[LIVRE-LIBRAIRIE] Mafia - Inside the Gambino Family [Le livre évenement de DANIEL DACCACIA !]

[Peter Filkowski]

Le livre se trouve à partir de minuit et une minute, le 01/11.2011, dans toutes les librairies de la ville et les coins de presse.
Il contient environs 600 pages, il détient énormement de détail sur la famille Gambino, et son fonctionnement, ainsi que sur celui de la Cosa Nostra en général. Il peut s'avérer être une bible pour le F.B.I. s'il l'utilise bien, et une mine d'information incroyable puisqu'un témoignage réel de l'un des anciens patrons de la Cosa Nostra américaine.

OOC:

PRÉFACE.

Comme vos le savez tous, je m'appelle Pasquale Greco, et je faisais partie de la Cosa Nostra, plus précisément au sein de la famille Gambino.
Si aujourd'hui je décide de m'exprimer à travers ce livre, c'est parce qu'une vie de marginale comme j'en ai eu une ne dure qu'un temps. Il faut parfois regarder les choses en face, on croit tout avoir lorsque l'on en fait parti, mais tout cela n'est qu'illusions. Ce n'est pas une vie qu'on peut qualifier de "normale", je veux dire par là une vie de famille sans problème. C'est un travail qui demande une attention particulière à chaque détail, chaque petite chose que n'importe qui ne remarquerait pas en temps normal, en bref, c'est un travail qui vous prend toute votre vie sans jamais ne pouvoir vous la rendre, il laisse des marques indélébiles qu'il est impossible d’effacer. C'est tout de même ce que je tente de faire par le biais de cette biographie, faire connaître à tous les secrets de ce monde sombre et à sens unique. Si j'ai choisis Daniel Daccacia afin d'exprimer mon ressenti sur le papier, ce n'est pas du au hasard non plus, puisque je le connais à présent bien et lui également, on peut se comprendre.
J’essaie, grâce à ce livre, de racheter du mieux que je peut toutes les erreurs que j'ai pu commettre dans mon passé, aussi nombreuses soient elles.
On va peut-être vouloir me mettre en prison pour tout ce qui sera raconté dans ce livre, mais sincèrement, ça n'arrivera pas.

CHAPITRE I : La famille Gambino sous le règne de Vincenzo Gotti.

Vincenzo Gotti était l'un des fils de John Gotti, le plus célèbre des parrains de la famille Gambino à New York, connu pour ses nombreuses arrestations et ses provocations incessantes. Lors de la mort de son père, en 2002, Vincenzo pris en mains pas mal d'affaires de la famille désormais affaiblie à la grosse pomme. Il fut nommé Soldat par ses oncles, qui avaient pris le pouvoir à la mort du Donc bling-bling. Lors de la mort de ceux-ci, c'est à Joey Mangano que revint la place de leader de la famille mais, lorsqu'il disparut en 2006, ce fut Vincenzo qui atteignis l'apothéose. Il prit l'initiative, risqué, de déplacer un grand nombre des business de la Gambino à Los Santos, sur la côte ouest, ce qui affaibli énormément l'organisation. Les bras-droit ne durent pas longtemps, Paul Brazzi et Albano Sindacco sont très rapidement tués, puis remplacés par Mickael Cotroni. C'est environs à cette période de transition que survinrent les tensions au sein de la famille. Alors qu'elle est seulement relancée grâce à Cotroni, les capitaines, c'est à dire ceux qui représentent les patrons dans la rue, se lient déjà contre le pouvoir en place. La famille Gambino entre donc dans une période de mutinerie silencieuse. Gotti et son bras-droit prennent peur des différents Capitaines, Vito Ancelotti, Paulie Gravano, Antonio Cotroni et Tony Houston. J'ai même entendu dire qu'à cette époque, beaucoup de capitaines et même de soldats ne payaient plus leurs tributs, ce qui représente le manque de capacité des deux boss à gérer une organisation criminelle aussi puissante. Tout le monde sentais la famille se déchirer petit à petit. J'étais à l'époque soldat dans l'équipe de l'homme qui deviendra par la suite célèbre, Paulie Gravano, dit Big Paulie.
La Gambino que se sont efforcés de forger Mickael et Vincenzo n'était en réalité qu'un écran de fumée, derrière se cachait une organisation qui n'est plus représentée dans la rue, qui n'est plus crainte et plus respectée, elle était en train de se dissocier et des plans commencèrent à se faire. Je voyais là une très bonne opportunité pour monter en grade et prouver de quoi j'étais capable, surtout que je connaissais Paulie depuis très longtemps et que lui faisait déjà partie des capitaines. En 2007, Mickael Cotroni est assassiné, tabassé sauvagement dans le Ten Green Bottles, sur le territoire de Gravano. Le meurtre fais la une des journaux californiens, pour tout les membres de la famille Gambino il s'agit d'un coup de maître et d'un futur grand retournement de situation pour Gotti. Mais celui-ci y voit, en se trompant fortement, la fin de tensions. Lorsqu'il se rendait, seul, au Ten Green Bottles encore une fois pour récupérer son tribut hebdomadaire, Vincenzo Gotti est assassiné par des alliés de Paulie, qui avait organisé son assassinat méticuleusement, les membres de l'autre grande famille mafieuse de Los Santos, la famille Ruggiero. C'est donc la fin du règne de l'homme qui avait détruit la Gambino, à sa manière.

