[DCD] Rafael Caballero - Payer le prix fort pour réussir.

[Roy Waynee]

CABALLERO Rafael




Nom : Caballero
Prénom : Rafael / Jesùs
Lieu de naissance et date de naissance : Californie, San Francisco le 7 Juin 1994 
Nationalité : Américaine
Origine : Mexicaine
Taille : 1m79
Poid 73 KG

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Préambule, Mon enfance

Parfois je pense à ces rues, à ces bâtiments colorés, à ces tags ravivant ce quartier, Mission District de San Francisco, je repense à mon père, un alcoolique à plein temps, travaillant de nuit, ramassant tout les déchets de ces gens qui vivent comme nous, connaissant les vertus de la misère, de la violence, de la crainte, quand à ma mère, elle je préfère oublié cette personne m'ayant porté neuf mois dans son ventre, ce qui parait impossible, c'est juste que je revois encore cette femme bien plus que magnifique détruire sa vie, devant amené d'autres hommes en l'absence de notre cher père afin d'avoir un peu d'argent afin de se payé sa consommation habituelle et illégale, la cocaïne. Cette merde a totalement détruit notre famille, enfin, il y a eu tellement de merdes, l'alcool, la drogue, la violence inégalable de notre père, l'école, et j'en passe.
Au fait, moi c'est Rafael, petit dernier d'une famille de deux garçons, Ezequiel mon ainé, un garçon plus ouvert que moi, faut le dire, il est bien plus costaud que moi, il m'en a fais bavé, il m'en a mis des coups, du visages jusqu'en bas de mes jambes. Quel enfoiré, mais je l'aime, il reste surement pour moi le garçon le plus important dans ma vie.
Disons, que à l'age de six ans, à peine, notre cher mère a fuis notre cocon familial, cela ne sert à rien de se posé de questions, elle avait surement dû trouvé un homme bien plus beau, plus riche, n'étant pas violent, voulant simplement profité de son corps et de ses services, c'est la dur loi de la vie, c'est la vérité, et je gardais toujours mes yeux ouverts, comprenant que mon père, mon frère, et moi n'étions plus qu'un bref passé de cette femme.
Me refermant sur moi même, je vis très mal le départ de ma mère, je reste sa chair, son sang, elle reste mon cœur, personne ne m'apporte du soutien, ce quartier de Mission District, d'ethnie latino, tout comme moi, mais les garçons eux étaient différents, ils aimaient la violence, n'avaient pas peur de grands chose, j'avais du mal à comprendre, j'avais beau faire, dire, et prétendre n'importe quoi, chaque jours, lorsque je sortais, je vécu la peur au ventre, gardant ainsi un colère contre moi même enfouis au plus profond de mon âme, je me faisais souvent agressé, par une bande d'afro, ces putains de mayate comme on dit chez nous, je ne pouvais pas voir ces hommes, ils étaient comme moi pourtant, mais je les haïssais au plus haut point, enfin, disons que cela ne changera pas pendant tout le court de ma vie, je ne crois pas. Ezequiel n'acceptait pas que j'étais à ses yeux une 'merde', il me frappait, jour pour jour, espérant faire de moi quelqu'un de dur, mais, je m'étais forgé un cœur de pierre, oui, un cœur qui avait trop longtemps saigné par mes affaires familiales, notre père passait ses crises sur nous. Disons, que mon enfance, fût dure, peut être moins qu'un autre, mais dure.
Vous pourriez dire n'importe quoi sur moi, mon silence était aussi large que l'espace qui garde notre planète, je me voyais comme un misérable, ayant pas grande confiance en moi, je préférais me blottir dans l'ombre des autres. Ezequiel réglait souvent mes problèmes avec les jeunes chicanos du coin, jusqu'au jour où celui ci décida de partir, avec la caisse de notre vieux père, un petit tas de son argent qu'il avait récolté de son dur labeur, ne me laissant pas derrière, il m'expliqua que quand je serais prêt, il m’attendra dans un coin de San Andreas, dans la ville de Los Santos, afin de me reconstruire, me refaire une nouvelle vie.
Tout sa, pour vous dire, ma vie était déjà très mal partie, je continua l'école le temps, croyant m'en sortir, espérant que la vie m'acceptera tel que je suis, finalement, lâchant tout cela, à l'age de dix huit ans, mon choix était fait. Une nouvelle vie doit m'attendre là bas.

