affaire se tasser, survivant en s'occupant des nombreux champs possédés par sa famille dont il avait tant l'habitude.
Plusieurs années après ça, il put récupérer "officiellement" le précieux héritage laissé par sa famille qu'il revendit à un grand entrepreneur américain.

L’Amérique.. Le rêve Américain hein ? C'est un drôle de concept selon lequel une personne "ne partant de rien", et de n'importe quelle origine, a la possibilité de réussir et de devenir prospère aux Etats-Unis.

Armé d'une petite fortune et déterminé à reprendre sa vie en main, il se lança en pleine ville de Los Santos où il put acquérir son premier appartement pour une bouchée de pain. Il utilisa sa petite réserve pour s'offrir des études de photographies qu'il eut beaucoup de mal à réussir, dû à son retard scolaire. Il enchaîna ensuite des petits jobs de photographe qui lui permettais de survivre correctement. Il n'était pas forcément talentueux dans la photographie mais il aimait ça.  

Choisissez un travail que vous aimez et vous n'aurez pas à travailler un seul jour de votre vie. Un brave dicton.

Il n'hésitait pas à garder des enfants pour arrondir ses fins de mois, créant ainsi une mini-garderie lowcost.
C'est lors d'un dimanche soir que tout bascula, à nouveau. Ce jours-là Roger gardait 4 gosses, les 3 premiers parents récupérant leurs enfants tandis que le dernier passer un coup de fil à Roger, l'informant qu'il devait travailler de nuit et qu'il le payera double. Roger avait beau soupirer, il n'eut de toute manière pas le choix et accepta sans rechigner. Il adorait cette petite fille, Sheryne, 6 ans.
Elle était très certainement la plus mignonne des petites filles, elle était tout le temps joviale et agréable, Roger prenait du plaisir à jouer avec elle. C'était le genre de petite poupée brune que l'on voyait dans les pubs télévisés, vous voyez le truc quoi ?

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Lui et la petite fille.

Roger avait su garder un contrôle total sur sa sexualité car il avait volontairement évité tout contact avec les femmes. Mais que se passerait-il si les désirs enfuies si longtemps au fond de lui par sa connasse de mère se réveillait ? Il ne pensait qu'à ça.. Il n'arrêtait pas de penser qu'il allait devoir dormir dans la même pièce qu'une fille.. 5 ans certes mais une fille, l'esprit de Roger était trop flou pour faire un quelconque discernement.

Il continua à y penser, il se servit un verre de cognac, puis un autre, puis un autre.. Incapable d'arrêter d'être perturbé par une gamine de 5 ans. Il la posa dans son lit, le seul lit de la maison et s'éloigna, se plaçant contre la porte d'entrée, se laissant glisser sur cette dernière jusqu'à en tomber sur le sol.

Il bu un autre verre, contemplant cette jeune proie, si fragile et si pure..  il s'approcha d'elle, la pris dans ses bras et serra son petit corps contre le sien, il lui déposa un baiser sur la bouche avant de la reposer sur le lit. Il lui chuchota un doux : "Bonne nuit". Sa raison l'avait sauvé cette fois-ci, il avait réussi à garder son calme et à limiter la casse.

Il ne lui restait plus qu'à tenir demain matin jusqu'à l'arrivée de la mère. Il se replaça contre la porte, s'allongeant au pieds de celle-ci avant de s'endormir rapidement.. L'alcool y était sûrement pour quelque chose.

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Roger complètement bourré.