CHAPITRE II : La Gambino déchirée.

Le chef du crime organisé de la Californie viens d'être "mystérieusement" assassiné au Ten Green Bottles, à cause de la trahison de l'un de ses quatre Capitaines : Paulie Gravano, le neveu du tristement célèbre Salvatore "Sammy the Bull" Gravano.
Peu après le meurtre de Vincenzo, son consigliere, Joey Mangano JR, pris la fuite dans on ne sait quel pays. De ce que j'avais entendu de lui dans la rue à l'époque, c'était un "sans-couille" comme tout le monde dit, et tenait sle peu de réputation qu'il avait seulement de son père, Joey Mangano, le prédécesseur de Vincenzo au pouvoir de la Gambino. Au lieu d'affronter les problèmes que rencontrait la famille en face, il a préféré quitter le pays afin de ne pas rejoindre Vincenzo, cette attitude m'a toujours amusé.
Deux semaines après le meurtre de Gotti, les quatre capitaines de la famille, Vito Ancelotti, Tony Houston, Antonio Cotroni et Paulie Gravano ont fait une réunion au manoir de ce dernier, à Richman. Je m'en souviens comme si c'était hier. C'est d'abord le crew de Big Paulie qui était là en premier, on était cinq : les trois soldiers, et des insiders. Ensuite sont arrivés l'équipe de Antonio Cotroni, ils était quatre, et semblaient pas très impressionnants, il y avait John Albertino, et Walter Lombardo, les deux seuls dont je me souvienne. Ensuite, l'équipe de Vito est arrivée, eux ils était au moins une trentaine, je crois qu'ils avaient l'intention de tuer Paulie, mais comme tout le monde s'en doute, rien ne s'est passé. Tony Houston et ses gars, eux, sont arrivés en retard, pour se donner un genre. La réunion, ensuite, a durer au moins deux heures, durant lesquelles tout les membres des crews étaient chacun de leur côté, parlant entre eux dans le froid. On sentait la tension dans l'air, personne ne savait ce qui allait se passer. Je me rappelle aujourd'hui de pratiquement tout le monde lors de cette réunion, bien qu'on était environs une cinquantaine : les tronches de cake des gars de Ancelotti, les carrures de fiotes de ceux de Cotroni, et les gars inexistants de Houston. Je me rappelle de tout leurs visages décomposés lorsque sont sortis les désormais Boss, ils se sont tu et chacun est retourné dans son quartier respectif. Paulie m'a alors expliqué, à moi, Joseph "Joe" Roth et le dernier soldat Billy Donatello qu'ils avaient formé une sorte de "commission". En gros, chaque semaine se déroulerait une réunion des différents Capos pour prendre les décisions les plus importantes pour la famille. C'est aussi ce soir là que je me suis vu donner la place de bras droit de Paulie, ainsi que le droit de récupérer la taxe de Ruggiero.
Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes, je récupérais beaucoup d'argent en ce moment de tout mes associés et du business de drogue que j'avais instaurer avec l'aide de Joe, et bien sûr je donnais sa part à Paulie toutes les semaines, ça s’appelle le tribute, et faut pas oublier de le donner ou sous peser l'enveloppe, sinon, les trois quarts du temps, ça se fini au fond d'un fleuve, mais je n'ai jamais eu ce problème car j'ai toujours été sérieux dans mon boulot.
Tout à l'heure, je parlais de Ruggiero, je vais approfondir la question.
Dans Los Santos, il y a donc deux grandes "familles mafieuses". La famille Gambino, déjà connue à New York et dans le monde entier, et la famille Ruggiero, une petite famille de seconde zone de LS, dirigée par Frank Ruggiero et Salvatore Caruso. Ils possèdent deux ou trois quartiers et quelques soldats, comme Franck "Leather", et personne connaissait son nom de famille, je pense qu'il en a honte ça doit être un nom étrange, ou Joe la poisse, parmi leurs capitaines je me souviens de Rayan Galeazzi, et d'autres. Ils payaient une taxe depuis déjà l'époque de Gotti pour être tranquilles dans leurs affaires. Lorsqu'ils ont pris plus d'importance dans la ville, on les a fait entrer dans la Cosa Nostra de façon plus officielle. Que je me souvienne, c'est toujours les deux mêmes hommes qui dirigent cette organisation.
La Gambino sous la commission, c'était plus structuré que sous Gotti, c'est sûr, ça s'améliorait petit à petit, mais c'était pas encore ça. Le besoin d'un chef se faisait sentir, c'était envident. C'est comme une armée sans général, ça ne peut pas tenir. C'est alors que moi et Paulie avons décidé de prendre quelques initiatives.