Chapter I - Las Colinas

La nature d'un homme, elle reste en nous toute notre vie, de l'enfance jusqu'à notre mort, c'est comme cela qu'on s'identifie, qu'on se rend unique parmi tout les hommes qui nous entourent, c'est pas nos expériences, nos sentiments, nos craintes qu'un caractère se forge en nous. J'avais peur de tout recommencer, de partir loin, il est 6:00 du matin, j'ai pris le billet de train le moins cher, ce qui m'a obligé a voyager de nuit, dans une vieille soute, oui, ce ne sont pas des légendes, j'ai pu voyager dans une soute, un wagon sans confort, laissant une odeur répugnante de toutes les choses immondes qui ont pu passé par ici, pour preuve par excellence, si tu voulais pissé, t'avais intérêt à avoir une bouteille, sinon c'est contre les parois de ton wagon que tu le fais, pour finalement supporté plusieurs heures l'odeur de ta propre urine.
Gare de Los Santos, sac en main, Ezequiel m'avais dit que je devais me démerdé, il avait pas de voitures, pas encore, donc j'ai marché, finalement pour arrivé deux heures après dans ces hauteurs. Mes premières impressions ? Un quartier pauvre, de vieilles femmes veillant sur des petits enfants, des musiques chicanos qui se faisaient entendre à tout les coins de rues, des jeunes fumant sur les bords de trottoirs, portant fièrement de larges maillots référençant des équipes de baseball, de basketball, enfin, tout cela ne me changea pas de Mission District, le point fort, je n'ai pas croisé de mayate.
Sa y est, Ezequiel est là, au pas de sa porte, me fixant, un petit sourire au bord de ses lèvres, gardant sa fierté comme à son habitude, je n'ai ressentis que du bonheur, l'attrapant alors dans mes bras, gardant mon sac de sport accroché à mon bras, je ne fis que découvrir ce nouveau lieu, ma nouvelle vie pouvait commencer.
J'ai eu le temps d'avoir quelques jours d'adaptation, profitant du soleil de Los Santos, cela ne changeait pas grandement de San Francisco, mais j'avais enfin des gens a qui parlé, un père à ne plus supporté, des nouvelles connaissances, et un frère sur qui compté. Mes fringues étaient sales, déchirées même, mais je faisais avec, je gardais la tête haute, face aux gens, gardant au plus profond de moi mes valeurs, mes peines, et mes fiertés. C'est alors que Ezequiel, me parlé de cette ville, des lieux dangereux à ne pas fréquenté, que ici, on regorgeait de jeunes comme moi, plus déterminés, manquant autant que nous d'argent, mais déterminés. Les jours passèrent, lui et moi ont faisaient de petits boulot par ci, par là, Ezequiel et moi avions réussis à nous trouvé une voiture ouverte tout près d'une caravane, je n'ai pas cherché à comprendre, j'avais si peur, c'est comme si j'avais transpiré tout les litres d'eau que j'avais pu boire sur une semaine. La vie suivait son court, les jeunes passaient, ont trainaient, c'étais vraiment sympa, j'ai pu fumé mon premier joint, et mon premier ressentit, c'est que j'étais complétement défoncé, absolument mort.
Tout sa pour vous dire, que je croyais que la vie se résumais à cela, des petits boulots, des petits vols, de temps à autres mon frère s'occupait de vendre un peu d'herbes au passant afin de nous payé des vêtements, moi il m'a payé une paire de baskets toute neuve ! C'étais je crois ma première vrai paire de basket à moi..
Le temps passa, je n'étais qu'un branleur aux yeux de mon frère, et même si j'essayais d'être un dur, il faut le dire, j'étais pas à la hauteur des attentes pour devenir un vrai homme, oh j'allais oublié, pourtant cet évènement reste je pense inoubliable après une soirée mouvementée contre des hispaniques du Sud, on avait décidée de se réunir avec les 'gangsters' de NorthEast afin de faire le point, afin de profité de cette bonne victoire tant méritée, et pourtant tout a chamboulé d'une minute à l'autre lorsque ce type là, Clipper sous effet de sa putain de drogue, quand il m'a lacéré de deux longs, et il faut le dire, beaux, car il ne m'avait pas loupé, de haut en bas le long de mon ventre, j'ai donc eu le plaisir de faire mes premières soirées et journées à l’hôpital de Los Santos.
Il faut le dire après cet événement marquant, j'ai changé, et bientôt, tout va chamboulé la vie de mon frère ainsi que la mienne.

Chapter II - Changement d'état d'âme

Mes yeux se plissaient, les urgentistes accouraient trainant mon brancard dans les longs couloirs du sous sol de All Saint Hopital Los Santos, mes deux mains posés le long de mon corps, j'étais impuissant, inerte face à cela, je ne pouvais gémir de douleur pendant que les bactéries s'évasaient le long de mes deux longues plaies ouvertes, j'y ai passé des nuits, j'ai crié, pleuré de douleur, incapable d'utiliser mes deux jambes pour effectué le moindre mouvement, mes journées se résumaient aux beaux discours des docteurs passagers, la solitude, les traitements que me donnaient les infirmier(e)s et surtout des nuits blanche passées, cela fût très long, atroce je dirais, mais cela forge. J'ai médité mes fautes, médité le pourquoi du comment, comment un garçon de à peine seize ans a pu faire cela ? Donc ce tatouage sur sa main faisait réellement de lui quelqu'un de dangereux ? C'est à partir de ce jour que je compris les valeurs de la désignation 'La Cliqua', ce sont des gens prêt à tout, les rues de North East me rendaient dingue, c'est ce jour que j'ai compris que se leurré sur son sort est une perte de temps, il faut changer, serrer les poings, et montré ce que l'on vaut, Ezequiel et moi avions besoin d'argent, alors, même si je dois boité un certain temps, je garderais la tête haute face à ces personnes, quittant petit à petit Las Colinas, Ezequiel et moi comprirent ce jour là que ce temps était révolus.
Il était temps pour moi de me prendre en main, plus d'état d'âme, si je ne prends pas ce qui appartient à la rue, alors la rue me le prendra, voilà ce que je pu me dire longtemps après ce traumatisme. Je me baladais avec une lame de rasoir, arme blanche discrète, finement coupante, et si un problème éclaterait, j'étais donc prêt à sauté au cou de ma victime afin de lui faire passé les filets de ma lame pour lui ouvrir rapidement sa gorge, je le laisserais pour mort sur place se vidant de son sang. La pitié, c'est pour les faibles, la peur est à utilisé, il faut l'utiliser pour en faire de la haine, la haine me mènera à l'échec, alors j'utilisais cette peur à bon escient, et je réfléchissais.
Je n'étais pas forcément le mieux vu dans ces rues, alors parfois je remontais sur Las Colinas, montrant toujours ma présence aux deux trois vieillards du coin, ceux que javais rencontré peu de temps avant avaient perçus évidemment le changement brutal de ma personne, un regard vide, sans expressions, exprimant surement l’amertume de la solitude, de la peur et de la haine. J'ai dix neuf ans, et je dois endossé sans le soutien de personne mon propre changement, le changement que l'homme ne doit pas supporté, celui qui te ronge de l'intérieur jusqu'à épuisement, jusqu'à ce que ton cœur n'est plus que pierre.
Vint le soir où un jeune afro-américain armé d'un petit couteau est passé par la fenêtre de notre cuisine pour dérobé, je suppose quelques objets de valeurs pouvant lui ramené un peu d'argent, mais à son grand malheur, il tomba sur Ezequiel et moi, c'est horrible pour ce jeune garçon, on estimait qu'il avait treize ans, pas plus, même à cet age ils sont déterminés, c'est ahurissant, malheureusement, ce jeune homme, Ezequiel et moi l'avons taillé en pièce, j'ai pu utilisé ma lame de rasoir à ma guise, Ezequiel quand à lui a sortit une énorme machette du dessous d'un de notre canapé, le coupant en petit morceau, on a fini par le trainé dans notre salle de bain, mettant son corps inerte, gisant dans son sang pour en finir, on l'a découpé en morceau, mais merde, qu'est ce que c'étais dégueulasse, j'ai vomis tellement c'est horrible ce que nous avons pu faire. Pourquoi ? Question rhétorique de ma part, je vous dirais que je n'en sais rien, tout ce que je savais, c'est que Las Colinas, c'étais fini, nos biens fût réunis au plus vite, avant d'aller logé chez un jeune de la Puerta Flats sur North East, Odelio. Les événements firent en sorte que notre ancienne demeure où mon frère ne prenait même plus la peine de payé la facture tomba sous les flammes.
Encore une fois, une nouvelle page s'ajoutait à mon livre.