Il se réveilla l'esprit clair, et s'orienta vers le coin de la pièce faisant office de pièce à manger, il récupéra un paquet de jambon qu'il ouvrit, glissa la première tranche à l'intérieur de sa bouche. Il ne prit pas la peine de la mâcher correctement avant de l'ingurgiter, il se glissa ensuite à l'intérieur des toilettes où il commença son affaire. Il pensait à l'histoire de hier, il avait réellement frôlé la catastrophe mais il éprouvait tout de même des remords, des remords de n'avoir rien fait. Ouais, Roger était fou et il ne pouvait plus rien y faire .. Mais il ne l'avait pas encore réalisé.
Une petite voix se fit entendre derrière la porte des toilettes, c'était Sheryne :
- Tu es là.. ?
-Oui, je suis dans les toilettes ! (La réponse fût immédiate pour Roger, semblant surpris d'entendre sa voix, pourtant si familière.)
Roger est assis sur la lunette en bois blanc des toilettes, la porte est restée entrouverte, il bande. Riant à l’intérieur de lui-même, il sort de son papier une tranche de jambon qu'il avait récupéré à la cuisine, et la place sur son sexe. Elle est dans la chambre, elle se lève, elle marche, elle prend la direction du bout de cuisine pour trouver un truc à manger, il l’appelle, lui dit de pousser la porte.
- Tu as pris ton petit déjeuner ce matin ? Tu n’as pas faim ? Tu ne veux pas un peu de jambon ?

Elle pousse la porte et regarde Roger, ébahit par le spectacle qui lui est offert, elle s'approche un peu de lui et attrape le jambon d'une main ferme, sans un mot.

Un immense fracas retentit dans la pièce, Roger se réveille, en sueur. Il a cette fameuse érection matinale qu'il tente tant bien que mal de rétrécir en poussant dessus. Il se lève avec un affreux mal de crâne et regarde par la fenêtre le bruit qui l'a réveillé. Il constate sans étonnement les éboueurs qui font leur job, puis se laisse retomber au sol.

Une douce voix l'interpelle à nouveau, il sursaute.
-Bonjour! (Elle ricane doucement en apercevant Roger légèrement perdu)
Il ne répondit pas, il n'arrivait pas à réfléchir. Roger arpentait le visage distordu de Sheryne. Quelque chose sortait de l'ordinaire. Il était dans l'incapacité d'identifier pleinement son visage.
-Tu veux jouer à un jeu.. ? Cache-cache par exemple.
-Oui, pourquoi pas ? (répondit-elle, d'une voix innocente)
-Bon.. Je vais t'attacher pour éviter que tu triches, allonges toi confortablement. (Il souriait sinistrement)
-Ok ! (Elle ricana)

Il la regarda encore et encore, ne semblant pas réussir à identifier pleinement son visage, il n'arrivait pas à réfléchir. Ses bras bougeaient tout seul, il attacha ses 4 membres aux barreaux du lits, ricanant intérieurement.
Ce qui devait arriver, arriva. Il viola la petite fille avec douceur, faisant passer ça pour un 'jeu' des grandes personnes. Elle soufra pendant toute la durée de l'acte, il ne tarda pas à la réconforter, lui offrant des glaces ou d'autres jouets pour acheter son silence. Il la convainque que c'était un secret entre elle et lui, elle accepta naïvement. La mère arriva et récupéra son enfant en ne se doutant de rien, elle n'imaginer sûrement pas un seul instant ce qui avait pu se produire en ce début de matinée.

Il repensait à cette phrase qu'il avait entendu dans un film : <<Un jour, des choses terribles arriveront ; et ce jour-là, plus rien, jamais, ne sera comme avant.>>

Il tournait en rond chez lui, réfléchissant à cette phrase, il semblait avoir perdu la boule. Il s'arrêta finalement de marcher, il pris le premier ustensile possible permettant de faire office de miroir, le pointant en sa direction et dit tout en s'admirant dans le reflet :
-Plus rien ne sera comme avant, le train de vie que j'avais construit est finis, je ne peux plus faire marche arrière.

Puisse chacun avoir la chance de trouver justement la conception de la vie qui lui permet de réaliser son maximum de bonheur. C'est la seul excuse qu'il se trouva, c'est le seul argument qu'il pouvait utiliser pour se consoler.. Il avait besoin d'être aidé, il le savait.

