[Background] Clarence Johnson [Prodigy]

[Clarence Johnson]

Physique de Prodigy :

Chapitre I : Welcom To The Projects Sons ..

C'était une nuit froide dans Los Santos le 2 novembre 1993, un jeune black naquit dans le célèbre All Saints Hospital, sa mère était chanteuse dans un petit groupe de Willofield et sont père était un dealer de crack dans les rues de Willofield ... Même si cette famille semblait normal dans le ghetto elle ne l'était pas. A l'age de 2 ans le père de ce gamin mourut sous les coups de feux d'un réglement de conte entre dealer, quoi de plus normal dans la rue me direz vous ? Moi je v'est vous le dire, car cette évènement à engendré bien des choses dans la vie de ce petit gamin ... Il se nommait Clarence, il avait maintenant 8 ans il êtait toujours a l'école et recevais une éducation concidérer comme normal mais vous savez, la lois de l'argent règne à Los Santos et chaqu'un rêve un jour de décrocher le millions, mais pas Clarence depuis tout petit il voulait devenir rappeur, il envoyais quelque rimes dans sont coin écrivais quelque texte digne d'un gamin de sont age, mais vous savez les problèmes d'argent sont très courant dans les rues de Willofield. La mère de ce gamin n'arrivait plus à le nourire donc elle l'envoyat vivre chez ca grand mère à l'age de 9 ans, ca grand mère gérais une petite écoles de dance classique à Willofield qui se trouvait sur 45th avenue, elle logais dans la célèbre Queens Bridge Avenue qui était composer des célèbres HLM "Queens Bridge Houses" repère préférer des vendeurs de drogues, et des rappeurs...

Chapitre II : I Stock You of The Reelness.

Ce gamin avait 13 ans, il vivait toujours chez sa grand mère à Queens Bridge Avenue, sa grand mère l'empéchait de sortir disant que si il sortait c'était sa vie qu'il gachais mais il s'en foutait et un jour il partit rejoindre sont pote Killa B dans la rue, il lui disait qu'il avait besoin d'argent qu'il voulait peser lourd dans la rue et porter des diamants sur ses oreilles, bref des choses matérielles qui n'apporte que des emmerdes dans la vie d'un homme, Killa B montra un homme qui arriva en trombe en diréction de Clarence, il lui dit.
-"Yo sert lui la main !" Une liasse de 2 billet de 50 $ a partir de ce moment la Clarence compris qu'il était tomber amoureux du fric ... Il arrétat l'école à 14 ans pour ce concentré sur le deal d'herbe et de crack dans la rue, il n'était rien d'autre qu'un petit dealer parmis temps d'autre, il possédais un calibre l'avais déjà utiliser une fois et priais le seigneur tout les jours pour ne plus avoir à l'utiliser mais vous savez ce genre de merde sa rattrape un homme et quand sa vous tombe sur le coin de la gueule sa fait mal. 14 ans et un meurtre sur le dos bordel a chaque fois qu'il sortait dans la rue il fesait la prières du gangster "Seigneur faite que ce ne soit pas encores mon heures, faite que je puisse ramener de l'argent à ma famille et faites en sortes que mes ennemies perrissent avant moi .." c'était ca sa putain de prières du matin, bordel quesqui ce passait dans la têtes des gamins maintenant ? Sa carrière de rappeurs débutant continuais il lachais des Flows en rue, toujours un rap réalistes il se fesait appeler Prodigy dans la rue ce qu'il le décrivais bien dans sont rap, mais bon les conneries dans la rue sa finis toujours par te rattraper hein.

Chapitre III : Welcom To Jail Sons.

Et voila comme toujours quand on dance avec les diables on fini en taul et Prodigy se fit serrer avec 1 pocheton d'herbe et 2 tubes de crack et voila 1 ans de prisons dans les dents résultats de la taul jusqu'a 16 ans dans la prisons pour mineur de Los Santos mais bon je v'est pas vous détailler sont putain de séjours en taul car il n'a rien de spécial appart que comme il n'avait rien a faire il écrivais de plus en plus de textes racontants sa vie, la vie dans lascar dans la rue comment s'en sortir, bref toute c'est merde qu'il se passe dans la rue.

Chapitre IV : It's Time For The Freedom.

Voila le jour de sa sortit, il rejoigna sa grand mère a l'appartement il y avait sa mère elle lui fit la morale et il passère a table et voila. Après Prodigy retourna dans la rue y avait toujours autant de dealer de came et Prodigy voulait arrêter toute c'est conneries pour vraiment se lancer dans le rap, il lachais deux trois truc dans la rue et se remis a dealer pour se faire un peut de fric et la les flics qui surveillais le quartier se mire a prendre en chasse Prodigy et Killa B.
"- Merde mec on va se faire serrer ! Dit Killa B d'une voix essoufler
- Putain de merde ta gueule et court !!!
- Merde ! Merde ! Killa B sauta la barrière suivit de Prodigy
- Fait chier ! Il c'était pris une poubelle et tombat"

Killa B c'était arrêter et les flics les avait serrer mais ils c'étaient débarrasser de la came et du flingue, une fois au commiceria un dilème s'imposa, Killa B explicat qu'il c'était pas fait serrer et que sont truc de rap il le sentait à font donc il pris 3 ans de taules et Prodigy fut libérer, il partit 2 ans à Liberty City pour se "remettre dans le droit chemins" et l'heure du départ pour Los Santos allait arriver, il prépara sa valise et repencait à toute c'est merde il avait besoin de fric et avait prévue de dealer quelque grammes d'herbe et de faire connaitre sont rap il avait 17 ans et sont 18 eme anniversaire allais arriver dans 1 mois.

Chapitre V : Welcom Home Sons.

Ce putain de nègre était rentré à la maison, il fut accueillis par sa grand mère et n'hésita pas a recommencer ces conneries, il appela Oscar le gars pour qui il bossait. Il lui dit comme quoi il voulait se refaire patati patata bref la connerie habituel d'un nègre qui veut se refaire. Il parla avec les gars du nord de Willofield il lui avait trouver un peut de boulot vendre des consoles de jeux .. Mais bon quand on veut du fric on et près a faire tout il lui avait refourguer un gars avec qui vendre c'est connerie Turbo, Prodigy n'aimait pas trop ce mec il avait essayer de l'entuber de 45 $ et une chose et sur il ne voudrait plus bosser avec car on ne déconne jamais avec le frics dans la rue car les conséquence peuvent être terrible et stupide si on réfléchissait bien.

[Invité]

Pas mal.

[Clarence Johnson]

Merci du compliment

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