CHAPITRE III : La Gambino sous le règne de Gravano.

Donc. Paulie, comme le gros manipulateur sans scrupule qu'il était,avait planifié les meurtres de Antonio Cotroni, Vito Ancelotti et Tony Houston, afin de passer Boss plus facilement et sans encombre, il fallait éliminer les obstacles. C'est moi qui m'en suis chargé. Pour Antonio, ça a été très simple et rapide. J'étais avec deux gars à moi, Franky Luciano et Richard Kuklinski, deux très bons hommes à moi, et c'est pour ça que je les ai choisis pour m'assister dans ce boulot. J'avais donc rendez-vous avec Antonio au Ten Green Bottles, il est arrivé seul, tel le pauvre Capitaine déchu de son équipe qu'il était. C'était vraiment le plus simple des trois, pas la simple et bonne raison que, comme je l'ai déjà dis, il n'avait plus aucune équipe. On l'a emmené sur le toit du TGB, avec Franky et Ricky, on a parlé cinq minutes, puis on a tout les trois sortis nos armes à silencieux, des neuf millimètres. Antonio, arrêté au beau milieu de sa phrase par cette action, s'est stoppé net, je crois qu'il a vu sa vie défiler sous ses yeux durant le quart de secondes durant lequel on a levé nos armes, puis.. j'ai ouvert le feu en premier. Je crois que c'est moi qui l'a tué, techniquement. Je lui ai mis trois balles dans le crâne, il était toujours pas par terre, bien que totalement défiguré avec de la cervelle qui lui coulait des oreilles. Ensuite, on a tous tiré dans sa poitrine, au moins cinq balles chacun, on l'a totalement troué, il était sûrement déjà mort mais il tombé à cause de la puissance de nos armes à feu combinée. Il est donc tombé, s'est éclaté le crâne déjà bien troué contre le sol, et n'a plus bougé, j'avais pas mal de sang qui avait attérit sur mon visage, ainsi que sur les habits de Franky et Ricky. Une scène pareille, c'est digne d'un film hollywoodien. C'est là qu'on comprend à quel point le milieu est violent et horrible, et c'est l'une des choses qui m'a poussé à écrire ce livre. Après cela, Paulie est venu constater les travaux, il a redonné un coup de pied dans la tête défigurée de Antonio, puis on a rangé le corps dans un tapis, avant de le jeter au fleuve.
Ensuite est venu le tour de Vito et de ses gars. Pour lui, c'était différent. Bien qu'il n'avait aucun pouvoir, il avait encore une équipe derrière lui, qui pouvait nous ralentir. Avec Paulie, on a donc décidé de lui proposer une place de sous boss, et qu'il lâche son équipe en contrepartie, pour le descendre par la suite plus facilement. Je me doutais qu'un coup bizarre allait arrivé, donc j'ai rallié à notre cause un de ses soldats, Carmine Tramunti, plus exactement son soldat le plus efficace, qui lui a ramené à son tour Alfredo Paccinelli. J'ai donc pris toute mon équipe, Joe aussi, et me suis rendu chez Vito. On était peut-être cinq, et chez Ancelotti, grosse surprise, il y avait seulement Vito, son frère Adriano, Carmine et Fredo. On a donc discuté, et je lui ai exposé le problème, puis lui ai proposé la solution qu'on avait choisie d'avance pour lui. Il a refusé, et a voulu garder son équipe. On a tous sorti nos flingues, que ce soit mes gars, ceux de Joe, ou le peu qui restait à Vito. Seuls lui et Adriano n'ont pas réagis, ensuite, on a tous ouvert le feu. Ça ressemblait un peu à la dernière scène de Scarface, c'est pas tout les jours qu'une dizaine de gars tirent sur un seul. Beaucoup de sang sur chacun d'entre nous, sur les habits, les visages, les armes, sur les murs, le sol. On voyait même ses boyaux qui ressortaient