Les jours passa et il ne changea pas son train de vie pour autant, il hésitait tous les jours à consulter un spécialiste mais son subconscient lui interdisait. Il avait peur de se faire arrêter, d'aller en prison pour le reste de ses jours. Il ne voulait pas être méchant, il voulait juste être heureux.. N'est-ce pas ce que tout le monde veut ? Pourquoi n'aurait-il pas le droit d'être égoïste comme tout le monde ?
On dit souvent que les choses s’arrangent avec le temps ou que l’on n’oublie jamais mais que l'on finis par réussir à vivre avec. Je pense que c'est quelque chose de faux, on ne peut nier sa nature, on ne peut rejeter ce que l'on est. La vie ce n'est pas d'attendre que les orages passent, c'est d'apprendre comment danser sous la pluie.

Les jours passèrent et la tentation augmentait, il voulait de plus en plus recommencer, il attendait simplement l'occasion.

C'était un lundi comme les autres et Roger devait à nouveau garder la petite Sheryne, il jubilait rien qu'à y penser. La mère arriva un peu plus tôt que prévu et déposa la jeune fille. Il la récupéra et l'installa sur son lit aussitôt.
-On va jouer à un petit jeu comme la dernière fois.. Si tu es sage, tu aurais un cadeau ! (Il dit ça d'une voix douce, semblant dévisager dangereusement la petite fille)
-Non.. s'il te plait.. Ça faisait mal la dernière fois. (Elle était triste, et à la limite des pleures)
Roger perdit vite patience et ne tarda pas à s'énerver, des perles de sueurs coulaient déjà sur son front.
-TU FINIRAS PAR AIMER ! C'EST CE QUE FONT LES GRANDES PERSONNES ! ACCEPTE LE ET TOUT IRA BIEN ! (il commença à l'attacher et ne tarda pas à lui enfoncer un chiffon dans la bouche pour la faire taire)
Elle commença à pleurer et à se débattre, encore plus violemment que la dernière fois, elle était terrifié par lui. C'est sûrement ce qui poussa la jeune mère à retourner à l'appartement, les cris de son enfant .. Elle ouvrit immédiatement la porte pour voir ce qui c'était passé, et découvrit avec stupeur la scène. Elle cria, semblant être incapable de se contrôler.
-LÂCHEZ MON ENFANT ! JE VAIS APPELER LA POL... (La réaction de Roger fût immédiate, il asséna un terrible coup de poing à la jeune femme, l’assommant.)
-Putain .. Putain !!! (Il se retourna en direction de la jeune fille.)
-Voilà ! Regarde ce qui arrive à cause de toi ! REGARDE !

Roger était un génie machiavélique.. Il ne mit pas plus d'une minute à trouver une solution .. il avait lu un article parlant des agressions sexuel, un article très récent et assez intéressant. Cet article disait que 53% des agressions sexuel d'un parent sur son enfant était orchestré par la mère. Ce fût sa source d'inspiration.

Il attrapa la tête de Sheryne et frappa cette dernière contre le sol jusqu'à qu'elle arrête de gesticuler, il récupéra ensuite un immense sac poubelle où il embarqua la mère et son enfant. Il fouilla la mère à qui il vola le véhicule et se rendit à son appartement. Il reproduisit une scène parfaite. Une scène qui aurait faire croire à n'importe quel spécialiste que la mère avait abusé de son enfant avant de le tuer et de se suicider à son tour. La scène était réglé aussi minutieusement qu'une montre, Roger était fière de lui et ne mit pas longtemps à décamper.

Personne ne fit le rapprochement entre lui et la scène de crime, l'affaire fût vite réglé et les policiers assimilèrent ça à une dépression de la jeune mère suite aux nombreuses dettes, un article fût même publié dans le journal.
Roger était fière de lui, il semblait être devenu imbue de sa personne, il se pensait le meilleur et il découvrait en même temps ses compétences .. Lui qui se pensait réellement stupide.

"Tout le monde est un génie. Mais si vous jugez un poisson sur ses capacités à grimper à un arbre, il passera sa vie à croire qu'il est stupide."

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Ce génie.


Dernière édition par Roger Sterz le Dim 6 Juil - 15:27, édité 3 fois

Joseph Smith

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Message par Joseph Smith Mer 11 Juin - 0:56

Chapter III : Good start.

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Roger et une de ses victimes.