Chapter III - Puerta Flats, j'en suis convaincu.

Je me prenais déjà pour un voyou, alors que j'étais qu'un gamin seulement prêt à fuir au moindre problème aux yeux de certains. La Puerta, c'est la grande avenue qui passe sur le pont de North East, disons que mon déménagement chez Odelio fût bref, disons même qu'il fût concret, le soir même Odelio m'a expliqué calmement ainsi qu'a mon frère, du moins j'ai très bien compris, si je ne faisais pas ce qu'il me demandais, je resterais une merde, et je serais jeté dehors comme un chien qu'on abandonne. Ezequiel, je le sentais, comme à son habitude n'appréciait pas cette façon de faire, et c'étais prévisible, la fin de mon frère approcherais à grand pas, mais je ne préférais pas y penser. Le temps était venue à me posé moi même me posé de questions, qu'étais je réellement ? Avais je compris la détermination de ces jeunes ayant chacun leurs histoires ? Des histoires tant différentes les unes des autres, des histoires où l'on parle de violence, de viole, de meurtre, de souffrance, Rafael, pense tu qu'il y a une justice dans cette vie ? C'est une bonne question, le temps ne faisait que voilé la face de ce quartier, les jeunes vendaient, les vieux dictaient, les accros fumaient, parfois j'avais l'occasion de voir une personne meurtrie dans un coin entre deux blocs. Mais ont s'y faisaient Ezequiel et moi, ont avaient déjà notre histoire à nous. Je fis la rencontre des beaucoup de personnes, celle qui m'aura surement marqué, c'est ce vieux quinquagénaire de Lean, un bon vieux papi qui j'avais compris vivait disons dans de très bonne conditions. Il m'a expliqué toutes ces conneries, les nombres, les représentations sur les murs, la couleur de ce quartier, le marron. Je pourrais passé pour un dingue à raconté sa à des gens qui s'estiment, mais c'est vrai, dans ces histoires de quartier, il y avait des putain de valeurs, des histoires de respects. C'est simple, une meute de loups marchent ensemble, dévorant leurs proies en groupe, et tout cela pour survivre, c'est pareil ici, les principes sont les mêmes, survivre par n'importe quel moyen sauf un, trahir les siens.
Il arrivait qu'on passe des soirées à fumé, à boire, à rigoler, parfois du canapé dans lequel je dormais, j'entendais des femmes criés, des enfants pleurés, des hommes hurlés, des coups de feu, des rires, des pleures, les sirènes qui forment un écho insubmersible dans le quartier, tout sa c'était ma nouvelle vie. D'autres soirées, je l'avoue, je fût initié à me battre, à apprendre à taguer, à vendre sur les 'corners', obligation du débutant. J'ai eu l'occasion de participé à une altercation avec les pires ennemies de ce gang, les Mara Salvatrucha 13. Ils n'étaient pas des plus commodes, et encore moins des plus accueillants, mais nous ne l'étions pas, et ont hurlaient 'Northside 828' je hurlais moi aussi des mots que parfois moi même je ne pris pas le sens à la légère, je commençait à m'attacher à ces gens là, malgré leur violence, leur agressivité, je sentais une certaine simplicité chez eux, ils se contentaient de ce qu'ils avaient, et étaient heureux avec ce qu'ils avaient, ils pleuraient en silence quand ils perdaient l'un des leurs, ces gens portant des tatouages, des regards vides, étaient finalement comme moi, des humains.
N-B-C, les lettres que m'enseignait Odelio, il m'a appris un tas de truc ce type, il est cool avec moi, il s'y donne parfois à cœur joie, d'autre m'aident, mais j'étais sous l'aile de ce type, c'est comme sa qu'ils fonctionnaient.
Les journées s'enchainèrent, je durcissais intérieurement, je détestais les latinos du Sud, les Surenos, et je commençais à prendre un malin plaisir à moi aussi devenir violent avec les autres, parfois pour aucune raisons j’agressais des simples passants ne demandant qu'une seule chose, rentré chez sois, partir au boulot, retrouvé leur petite amie, et moi avec ces jeunes, je prenais un plaisir, généralement on ne prenait que leur argent, donnaient quelques claques, et c'étais tout, d'autres fois les altercations étaient plus violentes. C'est comme tout, il fallait s'y faire, je m'y faisais, mais finalement, quelque chose viendra chamboulé mon existence. Ezequiel a disparu, à mon réveil il n'était plus, plus d'argent, plus rien, j'étais là, à North East, abandonné, avec ces hommes, et jamais je ne repartirais d'ici.

