Benny Leotardo - Une vie assez mouvementée, SON HISTOIRE.

[Joe Boccino LEAVE]

Au 10thAve street, deux individus sont situés à l’intérieur d'un cabinet psychiatrique. L'une une femme agée de 45ans et l'un un jeune homme agé de 27ans.
En entrant à l'interieur de ce cabinet les deux individus, dialoguent entre eux, l'une lui pose des questions et l'autre retroque par des réponses longues et réfléchies.

Madame McGregor - Alors Monsieur Leotardo, que puis-je pour vous?
Benny Leotardo - Vous vous foutez de moi? je suis pas venu ici pour jeter de l'argent par la fenêtre, vous savez bien que je suis là pour vous racontez mes foutus problèmes!
Madame McGregor - Bien,bien. Qu'es que vous pouvez me dire sur vous?
Benny Leotardo - Sur moi? il y'a tellement de chose à dire..AU FAITE, vous respectez le secret médical j’espère?!
Madame McGregor - Ne vous inquiétez pas, tout ce que vous diriez ne sortira pas d'ici.
Benny Leotardo - J’espère bien..

Benny Leotardo - Bien, alors ou nous étions nous?
Madame McGregor - Je vous ai demandé ce que vous pourriez me dire sur vous.
Benny Leotardo - Il y'a rien à dire de superbe, je suis un pauvre mec, vous savez bien que dans notre pays pour bien vivre il faut avoir de l'argent. Depuis mon jeune age j'ai vecu dans la misére, mon pére lechait les bottes à des hommes bien habillés pour pouvoir gagner quelques sous, et ma mére cette salope faisait le trottoir en cachette afin de pouvoir arrondir les fins de mois. Il faut dire que j'avais pas des supers parents..
Madame McGregor - Pourquoi vous dite que votre mére est une salope? c'est comme meme votre mére non?
Benny Leotardo - Oui, mais j'ai tellement vu des choses dégoutentes quand j'etais gamins..elle ramenait ses clients à la maison pour se faire ENCULER, vous trouvez çà normal? elle s'en foutait que je sois juste à coté.
Madame McGregor - Votre pére savait des choses sur ses pratiques?
Benny Leotardo - Je ne pense pas, enfin je ne sais pas. Elle faisait çà, lorsque mon pére partait travailler.
Madame McGregor - Bien,bien poursuivez..
Benny Leotardo - Comme je vous l'ai dis, ma vie n'etait pas merveilleuse, j'ai du arrêté les etudes comme les 40 pour-cents des gens d'ici, on pouvait pas étudier dans cet atmosphére..Surtout lorsqu'on a la Camorra au cul, vous voyez?..ils viennent réclamés de l'argent à tous le monde! mon père leur verse une grande somme chaque fin de semaine! mais bon depuis tout çà est finit.
Madame McGregor - Pourquoi vous dite çà? votre père est mort?
Benny Leotardo - Non,non depuis peu les personnes qui viennent prendre l'argent hébdomadaire, sont devenus des amis à moi, vous voyez.. je les aide dans des petits boulots pour pouvoir me remplir les poches et surtout pour qu'ils arrêtent de dépouiller ma famille.
Madame McGregor - VOUS FAITE PARTIE DE LA MAFIA? *dit-elle d'un ton interrogatif et méfiant*
Benny Leotardo - La mafia? la mafia n’existe plus..vous les bobos vous faite beaucoup de clicher sur la mafia, vous croyez que la Camorra c'est comme dans le film le Parrain? *dit-il en lançant un léger ricanement*
Madame McGregor - Vous me dite que vous travailler pour eux, c''est normal que je me questionne.
Benny Leotardo- Je ne travaille pas pour eux, je les aide juste à faire quelques taches.
Madame McGregor - Quelles genre de taches?
Benny Leotardo- Bordel vous êtes de la police ou quoi? me faite pas chier avec vos questions à la con.
Madame McGregor - Je suis là pour vous aidez pas pour vous dénoncez..
Benny Leotardo - Vous voulez savoir ce que j'ai fais hier? Baah..je suis parti avec un ami au BobbyBo' pour récupérer de l'argent.. je peux vous dire que le propriétaire avait les chocottes lorsqu'il nous a vu. Il a du chier dans son foutu froque.
Madame McGregor - Pourquoi devait-il vous donnez de l'argent?
Benny Leotardo - Sans importance..Bon c'est finit? je dois partir chercher la grand-mère de chez le dentiste.
Madame McGregor - Oui, notre prochain rendez-vous aura lieu Lundi prochain, comme convenu..
Benny Leotardo - Ne vous inquiétez pas j'y serais.