Le temps s'écoula et les victimes s’accumulèrent, Roger avait perdu toute raison, il commença à dépouiller les maisons des victimes, se permettant une richesse temporaire qu'il tuait aussitôt dans la boisson. Il était adepte de ce fameux bar, le FERRIS WHEEL NC. Il venait depuis des années là-bas, tellement que l'on lui proposa un job là-bas, il accepta sans rechigner, se disant qu'il pourrait facilement repérer des adolescentes, des proies faciles et naïves.

C'est là que sa vie prit un tournant décisive, il ne s'y attendait pas.. Personne n'aurait pu s'y attendre à vrai dire. C'était un Mardi soir, il bossait à son bar fétiche, le bar était étonnement vide, seul 2-3 tables étaient remplit.

**DRING DRING**

La petite clochette annonçant l'ouverture de la porte d'entrée s'agita. Roger détourna le regard, l'air morose, à la recherche d'une nouvelle proie. Ça faisait trop longtemps qu'il n'avait pas goûté à de la chair fraîche, le manque se faisait ressentir.
Un homme âgé d'une cinquantaine d'année approximativement fît place dans la salle, Roger ne prêta pas plus attention à lui, et retourna se servir un verre de vodka.
-Bonsoir, une vodka s'il vous plait. (Roger sursauta sur lui-même, semblant surpris par la furtivité et la rapidité du vieille homme qui adressa un sourire gêné.)
-Bien.. (Il dit cela d'une voix peu intéressé.)

Roger plaça sa main sous le comptoir, récupérant un verre qu'il remplit de ce délicieux nectar qu'est la vodka. Il le déposa sur le comptoir et adressa un signe de la tête au vieil homme qui le dévisageait depuis son entrée dans le bar. Le vieil homme se présenta, ne semblant pas réussir à détacher son regard de Roger.
-Moi c'est Joss .. (Il le dévisageait sans faillir.)
-Hm .. Ouais. (Il s'en battait clairement les couilles.)
-Tu ne te présentes pas ? (Il adressa un autre de ses typiques sourires gênés.)
-Ouais.. Moi c'est Roger. J'ai du boulot et j'vais pas pouvoir causer plus longtemps.
Le vieille homme plongea aussitôt sa main dans sa poche, il récupéra une photo qu'il fit glisser sur le comptoir. On pouvait distinguer très clairement Sheryne, la première petite fille. 
-Tu as toujours du boulot.. ? Tu vas me suivre maintenant. (Il marqua un temps d'arrêt, dévisageant Roger qui semblait complètement paniquer et prêt à prendre la fuite.). Et avec le sourire s'il te plait, tu vas faire peur à la clientèle comme ça.
-Ouais.. Euh.. Ouais.  (Il paniquait, il attendait le bon moment pour se jeter sur Joss.)