au niveau du ventre, c'est cette image qui m'a marqué toute ma vie par la suite je pense. J'ai fais comprendre à son frère Adriano que s'il se tirait de L.S., il serait épargné. Il semblait d'accord pour se barrer, mais le soir même, il a réuni les derniers gars qui lui restait, ils sont arrivés aux TGB et ont ouvert le feu. J'avais tout mes hommes sur le pont, et ils ont tous été exterminés, pour Al, je lui ai réservé une mort sympathique, après que mon homme de main, Tony Cerreti, l'ai bien achevé, on lui a écrasé la tête dans le caniveau et on est partis. On sentait vraiment le roussi au sein de la famille, avec tout ça, j'avais même oublié de récupérer la taxe des Ruggiero, grossière erreur de ma part puisque par la suite, ils ne l'ont plus payée et ont continue leur expansion alors que nous on faisait encore le ménage.
Quant au dernier de mes contrats, Tony Houston, je n'ai jamais pu le réaliser. Voyant que tout le monde tombait les uns après les autres, il avait préféré quitter la ville rapidement, lui et son frère Marshall.
Paulie est donc passé Boss facilement, moi Capitaine, et on a nommé de nouveaux soldats, et un nouveau Capitaine, qui a repris l'équipe de Antonio et de Tony Houston à la fois : John Albertino. Ce type là était pas mieux que ses prédécesseurs, mais c'est tout ce qu'on avait pour le moment.
On a par la suite pu continuer notre expansion plus tranquillement, sans problème interne ou externe. On a racheté l'Alhambra et le Pig Pen, avons crée Gravano's Event puis Gravano's Foundation, et on amassait l'argent. Mais l'état de santé de Paulie se détériorait, à cause de son cancer qui faisait à nouveau surface. Il m'a donc nommé Steet Boss, j'étais donc le patron par intérim si on veut, c'est moi qui récupérait l'argent de John et du nouveau Capo fraîchement nommé, Melvin Uccello dit "Saint". Cette situation a continué quelques mois, jusqu'à ce que moi et Paulie avions décidé de supprimer John, qui ne payait pas assez et n'arrivait pas à gérer son équipe comme il se doit. Je crois que c'est cet événement qui a déclenché la suite de l'histoire. Moi et mon homme de main le plus violent, Tony, sommes allés le voir, puis on l'a descendu, purement et simplement.
A la suite de ce meurtre, le FBI a resserrer l'étau sur nous, je crois aujourd'hui que c'est la goute d'eau qui a fait déborder le vase comme on dit. Les arrestations de tout nos associés se sont multipliées. C'était une réelle hécatombe, Paulie a disparu du jour au lendemain, sans laisser de traces, Joe aussi. J'étais encore là avec Melvin, on savait qu'il ne nous restait sûrement plus longtemps de temps libre, donc on a pensé à sauvé les meubles. Une quarantaine de personnes se sont fait liquider en une semaine, pour ne pas qu'elles parlent. Ensuite, je suis parti à Cuba où j'ai vécu assez.. tranquillement, et où j'ai surtout eu le temps de penser à mon passé houleux.

Je serai Cosa Nostra, du début à la fin je le serai.

Pasquale dit Patsy Greco, rédigé par Daniel Daccacia et Harry Davis.

[Clarence Johnson Prodigy']

Prodigy passe au 24/7 et se livre attire l'attention de Prodigy, se jeune noir regarde le livre et l'achète et se dit : "Peut être que se livre m'apprendra a monter dans le crime ..."

[Vincenzo_Portelli]

/me feuilltte le livre dans le 24/7
Oh mon dieux c'est de l'art se truc, je l'achète
Je vais en parlé au studio Hollywood, pour qu'il en fasse une adaptation au cinéma
/me prend sa voiture et se dirige à vive alure en direction d'Hollywood.