Chapter IV - Aucune issue possible

Souvent je fixais ces jeunes hommes, vêtus de leur vêtements larges, leur bandana marrons, leur paire de lunettes, certains avaient des regard emplies de haine, d'autre de tristesse, d'autre de volonté, moi, il était vide d'après les autres. Ezequiel n'étais plus, et je me devais d'aller de l'avant avec la seule chose qui me reste en tête, me faire marqué à North East comme tout ces jeunes garçons ne montrant aucune crainte. J'ai tout appris dans ce quartier, la vie, le respect, la violence, les magouilles, les vols, et j'en passe, je fixais donc un avenir incohérent. Qui voudrait d'un avenir comme celui ci ? Risqué sa vie chaque jour, risqué de se faire trainé par la police, risqué d'y laissé quelqu'un qu'on aime tombé au sol prêt de nous. C'étais sa le résumé de mon futur, et je ne pensais surement pas arrivé loin dans mon age, mes chances de survies sont simplement réduites.
Comment exprimé cela, la peur qui vous ronge dans le plus profond de votre intérieur, et l'envie de découvrir la suite en prenant le plus de risques possible. Je crois que tout ces hommes, ces femmes ont déjà vécu cet instant, et c'est à mon tour, j'ai tout appris grâce à Odelio. Mais aussi une chose que je n'avais pas souligné, c'étais que l'une des rencontres les moins attendus est arrivée, mon petit cousin tout droit sortit d'une maison pour jeunes orphelins a débarqué ici, je crois qu'il avait été prévenus par Ezequiel, dû moins, j'étais content de pouvoir continué mon chemin avec lui, car c'est bientôt ce qu'il se passerait. Gualterio qu'il s'appelle, et on en a fait un paquet de tags avec lui sous l'ordre d'un certain Raul, ou encore Ropper.
Bref, j'apprends la vie de quartier, et plusieurs mois passent, j'ai vite compris que la NBC 828 voulait de Gualterio et de moi au sein de leur gang. Pourtant, je ne savais pas comment cela pourrait se déroulé, comment j'aurais pu entré dans l'un des gangs les plus dangereux de la Californie. Eux tous à mes yeux étaient devenue des bonnes connaissances, j'avais appris à les découvrir comme ils ont fait pour moi, et je me sentais bien avec eux. Je savais tiré, mon passé avec Ezequiel m'avait permis d'apprendre, et j'ai fini par être embarqué par des vieux gangsters du coin pour effectué un '187'. Je ne savais pas ce que c'étais avant qu'on m'explique la situation. 187 est le code meurtre de la Californie, et c'étais aussi le chiffre qui me faisait frémir au fond du siège de la voiture dans laquelle j'ai été embarqué. Il fallait que je bute l'un de ces fils de pute, que je vois son sang sortir de son corps, que je le vois tombé au sol laissé pour mort avec l'arme du diable que j'avais en main, un pistolet. L'attaque fût rapide, je n'avais pas loupé mon coup, mais ce coup là, je ne l'oublierais jamais, ce visage inconnu était déjà défini par le destin à être mon ennemie, et pourtant ce type ne m'avait rien fait, ne m'aurait peut être rien fait, il avait l'air si jeune. C'étais comme sa, je l'ai tué, avec mes deux mains et mon flingue ouai. Je me suis sentis puissant sur le coup avant de comprendre mon acte, j'ai ôté la vie à la création de Dieu, un homme.
Mes sentiments s’entremêlaient et pourtant, je n'ai jamais exprimé la moindre expression sur mon visage face aux autres, j'ai dû hurlé une ou deux fois dans un coin après avoir fait sa, j'ai dû passé environ une dizaine de nuit à tourné en rond dans le trou où je vivais, mais au final, c'étais fait, c'étais ma destinée, je suis fais pour sa. Les jours passèrent, la formation de Gualterio et de moi était fini, nous étions prêt à entrer dans le 'Street Gang NBC'. Un salto, c'est comme sa qu'on appelle l'initiation finale pour être membre du gang, pour avoir son premier tatouage sur sa main, le fameux 'X6'. J'ai eu le droit à une quinzaine de membre du gang sur moi à me frappé pendant exactement seize secondes. Seize secondes de douleur, de rouage de coups, de violence, d'insultes, de menace, mais si t'y survis, c'est que tu es réellement un homme, réellement un gangster. A l'heure où je vous parle, Rio et moi même, SCARF, l'homme aux milles cicatrices sommes vivants.
Mais les complications de la vie arrivèrent.

Chapter V - On dit que les morts ne parlent pas, en vérité, ils sont tous présent, Scarf X6.