Les deux hommes sortirent à tour de rôle du bar, Joss fît un geste de la main à Roger, lui signalant de le suivre. Le vieille homme s'engagea dans une étroite ruelle et plongea sa main droite sous sa veste, récupérant son pétard qu'il pointa fièrement en direction de Roger.
-Oh ! Oh ! Vous faîtes quoi là ? J'ai rien fais ! (Il était affolé, il avait peur.)
-Calme-toi jeune-homme, tu vas faire ce que je te dis maintenant. Cette jeune fille, c'était la fille d'un de mes gars.. Mais il est mort hier, et c'est ton jour de chance à vrai dire. Si il était encore en vie, tu serais six pieds sous terre à l'heure qu'il est.
-J'ai rien fais ! JE LE JURE ! (Il était persuadé que ce n'était que du bluff.)
-Putain.. T'es pas si futé que ça. Je t’explique la situation, tu vas juste faire ce que je te dis et tout ira bien, c'est pas compliqué. (Le vieille homme était sérieux, il semblait tellement sûr de lui qu'il aurait pu bluffer le diable en personne.)
-Bon.. Écoute ! J'veux pas te causer de tort, si t'as besoin d'un coup de main pour un job ou quoi, c'est ok ! (Roger éprouvait de la peur, ça faisait tellement longtemps qu'il n'avait pas éprouvé ça, depuis ses 15 ans à vrai dire.)
-Bien. Tu vas commencer par déposer ce colis au 20th Main Street Pavillon, c'est à coté de Pershing Square. Compris ? (Il plongea sa main dans sa poche, récupérant un petit colis qu'il tendit de sa main gauche à Roger.)
-Ouais, ok .. (Il attrapa le colis et le glissa à son tour dans sa poche.)
-Bon .. (Il claqua doucement à deux reprises la joue de Roger, semblant vouloir installer un climat de supériorité.) 
-Puis.. Si j'apprends que tu as retouché à un gosse, je te B-U-T-E. Les conneries c'est comme les impôts, on finit toujours par les payer. (Il était sérieux, il dévisageait Roger du plus profond de son être.)
Roger ne broncha pas, sûrement la peur qui le paralysa ou peut-être, l'imposante personnalité du vieil homme.
-Plus jamais.. C'est compris ?  (Il ne bougea pas d'un centimètre, fixant Roger avec autant d'ardeur qu'au début de la conversation.)
Roger hocha la tête positivement, il semblait ne pas vouloir contrarier le vieil homme.
-Bien.. Va voir un médecin, trouves une solution. Démerdes toi.
Puis Joss fît un tour sur lui-même, faisant naïvement dos à Roger qui n'osa pas bouger, apeuré. Il retourna à son véhicule et s'en alla aussitôt. Quant à Roger, il retourna à son poste où il finit ses heures de boulots.

Dès que son travail fût achevé, il déposa le colis à l'endroit précis indiqué par le vieille homme. Roger prit un rendez-vous à un psychologue, il usa de son intelligence pour décrire des attirances envers les enfants. Il ne précisa aucuns faits réels provenant de son enfance. Il monta une histoire de toute pièce afin d'éviter que l'on puisse faire un quelconque lien avec son enfance et ses nombreuses victimes. Le psychologue l'aida beaucoup à calmer ses pulsions.. Non par ses nombreux conseils, mais plutôt par les nombreux médicaments qu'il lui prescrira.

Suite à ça, le vieille homme contacta de plus en plus Roger, le rythme augmenta jusqu'à que Roger finisse par faire des livraisons chaque jours. Suite à ces livraisons, il toucha un salaire assez important qui lui permit de mettre en pause toute activité légal et chiante.

Roger Sterz - I need to be happy, please. 1402334879-bar
Roger au bar, buvant face à Joss.

Il commença à prendre goût à son job et se fît remarquer par Joss pour son excellent travail. On lui attribua des taches plus importantes, des règlements de comptes, des assassinats, des braquages.
Roger semblait être l'homme de main parfait, il n'éprouvait aucune honte à ôter la vie, si ce n'est du plaisir. Son intelligence lui permettait de réaliser un travail précis et minutieux, à chaque fois. Ses capacités physiques se développèrent en même temps qu'il arrêta de boire. Il utilisa les nombreux fonds gagnés illégalement et racheta le groupe immobilier qui avait acheté sa maison dans le temps, il fît ça pour son autosatisfaction mais il fût grandement appuyé par Joss qui cherchait un nouveau moyen de blanchir son argent. Autant dire qu'il s'amusa à racheter son bar fétiche, le Ferris Wheel NC.

Roger Sterz - I need to be happy, please. 1402492310-convoyeur2
Piotr_Markowicz à gauche, Roger Sterz au milieu, Joss Markov à droite. Juste avant un braquage.

Joss avait clairement confiance en l'intelligence de Roger, il savait pertinemment que c'était le meilleur gars qu'il puisse trouver. C'est le pourquoi du comment qui expliqua que cet ancien pédophile passa du simple statut de malade mental à celui de bras droit d'un des plus gros réseaux criminels serbes installés à Los Santos en une dizaine d'années.
Le temps passa et une amitié grandit entre les deux hommes, la détresse émotionnelle de Roger lui permit de s'ouvrir très facilement à ce dernier. Le bon boulot de Roger ne fît que le même effet à Joss.