Il est 10:35, le telephone vient de sonner. Benny décroche :
Benny Leotardo - Putain c'est qui?
Alberto - C'est Alberto, descends à la cabine puis rappelle moi, c'est urgent.
Benny Leotardo - OK,ok..

Benny Leotardo - *appel d'une cabine téléphone* C'est Benny, il y'a un problème?
Alberto - *appel d'une cabine téléphone* Oui, j'ai un coup pour toi, tu dois t'occuper d'un des gars de Antonio..
Benny Leotardo - *appel d'une cabine téléphone*C'est quoi le problème?
Alberto - cherches pas à comprendre, ramènes toi au club, je t'expliquerai la-bas.
Benny Leotardo -*appel d'une cabine téléphone* J'arrive dans 15minutes, je dois me préparer, je viens de me réveiller.

Benny repart chez lui afin de pouvoir se changer, puis regagne son véhicule pour se diriger au club d'Alberto.
Arriver à destination, Benny remarques deux véhicules de type Alpha Romeo 147 de couleur noire, gardées en façe du club, mais celui-ci n'y tient aucune importance.

Benny Leotardo - Hey Alberto! *dit-il en s'approchant vers lui afin de se saluer*
Alberto - Ramènes toi dans mon bureau, je dois te parler sérieusement.
Alberto -Ecoutes, j'ai un coup pour toi, si tout ce passe bien tu peux te faire 5.000 Euros.

*Un mouchard est positionné derriere un tableau*

Benny Leotardo - C'est quoi le plan? je serai tout seul?
Alberto - C'est tres simple, Antonio traine souvent du coté du BobbyBo', tu le trouveras surement se soir vers les coups de 22heures, tu le chopperas sur le parking, normalement c'est un coin tranquille, personne ne t'aura.
Benny Leotardo - Je dois le descendre?
Alberto - Oui, des qu'il regagne son véhicule, tu sors puis tu lui fou une bastos en pleine tète, tu me suis? tiens..*dit-il en sortant un M1911 Silencieux du tiroir* avec çà tu pourras faire l'affaire.
Benny Leotardo - Ok, sa parait simple, je t'appelle des que c'est fait?
Alberto - Je te fais confiance Benny, appelles moi des que c'est fait.

De l'autre coté de la rue, à l’intérieur de l'une des Alpha Romeo, l'agent spécial Lupertazzi écoute la conversation des deux hommes.
- *Appel téléphonique* Allo chef, ici Lupertazzi. Totoclub est sur un coup avec un certain Benny, on fait quoi?
- *appel téléphonique* Ils préparent quoi? vous avez pu suivre leur discussion?
- *Appel téléphonique* Affirmatif chef, ce certain Benny doit liquider un certain Antonio au BoobyBo', à 15 kilométrés du Napoli Club, on envoie une équipe en repérage?
- *Appel Téléphonique* Faite le nécessaire, essayez de les avoir vivants.

Il est 21h30, Benny est à l’intérieur de sa berline, les yeux rivés sur le retroviseur, il attend avec impatience l'arrivée de Antonio. Quelques minutes après Antonio sort de la porte arriere du BobbyBo', se dirigant directement vers son véhicule, quand soudain Benny, attrape le cross de son M1911, ouvre la portiere puis se dirige rapidement derrière Antonio afin de lui coller deux balles en pleine tete, quand tout d'un coup, deux véhicules de la brigade opérant sur le crime organisée, sort soudainement d'une allée..Benny s'interroge, puis tente de regagner son véhicule rapidement afin de pouvoir s’échapper.
Une course poursuite se met en place sur l'autoroute de la ville, les deux véhicules roulent à une vitesse impressionnantes, Benny tente de semer le véhicule, mais sans sucée, il essaie de prendre les petites ruelles afin de pouvoir se réfugier. Quelques minutes apres, Benny a pu se faufiler dans un parking souterrain, il sort du véhicule, puis attrape son téléphone portable l'air paniqué.

- *appel téléphonique* ALBERTO, ANTONIO EST MORT MAIS J'AI EU UN SACRE PROBLÈME, J'AI LA POLICE AU CUL, ON ÉTAIT SUR ECOUTE.
-*Appel téléphonique* QUOI? tu me racontes quoi? tu es ou là?
-*Appel Téléphonique* Je suis au bout de la ville, j'ai du me caché un petit moment, je risque de me faire coffrer!
-*Appel Téléphonique* Putain de merde, on se met au vert pendant un petit moment, essaie de quitter le pays!
-*Appel Téléphonique* Ok,ok, pour l'argent tu le donneras à Alfredo, il me le donnera apres.

Âpres cet événement inattendu, Benny à du prendre l'avion pour les Etats-Unis d'Amerique afin que cette histoire ce tasse.

[Joe Boccino LEAVE]

-Reservé-
Suite à venir.