Chaque matins mes pensées se focalisaient sur mon objectif de la semaine, suivre mon gang, suivre mon groupe, servir, défendre mon quartier, gagné de l'argent, et surtout, survivre. Beaucoup hurlaient une tonne de mots montrant notre appartenance aux NBC, montrant que nous sommes ceux qui contrôlent avant tout ce quartier. Nous n'avions pas peur de la police, hélas, trop souvent les débordements se faisaient. Une bavures policière, une simple insulte, un simple coup de poing, et une soirée pouvait se terminé en bain de sang. Je ne montrait aucune peur face à la suite de ces histoires, mais dans le fond, un trou noir complet s'obstinait à retenir mon ventre en boule, me replaçant les pieds sur terre. Je le savais, une balle et je m'écroulerais comme tout ceux qui y sont restés auparavant, alors, j'ai choisis une voix qui n'est surement pas la meilleure, le contrôle de mes pulsions. J'avais rencontré un vieil homme, assez pervers, qui ne supportait plus sa femme, un esprit illogique, la quarantaine, il n'est jamais entré dans le gang, et pourtant, il m'a fait part de toutes les chasses à l'homme auquel il a pu prendre part en Bolivie quand il avait mon age. La Muerte qu'il me disait, voilà son nom. Il n'avait pas d'autres identités, il n'était que un simple coup de vent pour les jeunes dans mon cas. Il m'avait remarqué, puis après quelques temps, avec la confiance, je cracha le morceau, sur mes pulsions sanguinaire, mes envies de meurtre, mon besoin comme un certaine consommation comme celle de la drogue pour son consommateur. Je ressentais un plaisir tel à prendre la vie de quelqu'un, du moins, c'est ce que j'avais ressentis après avoir pris la vie de ce jeune homme, je m'étais évanouis trop longtemps dans ces pensées, mais finalement, le sourire me revint, la peine avait pris ces raisons, j'y avais pris gout, et j'avais besoin de recommencer. Un innocent, un simple homme qui veut servir pour sa patrie, une femme qui donne la vie, un homme qui en sauve, un autre qui prends la vie des autres, je m'en fichais, tant que cette pulsion se calmait. C'est là que La Muerte m'a montré son utilité.
Il m'a expliqué comment procédé, comment se débarrassé d'un corps, comment le faire disparaitre, comment ne pas laissé de trace, comment manier l'arme à feu des meilleurs façons. J'ai appris comme un jeune soldat, puis ensuite comme un jeune assassin. La discrétion, un point fort que m'était inné, toutes mes qualités réunies peuvent faire de moi quelqu'un d’extrêmement dangereux, quelqu'un qui pourra un jour faire tombé les plus grands, avec patience, bon vouloir, et surtout contrôle de soi même.
Quand au gang, il n'allait pas toujours bien, un certain OG'MAG, la plus grosse tête du quartier, un type qui paraissait dangereux aux premiers abords, mais tout changea pour cet homme qui a dû à son tour finalement tombé. Grumpy, oui, c'est lui, j'ai toujours eu des doutes sur lui, peut être lui qui a causé la disparition de mon frère, j'en suis certain, pour une histoire de femme, mais après tout, ce n'est qu'une histoire de règlement de compte, et je ne m'en mêlerait jamais. Ce fameux Grumpy, une sacré tête, il a reçu des ordres, de ceux qu'on appelle la Brown Pride, ou encore la BP, certains n'osent même pas prononcé ces lettres, ces mots. Un cartel Mexicain ? Une Mafia ? Je n'en avais aucune idées, tout ce dont je suis assuré, c'est que si l'ont reçois les ordres de cette organisation, on l'exécute sans bronché. Car le refus entraine la mort. L'ordre était simple, Grumpy devient OG, Grumpy devient un REAL 828, Grumpy devient la plus grosse tête du quartier, et l'ordre est clair, OG'MAG, ou encore Maggot, ou encore Esteban Garcia, doit mourir. Je me souviens lors de cette annonce, tout les plus grands du quartier parlaient de s'en occupé, je gardais alors un silence total, esquissant d'un petit sourire derrière mon bandana. Il était temps pour moi de mettre en œuvre ce que m'a appris ce vieil homme.  
Joué avec une lame, c'est dangereux, c'est à double tranchant, soit on se coupe, soit on coupe l'autre, parfois bien pire, les deux peuvent être touché. C'est drôle, la nuit passa, et le jour se leva, et ce matin là, je ne m'étais pas levé dans le but de survivre, non, ce matin là, j'étais dans un but précis, celui de nourrir ma soif, de enfin pouvoir servir comme il se doit ma propre personne. Enfin j'avais trouvé la cause de mon vide total, mon instinct est libre de chassé, c'est sa mon but. Armé alors de mon petit USP comme chaque jours, je sortis, trouva OG'MAG, l'emmena chez lui, c'est drôle, si simple était ma propre mission que je m'étais ordonné à moi même, personne n'était au courant de la résolution des choses. J'ai fais marché cet homme, je pense qu'il était prêt à dégainer son arme, pourtant, comme je le dis toujours, moi même je finirais par être dépassé un jour par un jeune plus déterminé que moi, son temps était venu, et révolu. Après quelques jeux avec cet homme, je pris le temps de voir sa dernière expression, dégainant alors mon arme, et sans scrupule, je souris, appuyant sur la détente vidant alors mon chargeur. Malheureusement, lors de sa mort, cet homme n'avais plus d'expressions, il n'avait même plus de tête à vrai dire, c'était ignoble, et j'y prenais un certain gout, un certain plaisir.
Je me suis finalement libéré la tache, j'ai ordonné à un jeune que j'avais pris sous mon aile de s’occuper de découpé le corps, et pendant ce temps, un gangster d’expérience du quartier m'avait pris sur le fait, ayant attaqué alors sa propre personne, ne lui permettant pas de lui prendre part à ce plaisir, il l'a très mal pris, le corps était prêt à être jeté à la mer, et c'est ce qui se fera dans la suite. Quand à moi, j'ai finalement été pris à part par une quinzaine de membres du gang des NBC, et sous ordre de ce gangsters, je pris seize secondes pour avoir attaqué la Brown Pride, et un autre seize secondes pour avoir attaqué sa personne, soit trente deux secondes de ma vie se sont écoulé sous une pluie de coups. Ma conscience se perdait petit à petit, pourtant j'avais soutenue le choc. Je préfère passé ces moments difficile, tout ce qui a été fait, a été dit à la Brown Pride. Le corps a été lâché dans un coté de l'océan, mais sa ce n'était pas moi qui m'en occupais. Je suis certains que j'ai attisé l'attention de la Brown Pride, j'en étais convaincu.
Et par une certaine enquête, des complications vinrent à nouveau.