<<Tout ce que tu peux faire dans la vie, c'est être toi-même. Certains t'aimerons pour qui tu es. La plupart t'aimeront pour les services que tu peux leur rendre, d'autres ne t'aimeront pas.>>

Puis il vint un lundi matin, Roger fût convoqué par Joss qui voulait lui parler d'un coup important.
-Bon.. Y'a un gros coup qui se prépare au Maroc. J'ai besoin d'un gars de confiance, tu vas y aller et t'assurer que l'échange se passe bien. (Il arquait les sourcils, dévisageant Roger.)
-Ouais. (Il ne pouvait de toute manière pas refuser.)
-Demande à Billy de s'occuper des papiers et le bordel, tu seras un putain de journaliste allemand, ça passera crème avec ta foutu tête.
-Je m'occupe de tout, pas de soucis. (Il baissa la tête, saluant le vieil homme avant de lui faire dos.)

Roger pris l'avion la semaine qui suivit, il se rendit au Maroc où il rencontra son contact qui l'informa que l'échange avait lieu demain. Il se dit qu'il avait le droit à une soirée détente, après tant de boulot, même si il n'était que 18 heures.
Il se balada quelques minutes et finis par entrevoir une école réalisant une fête pour la fin de l'année scolaire. Il se faufila à l'intérieur de cette dernière, passant incognito avec les autres parents d'élèves présents.

Il aperçut deux jeunes filles dansant sur la piste dressé pour l’événement, des proies parfaites pour lui .. Il les dévisagaient avec tellement d'entrain, que l'on aurait pu le confondre avec un chien enragé. Il savait ce qu'il fallait faire dans ces moments-là, il plongea sa main dans sa poche à la recherche du fameux flacon qui le permettait de garder son self-control. Mais ce fameux médicament manquait à l'appel, impossible de le trouver à l'intérieur de ses poches.. Il l'avait très certainement oublié chez lui, à Los Santos. Pour lui c'était le drame, il n'avait aucun moyen de contrôler ses pulsions.
Il savait ce qui allait arriver et n'en était pas triste pour autant. Il se dit que même s'il faisait un petit écart, tant que le boss ne l'apprenait pas, ça n'aurait pas de répercussion. Il était prêt à prendre le risque et de toute manière, il n'avait pas le choix. Il n'aurait pas pu contenir ses pulsions.

Il s'adossa contre un muret, proche de la piste de danse.
Maintenant adossé au mur, il s'amusa à contempler les danses qui se jouaient autour de lui. Il contempla avec attention les mouvements et les pas, les regards et les sourires, les cheveux et les corps. De la sensualité, partout. Uniquement ça. Depuis quelques minutes déjà, son bras avait pris l'habitude de frôler celui des jeunes filles se trémoussant sur la piste. Il ne parlait pas, il était fasciné par le spectacle offert.

Soudain, Roger se souvenu de son code moral. Brusquement il se souvenu des valeurs qu'il avait appris à porter - des valeurs qu'il pensait acquises mais qu'il avait, pendant quelques mois, commencés à mettre de côté pour des raisons obscures. La frénésie, peut-être ?

Plus rien ne l'importait, il était pris de violent spasme, il n'arrivait plus à réfléchir correctement. Il ne pouvait plus se contrôler. Il interpella les deux jeunes filles d'un air presque serein, et les invitas à se rendre derrière leurs écoles pour les interviewers. Il prétexta vouloir discuter de la fête de leurs écoles, sans le bruit de fond et la musique de cette dernière. Elles acceptèrent naïvement, se sentant en sécurité dans l'enceinte de l'école. Le plan de Roger semblait marcher à merveille mais il avait omis un détail très important.. Les gens qui voyaient un homme de la trentaine, emmenés deux filles dans un coin sombre. Ces gens-là n'étaient pas très aptes à la conversation et les doutes ne tardèrent pas à se développer, puis quand le doute se transforma en certitude, ils commencèrent à encercler Roger qui se retrouva vite pris au piège. Il ne pouvait s'échapper, ils étaient trop nombreux. Il tenta tant bien que mal d'attraper le premier venu, le frappant de toutes ses forces, en vain.

