|| Kendricks Stapelton ||

par Sonny Falcone Dim 20 Jan - 22:50

Kendricks
Stapelton

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Life betrays us...

Tout
commence ça dans cet hôpital de Détroit, l'Henry Floyd qu'il
s'appelait. Allez, j'vous raconte.

Le
09 Janvier 1996, des cris résonnaient dans les couloirs froid et
odorant de c'te putain d'hôpital. Une femme noire était entrain
d'accouchée. Anna qui était entrain de souffrir le martyr était
accompagné de son mari John, noir lui aussi. Anna souffrait, elle
souffrait tellement que son mari se demandait si elle si elle allait
pouvoir survivre a cet atroce accouchement. John impuissant devant
les cris de son aimé ne pouvait rien pour elle, il préféra sortir
de la pièce, aller fumer son joint a l’extérieur.

Quelques
minutes plus tard, les cris avaient cessés. L'hôpital était
désormais sans voix, sans cri, vide. John entra dans l'hôpital,
puis couru vers la chambre 286, où sa femme venait d’accouchée.
Il posa sa main sur la poignée, puis la tourna rapidement et posa
son regard sur le lit où était allongé Anna désormais... morte.
John resta pétrifié un long instant avant de détourner son regarde
en direction de la sage-femme et des médecins ayant aidé a
l'accouchement. Il s'approcha d'eux d'un pas déterminé avant de
crier :

«
John :Qu'es-ce que vous avez foutu ?! Vous avez quoi a ma
femme, putain d'merde ?! Elle lui est arrivé quoi ?!?!

Sage-femme :
Monsieur, calmez-vous. Nous n'avons rien pu faire face a un cas comme
votre femme, elle était tr...

John :
Ferme la sale pute, tu sais pas faire ton travail espèce de
connasse ?! Ma femme est morte a cause de toi connasse ! Tu
t'fous d'ma geule ?! »

Un
cri résonna, John regarda tout autour de lui, il finit par poser son
regard sur un berceau. Il s'approche lentement, comme intrigué et y
aperçu un enfant.

«
John : C'est... c'est le mien ? Dit-il en regardant la
sage-femme, puis en se retournant directement vers le bébé.

Sage-femme :
Oui Monsieur, allez-y, prenez-le. »

John
tendit ses bras lentement dans le berceau afin d'enrober son enfant
et de le prendre entre ses deux bras et finir par le bercer. Les cris
incessant de l'enfant s’arrêtèrent. John pris une couverture
ainsi que le berceau, s'en alla en direction de la sortir de
l'hôpital son bébé bien serré entre ses deux bras.

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Chilhood dictator

Dix
ans, dix ans ont passé depuis la mort de sa mère. Son père John
avait décidé d’appeler son fils Kendricks. Kendricks était
maintenant une jeune homme ambitieux, des rêves pleins les yeux.

Comme
tous les jeunes de son quartier, Kendricks détestait
particulièrement l'école. Il préférait nettement transpirer sur
un bon terrain de basket-ball, que de subir les cours, les paroles
insignifiantes de ses professeurs. D'ailleurs, il n'allait plus a
l'école depuis maintenant deux ans. Il passait ses journées a
s'entraîner au basket-ball dans le but de jouer plus tard, dans son
équipe préférée, les Detroit Pistons.

Parmi
ses amis préférées, Kendricks comptait : Ace.

Ace
était un toxico-man qui fumait tout ce qu'il trouvait ou qu'il
achetait au dealer de leurs quartiers. Il ne pouvait pas se passer de
sa fameuse «branche» comme il l’appelait. Kendricks traînant
souvent avec lui, mais ne fumait jamais ce que Ace lui proposait
incessamment.

Son
meilleur ami, Aaron, lui était champion de base-ball de son lycée.
Lui non plus n'aimait pas beaucoup l'école, mais était obligé d'y
aller sous les menaces de ses parents. Il était agile, petit et très
rusé, Aaron et Kendricks traînaient tout le temps au «Hood» comme
ils l'aimaient tant l'appelé.

Un
jour, alors que Ace, Aaron et Kendricks faisaient le guet au coin de
la rue pendant que le grand-frère de Ace dealaient une grosse
commande, une dizaine de voitures de polices surgirent de l'avenue.
Kendricks attrape très rapidement son téléphone afin d'appelé le
grand-frère de Ace mais trop tard. La police avait déjà eu le
temps de les encercler, et d'arrêter le dealer ainsi que le
grand-frère de Ace. Les trois garçons se mirent a courir en
direction d'un terrain vague derrière le mur sur le quelle ils
étaient assis afin d'échapper a cette puissance police qui en
laissais personne approcher. Ace très énervé accusa Aaron et
Kendricks d'avoir appelé la police afin de faire arrêté son frère.