Chapter VI - La Pintà

A l'heure où j'écris cela, j'ai déjà fais deux passages en prison, ce fût mon premier, au cas où vous ne sauriez pas je suis tombé à cause du meurtre que j'ai commis. C'est drôle, mais je m'attendais déjà à une trentaine d'années au moins cloitré derrière les barreaux à me leurrer sur la faute que j'ai pu faire lors de ce meurtre qui aurait alors amené la police. Tout simplement, ce personnage étant l'un des plus hauts dans la tête des gangs était surveillé, et je suis tombé à cause de cela, mais à mon grands bonheur, je suis tombé sur l'un des agents que je côtoie encore à l'heure actuelle, que j'aide, et qui m'aide. C'est grâce à lui que je suis dehors à l'heure actuelle, je n'ai pris que quelques années à l'aide d'une falsification des dossiers administratifs et judiciaires. Je n'ose même pas me demandé toutes les démarches et les risques qu'il a pu prendre mais il l'a fait en échange de toute ma gratitude et de mon aide par la suite. Pourtant, c'est un flic entrainé, expérimenté dans la lutte anti gang, et il demande à un jeune d'un quartier défavorisé de bossé pour lui quand il le faut, c'est drôle, mais sa m'a toujours parut excitant.
Mon jugement était vite fait, meurtre sans préméditation avec légitime défense, par contre ce qui m'a fait tombé en détention carcérale, c'est bel et bien l'utilisation d'une arme à feu illégale. A mon grand regret.
Quelques mois avant mon cousin Rio s'était aussi fait serré, je crois que nos destins sont étroitement liés, quel trou du cul aussi celui là à se faire choppé pour des conneries. J'avais donc, mon petit cousin, des hommes de main de la NBC et des très haut dirigeant de la Brown Pride qui me guettait de loin, soyons franc, je n'étais pas fier quand je voyais ces hommes au regard encore plus noir que le mien. Combien d'homme ont ils pu tué ? Combien ont ils torturés ? Bref, je m'en suis arrêté à là à mon premier passage en prison, c'étais simplement la meilleure chose à faire, je n'étais que surveillé. J’entreprenais de petits business au sein même de la prison grâce au vieux Kilah, à Rio aux gardiens et à deux négros qui venaient de Idlewood apparemment. C'étais drôle mais je n'avais jamais apporté mon attention sur les autres gangs, ils appartenaient aux Bloods Pyrus, c'est une branche, enfin c'est compliqué leur bordel nom de dieu. Ils portaient aussi fièrement leurs couleurs rouge que moi le marron. On s’était monté une petite équipe, et je commençais à leurs faire confiance, Buck et Brod qu'ils s’appelaient, petit à petit ont agrandissaient notre business et surtout ont imposaient notre respect, car là bas, tacos, negros ou huejos, tant qu'ils sont là pour couvrir ton cul, c'est l'important.
On a pu en cogné un tas des ordures dans notre genre, et toujours de loin je voyais ces hommes tatoués Brown Pride me regardé d'un regard noir au loin sans dire un mot, tandis que Rio et moi grandissions dans un univers totalement différent de celui de dehors, la liberté. Ici tu apprends ce qu'est le respect, ce qu'est la manipulation, le travail en équipe, et surtout, les vrais coéquipiers, les frères. Je pense qu'avec Rio ont oubliera jamais ces deux Bloods, morts ou vivants, ils ont protégé ma peau plus d'une fois, pourtant je suis aussi raciste qu'un blanc, je n'aime aucune race inférieure à la mienne, mais eux avaient fait leur preuves.
Le soir j'entrais dans le bloc Nortenos, oui nous sommes réparties par groupes, les Surenos d'un coté, les Eastside d'un autre ect. Soit, chaque soir je regardais mon visage perdant petit à petit son bronzage, je fixais ma personne, qu'étais je ? Étais je un simple outil pour faire tourné une grosse machine ? Ou simplement une petite poussière qui passe simplement sur cette terre pour repartir ? Suis je le seul a me posé ces questions ? Pourquoi chaque soirs je me disais, demain il faudra que tu fasse souffrir un homme, car tu aime cela, car tu es comme sa, crois tu que les autres hommes aiment faire sa ?
Mes années passèrent et ma bonne conduite était inclue dans ma peine, je fini par sortir, et ce n'étais qu'un simple passage. La peine de Rio avait été rallongé pour quelques mois suite à une agression sur un gardien à l'aide de ma propre lame. Brod a disparu, je ne l'ai plus jamais revu. Buck après de longues années finira par revenir sur North East pour me saluer, j'étais content de revoir une gueule de lascars du bon vieux temps.

Chapter VII - Affaire de sociopathe.