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Roger qui se bat avec un homme au Maroc.

Il se fît finalement embarquer par la police locale et interrogé dans les locaux. Il utilisa sa fausse identité pour clamer être un journaliste et il fût libéré au bout d'une rétention provisoire d'une heure. L'échange avait eu lieu le lendemain sans soucis, mais le problème restait la couverture médiatique dont avait disposé l'affaire, c'était quasi-sûr, Joss allait finir par être mit au courant.
C'est une boule au ventre qu'il rentra en Amérique où l'inévitable arriva lors de ses retrouvailles avec le boss.

La dispute ne pouvait être évitée, quelqu'un lui avait sûrement déjà tout rapporté dans la seul optique de bien se faire voir. Dieu seul sait que Roger détestait les rapporteurs et qu'il n'allait pas tarder à mettre la main sur ce gars-là.
Joss pris place dans son fauteuil, un verre d'alcool dans la main droite, le regard porté sur Roger, le scruptant intégralement.
-Assieds-toi.. On doit parler.. Tu sais de quoi je veux parler, hein ?
-Ouais.. Eco..... (Il se fît aussitôt couper par le vieille homme, il ne lui laissa pas une seul seconde pour s'expliquer. Ce n'était pas ce genre d'homme à aimer attendre.)
-REGARDE MOI CA ! (Il balança un article de presse sur la table basse, se levant dans la même foulée.) QU'EST-CE QUE TU AS FOUTU ? REGARDE-MOI QUAND JE TE PARLE ! (Il était fou de rage, il ne lâchait pas Roger du regard.)
-PUTAIN J'AVAIS PLUS DE MÉDOC! TU LE COMPRENDS CA ? JE DEVAIS FAIRE COMMENT ? JE ... (Il se fît à nouveau couper la parole par Joss.)
-JE M'EN FOU! TU TE DÉMERDES! ÉCOUTES MOI BIEN ENFOIRÉ DE MES DEUX! JE PEUX COMPRENDRE QUE TU SOIS MALADES! MAIS C'EST MAL CE QUE TU FAIS! TU FAIS DE LA MERDE! (Il plongea sa main sous son épais pull, récupérant son pétard qu'il braqua en direction de Joss. Il enleva la sécurité du même geste.)
- CALME-TOI PUTAIN! JE N’AVAIS PAS DE MÉDICAMENT! PUIS J'AI RIEN FAIS AU FINAL! (Il baissa le ton, semblant vouloir calmer le jeu.) Tu dis me comprendre mais tu me juges. Juger, c'est de toute évidence ne pas comprendre puisque, si l'on comprenait, on ne pourrait pas juger.
-PUTAIN ON A FAILLIT RATER UN ÉNORME TRADE PAR TA FAUTE! TU TE RENDS COMPTES ? (Il agitait son arme comme un enfant agiterait son jouet, mais son "ton" descendait petit à petit.)
-Ouai mais y'a rien eu à la fin! Je ferai attention à l'avenir, j'oublierai plus jamais mon flacon, ok! Baisse cette arme vieux, fais moi confiance, merde! (Roger ne semblait pas vaciller comme lors de sa première rencontre avec Joss, il avait pris de l'assurance depuis le temps.)
Roger se laissa tomber comme une merde dans ce petit fauteuil bien confortable, il déposa son arme à feu sur la table basse avant d'avaler son verre d'un trait. On se doutait très bien que la seul optique de Joss était de mettre un coup de pression à Roger, il ne se serait jamais débarrassé de lui sans une très bonne raison.
-Bon.. Oui tout c'est bien passé, merde. Écoutes.. La confiance ne se réclame pas, elle se gagne. C'est le dernier avertissement. J'ai pas envie de mourir, tu le sais ça ? On ne meurt pas de se casser la figure. On ne meurt pas d'humiliation. On meurt d'un coup de couteau dans le dos. Et j'veux pas que ce soit toi, ce foutu couteau dans le dos.
Roger acquiesça de son habituel hochement de tête, typique à lui-même.