«
- Ace : Bandes d'enfoirés ! J'suis sûr que c'est vous
qu'avez appelé les flics ! Bande de connards, ça se trouve a
cause de vous je reverrais jamais mon frère bande de cons !
Vous êtes vraiment des fils de putes !!!

Aaron :
Eh mec, calme-toi, on a rien fait nous. On est pote depuis la
maternelle et t'ose nous dire des trucs comme ça ? Entre nous,
c'est toi l'connard !

Kendricks :
Calmez-vous les gars ! On n'est pas la pour s’embrouiller.
Aaron ! Es-ce que c'est toi qui a appelé ses putains d'fives ?!

Aaron :
Nan, j'te le jure Kendricks, c'est pas moi. J'ai appelé personne.

Ace :
Espèce de connard, ferme ta geule ! J'suis sûr que c'est toi
fils de pute ! Espèce d'enculé ! Il va d'venir quoi mon
frère ?! Espèce d'enculé !!! »

Ace
pris sa batte de base-ball accroché en bandoulière derrière son
dos et regarda Aaron et Kendricks méchamment.

«
- Ace : Barrez-vous maint'nant ! »

Un
voix se fut entendre !

«
- Eh vous les enfants ! NE BOUGEZ PLUS, RESTEZ LA !!!

Kendricks :
Vite les gars, on s'casse, venez ! Courez !!! »

Les
trois enfants se mirent a courir en direction du terrain vague. Ace
qui courait avec sa batte a la main, tomba au sol a cause d'un rocher
qui lui heurta violemment la tête. Ace se mit a saigner de la tête.

«
- Kendricks : Merde, Ace !!!

Aaron :
Merde ! Kendricks, viens ! On peut pas l'aider ! On va
se faire chopé, merde ! Tu vois pas qu'il est mort ?!
PUTAIN, COURS ; VITE !!! »

Kendricks
pleura tout en courant et en jetant des brefs coups d’œils au
corps sans vie de Ace, leur ami d'enfance. Aaron ainsi que Kendricks
réussirent a s'échapper.

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My son, a new life await us

Kendricks
du tout raconter a son père. L'histoire avec la police, la mort de
son ami Ace et le deal entre le frère de Ace et d'autres types. Son
père a son écoute commença a s'énerver.

«
- John : La police ? La police tu dis ?!

Kendricks :
Oui papa.

John :
Ils ont vu ton visage ?

Kendricks :
Oui...

John :
Putain, putain, putain... Dit-il a voix basse.

Kendricks
baissa la tête peu a peu.

John :
Mon fils, va faire tes affaires et vite. Je vais faire les miennes
aussi. »

Kendricks
couru dans sa chambre, puis commença a rassembler ses affaires dans
une seule valise très petite. Après avoir rassemblé ses affaires,
il pris son ballon de basket-ball ainsi que son BMX et descendit au
rez-de-chaussée. Son père était prêt, il avait déjà mis ses
affaires dans sa voiture.

«
- John : Met tes affaires dans la voiture et vite. »

Kendricks
balance sa valise sur un des sièges arrières, puis revint au niveau
du coffre, il l'ouvrir rapidement, et fit entrer son BMX dans le
coffre. Il referma le coffre et jeta un dernier coup d’œil a sa
maison et a son quartier. Il s’assit sur le siège passager a
l'avant et attendit son père. Il vit son père courir en direction
de la voiture avec les clefs en main. Il s’assit devant le volant,
démarra la voiture et partit rapidement vers une destination que
Kendricks ne connaissant pas... Los Santos.

En
quittant le quartier, Kendricks regarda ses hauts bâtiments qu'il
avait connu toute son enfance, ses terrains de basket-ball, ses
grands terrains-vagues... Tous ses gens qu'il avait côtoyé pendant
des années le vit partir dans aucune raison. En quittant son
quartier, il vit son meilleur ami Aaron qui jouait avec sa batte de
base-ball. Son père ne s'était même pas arrêté afin que
Kendricks lui dise au revoir. En passant, Aaron les aperçu et courut
après la voiture en criant : Kendricks !!! tout en levant
les bras, et finit par s'écrouler au sol...

«
- Aaron : Kendricks... »