Ceux qui me fréquentaient s'étaient aperçus de ma défaillance psychique suite à tout ce que j'ai pu voir, ce que j'ai pu ressentir, j'avais trouvé un réel plaisir à faire le sale boulot, à faire ce que personne n'aime faire. J'ai même pris le malin plaisir qui est l'une de mes grandes fiertés, la formation d'un jeune perdu sans repère, Lukas. Il n'avait pas suivit ces évolutions durant ces années, et il a su sortir du lot autre que les jeunes qui branlaient rien entre deux bâtiments, non lui était constamment avec moi. C'étais d'ailleurs lui qui s'est occupé du corps de Maggot, mais sa c'est un autre détail, je lui ai épargné la prison à cet espèce de petit enfoiré. D'ailleurs, je le frappais pratiquement tout les jours, car ma plus grande poésie est celle de la douleur, j'étais pas une exception à la règle, car tout ceux qui font partit de la NBC 828 sont des personnes qui ont dû souffert, par contre, je fais partie des ceux qui utilisent cette douleur pour nourrir autre chose au fond de soi. Un autre état d'esprit sommeillait en moi, à vrai dire, j'ai l'impression d'être deux personnes différentes, et je ne suis pas atteint de la schizophrénie, au contraire, je suis loin d'être fou, mais un besoin de nourrir mon fort intérieur est constamment en train de réclamer ce que j'aime le plus par dessus tout. Tué, meurtrir, assassiné, la souffrance, les hurlements, la fuite, le sang. Fait chié, si quelqu'un tombe sur ces quelques mots je passerais réellement pour un taré, mais de toute façon, tout le monde le dit, Scarf c'est un sociopathe. Pour les autres, rien ne tourne rond dans ma tête, mais pour moi rien n'est mieux que la tournure que moi je prends.
Vint ma rencontre et ma relation avec Sirius. Sirius, trentenaire, vieille ermite perverse qui profite de moi durant toutes ces années, enfin, surtout de mon talent, de mon savoir faire, c'est aussi un homme reconnu de la Brown Pride, une grosse organisation érigée pour contrôlé les gangs ayant pour idéologie, la RAZA, enfin j'en passe, un tas de conneries qui rapporte du pognon, du respect, et surtout, la distribution de contrat pour meurtre. En bref, ce bon vieux Sirius m'a formé aux idéologies de la Brown Pride, en échange j'ai dû exécuté tout ces vouloirs, tout ce qu'il me demanda, je le fais sans bronché. J'ai frappé, torturé, formé pour Sirius merde. Après ma dernière arrestation j'étais pas mal encadré, et je savais comment agir, plus jamais je ne tomberais pour ce genre de conneries.
Les hurlements constants de ma vieille mère pendant les ébats qu'elle avait avec ces amants, les hurlements de mon père envers ma mère, les hurlements de mon frère pendant ma jeunesse, les hurlements des jeunes qui m'entourèrent, les hurlements des victimes à qui je décida de prendre la vie, tout cela tournait dans ma tête constamment, à vrai dire, je les entends toujours, c'est inexplicable. Le bon dieu a fait de moi un animal, une bête pour servir de bourreau pour des hommes avides d'argent, de femmes et de matériels. Moi ce que je demandais, c'étais pouvoir constamment nourrir ce qu'on appelle plus des pulsions, ouai des pulsion de psychopathes, de sociopathes et toutes ces conneries du genre. Les cadavres s'accumulèrent, bien peu restaient sur le sol des États Unis d'ailleurs, cela passait la frontière dans un trou, un peu de sable, de terre, du ciment et le compte est bon. Pendant ce temps je bossais pour un vieil homme du quartier qui vendait des flingues, sa aussi, un sacré jeu dangereux, mais qui me rapportait de quoi bien vivre, même de mettre de coté entre quatre murs bien isolés. Cependant les risques étaient gros, je m'étais juré de ne jamais repartir en prison, tout alla si vite, je bossais, je faisais mes deals, le boulot, les clients, les victimes, les escrocs, les indics s'enchainèrent. Le temps faisait souvent mal les choses, et je n'étais qu'un objet à faire tourné une machine à pomper de l'argent illégalement, simplement, je n'étais qu'un pauvre chicano avide de choses que personnes ne cherchent, satisfaire ses propres pulsions le plus souvent possible. Le meurtre.
Les mois passèrent, et après tout ce temps de formation pour la Brown Pride, je fini par tombé, les fédéraux m'avait attrapé, sauf que par source d'un indics, je savais que j'étais surveillé, 82 armes exactement étaient remontées deux jours avant mon arrestation en direction de Ciudad Juarez au Mexique. J'étais finalement tombé pour quelques années pour possession d'arme illégale, simplement, le reste, ils n'avaient rien contre moi, sauf un petit mandat, c'est triste.
J'ai passé trois ans en prison, j'en ai deux avec surcis, et j'ai été longuement surveillé encore une fois par ces hommes de la Brown Pride. Ils m'ont demandé une chose avant mon départ de la prison, assassiné un Sureno. Voici ce que raconteraient les murs si ils parleraient.

---

** Après l'annonce qu'il recevra de la BrownPride, Rafael gardera un sang froid total, il ne prendra pas peur, plaça alors la lame de rasoir entre sa langue et son palet, il partira sans dire un mot. La nuit passa, et Rafael réfléchira sans dire un mot à son co détenue. Il ne lui reste plus beaucoup de temps, et les heures sont comptés, celui ci savait que les Surenos vagabondaient toujours en groupe au sein de la prison, mais que à chaque heures des déplacements des blocs, les deux groupes se rencontraient dans les couloirs afin d'intervenir sur des corvées journalière, le linge, le nettoyage, ect.

Celui ci avait étudier les liens entre ces hommes, et aurait regardé chaque jours de son passage les hommes les plus faibles du groupe. Un dénommé Marco, ne dépassant pas les 60 kg, c'étais un jeune garçon faible et pourtant il montrant tant de courage.

Chaque jours les deux groupes étaient réparties à des tranches horaires différentes et se croisaient chaque fois à la même heure, cinq minutes étaient alors disponible pour tenté quelque chose, le jeune Marco avait pour habitude d'aller aux toilettes dû à son problème de vessie à chaque fois qu'il en avait la possibilité, et c'étais à ce moment présent que Rafael comptait s'y prendre.

Tic, tac, tic, tac, le temps coule, cinq minutes, une trappe, une évasion, et c'est dans la poche.

Le temps passait, et Rafael fixait son co détenue d'un air sinistre, un jeune latin n'appartenant pas au gang NBC enfermé pour avoir effectué un braquage à main armé dans une épicerie.

La nuit passait, et Rafael garda un seul œil ouvert, le seul qu'il possède évidemment.