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Joss et Roger lors d'une dispute.

Il se laissa tomber à son tour sur un des nombreux fauteuils présent autours de la table basse. Il soupira immédiatement, se frottant le peu de barbe qu'il possédait afin de se donner ce petit air érudit qu'il affectionnait tant. Il marqua un temps d'arrêt puis proclama fièrement :
-Lorsqu'une porte du bonheur se ferme, une autre s'ouvre ; mais parfois on observe si longtemps celle qui est fermée qu'on ne voit pas celle qui vient de s'ouvrir à nous. J'ai fais une erreur, je ne recommencerai plus.

Les affaires reprirent leurs cours normal.. L'organisation gagnait de plus en plus d'influence chaque jours.. Et la position de Roger au côté de Joss se confirmait également.
Ils avaient les cartes en mains pour faire cette putain d'ville, une usine à fric, il ne restait plus qu'à prendre leur mal en patience et à faire preuve d'intelligence.

Vidimo se u citulji, USW.

Roger Sterz - I need to be happy, please. 1402256519-rg
Joss accompagné de Roger.



Spoiler:


Dernière édition par Roger Sterz le Mer 18 Juin - 1:08, édité 2 fois

Joseph Smith

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Message par Joseph Smith Mer 11 Juin - 0:58

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Message par Joseph Smith Mer 11 Juin - 1:00

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Message par Joseph Smith Mer 11 Juin - 1:02

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Message par Serizawa_Ichikawa Ven 13 Juin - 13:46

Vraiment un gros psychopathe ton personnage !
Je ne sais pas ce que ça donnera IC, mais je suis pressé de voir ça !
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Message par Joseph Smith Ven 13 Juin - 13:48

Merci gros. Smile

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Message par Philip_Franzese Ven 13 Juin - 13:59

Une légende, tu mérites une médaille frangin.
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Message par Joseph Smith Ven 13 Juin - 14:00

Au calme, bro.

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Message par Ray Spillane Dim 15 Juin - 0:04

Génial, on nous plonge dans l'ambiance glauque. Tu devrais mettre un avertissement pour les plus jeunes/sensibles ! Une fois que j'aurai un peu de temps libre je commenterai également plus en profondeur.
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Message par Joseph Smith Dim 15 Juin - 3:45

Merci, je le ferai peut-être ..

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Message par Brinson Seguso Dim 15 Juin - 11:13

J'ai lu le premier chapitre, un beau background. Je lierais la suite quand j'aurais plus de temps.
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Message par Joseph Smith Mer 18 Juin - 1:00

Merci l'ami.

--------------
Joss Markovic a écrit:Une fois que j'aurai un peu de temps libre je commenterai également plus en profondeur.
J'attends toujours, Mr Markovic.

--------------

Second post édité.

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Message par Kingsley Wallace Mer 25 Juin - 14:43

Beau background gg mec

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Message par Ray Spillane Mer 25 Juin - 15:48

Pas vraiment de temps libre pour le moment Roger, examens oblige.
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Message par Joseph Smith Mer 25 Juin - 15:49

Tu me déçois vieux, je compte sur toi!

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Message par Joseph Smith Dim 6 Juil - 15:19

MAJ.

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Message par Walter R. Dim 6 Juil - 20:51

Le titre du sujet est extrait d'un album de Boys Band?  Razz 
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Message par Joseph Smith Dim 6 Juil - 22:05

Comment as-tu deviné ? Tu dois sacrément t'y connaitre. Laughing

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Message par Ray Spillane Dim 6 Juil - 22:28

Un connaisseur. Je parie que ses anciens noms sont extraits du système numérique francophone.
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Message par Alonzo Calabrese Sam 12 Juil - 18:50

Bien joué, j'adore. Smile
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Message par François Starfoulah Lun 21 Juil - 12:17

Beau background, je ne l'ai pas encore fini, je le mets de côté pour la suite. Smile
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Message par Thiago_Gabriel Mer 23 Juil - 21:33

Vraiment long, j'ai lu un peu et j'ai aimé Wink
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