Tu vas t’évader mon pote, sa y est, je connais la solution, tu vois la trappe dans le bloc D ? Je vais t'aidé à y entré, tu auras seulement cent mètre à effectué, et ensuite, je te couvrirais, tu tomberas alors dans les dechets des toilettes, là ce sera à toi de disparaitre dans l'ombre, à ce moment là, tu trouveras un trou pas plus gros qu'un trou de souris, et tu te faufileras dedans, une fois dehors, contacte moi pour me faire sortir.

Le jeune co détenue, imbécile soit il n'y voit que du feu, et Rafael quand à lui prévoit un plan bien plus machiavélique pour les deux hommes. Les toilettes étaient faites, et c'étais alors au moment du jeune co détenue de s'enfuir, par là, il passera par la trappe que lui a indiqué Rafael, celui ci tombera alors en trombe dans un vide totale dans le tas d'excréments qui est rejeté ensuite dans les égouts. Sauf, que le trou pour les égouts n'est pas plus gros qu'un trou de souris, comme l'avais souligné Rafael, et que un système de destruction d'excréments et en place. Celui ci mourra alors dans les excréments, et son corps sera évidemment retrouvé car la trappe sera laissé ouverte et n'aura jamais été touché par Rafael.

Personne n'a remarqué l'absence du jeune co détenue, tout ce qu'il avait prévue était alors en fonction, l'heure était venu, lors des contrôles le détenue numéro AAA14756ZX avait disparue, l'alerte à l'évasion avait sonné, son but n'était pas d'attendre le moment de croisé le groupe des Surenos, mais bel et bien d'annoncé une alerte, Rafael s'éclipsera dans les couloirs, les détenue commencent à s'affoler dans la prison, les gardiens semblent très prisé par la situation, et le jeune Marco quand à lui avait bien calculé son coup pour aller aux toilettes dû à sa trop petite vessie, Rafael passera dans le couloir, le tirera vers la porte d'une violence, et lui tranchera la gorge à multiples reprises, le sang s'écoula à une vitesse et le jeune homme perdit vite conscience, pour s'assuré de sa mort, Rafael tranchera avec précaution toute la trachée du jeune Marco afin qu'il meurt d'une hémorragie. Il viendra alors écrire sur son crane SSL.

Les tatouages de Marco relativiseront son appartenance à un groupement d'homme Surenos. Rafael disparaitra dans l'ombre des couloirs avant même que les gardiens apparaissent et découvrent la terrible scène. Rafael attrapera alors la lame de rasoir, et mettra celle ci ensanglanté dans sa bouche y montrant un petit sourire livide. Il ira alors dans son dortoir initial, se posant sur sa couchette. L'appel sera fait et Rafael n'aurait attiré aucune attention de la part des gardiens.

La BrownPride pourra apprendre que l'arme du crime a disparu dans les mains d'un gardien qu'il fournissait occasionnellement avec 10 grammes de cocaïne ainsi que 150 dollars qu'il avait empoché illégalement.

Lors de son attaque, il aura pris la précaution de ne jamais mettre son visage à découvert, de passé par tout les angles morts de toutes les caméras, il aurait alors prévu son coup depuis bien plus longtemps qu'on lui ai demandé.

Ce jour là, deux jeunes hommes sont morts, le co-détenue Alvaro Ramirez et le certain Marco, l'un avait 21 ans, l'autre seulement 18 ans. L'attaque de Rafael aurait duré exactement 37 secondes avant sa disparition. Il aurait été absent en tout 2 minutes et 49 secondes. Un sachet plastifié aurait été utilisé pour touché le jeune homme, quand a lui il aurait été détruit par la voie du feu. **

Chapter VIII - Né pour dépassé, la Brown Pride et la 828.

[Roy Waynee]

RESERVE

First background -> Roy Wayne - The Wind Guides Me

[Ventura Arrevola]

J'aime <3

[Jaliyah Lattimore]

Je te l'ai déjà dit, mais je te le redit quand même : J'adore, continue vite, j'ai hâte  

[Marzia Tessitore]

J'aime, continue comme ça ma poule, c'est canon <3

[Roy Waynee]

Merci ! Je vais attaqué d'ici peu mon premier chapitre ! <3

[Roy Waynee]

Chapter I ajouté, à suivre la suite du premier chapitre plus tard dans la journée .

[Marzia Tessitore]

J'aime ce nouveau chapitre, la suite ! <3

[Jaliyah Lattimore]

Comme d'habitude, envoi la suite, un jour je pense tu pourra devenir écrivain mon petit, j'adore ! 

[Anthony Chapman]

Nul

[Roy Waynee]

Nul

Ta gueule Vito.

[Taron Slugga]

J'aime bien Roy

[Ventura Arrevola]

Nul

Ta raison, c'est de la merde.

[Abba Goldenberg]

Propre.

[Roy Waynee]

Chapitre I finalisé, Chapitre II en cours de rédaction.

[SADIK SALEM]

Magnifique.

[Roy Waynee]

Chapitre II finalisé, Chapitre III en cours de rédaction !

[Ryder McBerry]

iLike

[Roumanish_Roums]

SA PARLE PAS D'OG LEAN.

Sa va, il pète mon pote.

[Roy Waynee]

Ahaha, j'y penserais de parlé du vieux du quartier âgé de 50 ans là, le vieux débris . Merci !

[Shalesia WALLACE]

J'ai bien fait de le lire c'background

Comme d'habitude, une magnifique plume, j'me suis tous d'suite senti dans la peau du personnage, j'attends la suite mait'nant !

[Roy Waynee]

Ça fait plaisir, je vais pas tardé a re-balancé un texte !

[Roy Waynee]

Chapitre III finalisé, le IV en cours !

[FRANKLIN WASHINGTON.]

Bieen.

[Roumanish_Roums]

T'en trouveras des "VIEUX PAPI" comme OG'LEAN, enfoiré! Ahah, très beau texte mon pote, sérieux, t'à assuré. Vivement la suite.

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