((Bravo c'est très bien fait, j'aurais pas eu le courage))

[Joseph Caiazzo]

Dom' entre dans le 24/7 de la mairie où il a l'habitude d'aller pour faire ses courses, il passe dans les rayons d'un pas rapide jusqu'a tomber sur son sandwich favori, il l'empoigne puis part vers la caisse, mais un livre attire son attention et Dom s'arrête d'un coup devant celui-ci le prenant d'un geste colérique, il regarde le nom de l'auteur et s'exclame :

Putain il fait vraiment chier celui-là, qu'il aille faire des bouquins de cuisine au lieu d'parler de c'qu'il sait pas, Chié ! J'lui ferai bien bouffer son putain de livre de merde à la con...

[Jonathan Lawless]

Mickael Uccellini, ne trouvant pas le sommeil sort de chez lui vers 3 heures du matin pour se rendre au 24/7 de Pershing Square, à pieds. Arrivé là-bas, il entre dans le magasin puis y achète deux-trois conneries tandis qu'il dépose ça à la caisse, une énorme pille de livres est déposée sur un support, à sa droite. Il en prend un avant de regarder la couverture lorsqu'il lit : Pasquale Patsy Greco.

Oh /BORDEL/ il l'a sortit son livre ! - Putain d'enculé.

Le caissier, ne portant intention qu'aux articles achetés par Mickael, continuait à les passer à la caisse tandis que ce dernier déposa également le livre devant l'type. Il ressortit ensuite puis marcha jusqu'à chez lui, laissant paraître un sentiment de dégoût mais à la fois d'appréhension sur ce qu'il allait lire sur ce livre.

Une fois rentré chez lui, il prit à peine le temps de déposer sa veste sur le comptoir du Club et de sortir ses chips du sac qu'il montait déjà les escaliers afin d'aller se poser sur un des sofas, se plongeant dans la lecture du livre.

Quelques heures plus tard, il finit de le lire. Le sentiment de dégoût sur son visage se faisait ressentir encore plus. Tandis qu'il jetait le livre sur le sofa en face, d'un geste assez violent, il marmonnait quelques mots.

On va avoir du boulot-.. Ça, c'est sûr. - Putain, n'empêche cet enculé m'en a apprit sur les types pour lesquels je bosse heh.

[Keenan O'Doherty]

Roberto Caccavelli passe dans sa librairie préférée, comme tous les mardis matins, et voit le livre de Daniel sur l'étagère.

Shit il a intérêt à faire gaffe, j'passerais le voir si j'peux.

Roberto Caccavelli passe à la caisse avec ce livre et une revue porno, puis sort pour regagner sa voiture.

[Harold Tocco]

Sean Bellini s'asseoi confortablement,le journal dans sa main droite,puis son café dans son autre main,en sirrotant celui-ci avant de le re-cracher aussitôt au sol,en balaçant :

Putin,ils ont payés se gros pédé homo' ou quoi ? Ça m'étonnerai pas qu'il soit mort une balle dans le crâne d'ici peu celui-là.

Quelques minutes plus tard,Sean se rend à un 24/7 aller acheter le livre,puis quelques heures après,il finit de lire le livre et dis :

NON,J'Y CROIS C'EST DEUX QUE ..-.. ME PARLAIT !

[Walt Butchinson]

Paulie Gravano reçoit le livre par la poste, envoyé par Avi Cohen.
Paulie vit dans une ferme avec son chien, il s'assoit dans son rocking-chair, lit le bouquin, son visage se décomposé petit a petit, se lève, jette violemment le livre de Patsy dans la cheminée. Quelques minutes après, Paulie se fait un sandwich tout en téléphonant en haut parleur a un mystérieux interlocuteur et dit :

Tu t'en occupe.

Puis raccroche, et continue l’élaboration de son sandwich.

[Katashi_Kimura]

Max_Stermann va voir sont vendeur de weed devant une librairie dans une petite ruel deserte de LS, c'est apres quelque echange qu'il voit en vitrine le livre de patsy.

Max_Stermann entre dans la librairie prend le livre en vitrine comme ci de rien n'été avant d'y sortir.

de la lecture en marchant que du bonheur

[Invite2]

Guillermo Quetzal sort du bar de Los Flores avant de grimper dans sa Mercedes E63, garée une petite centaine de mètres plus loin, à l'abri des jeunes de la 85th, puis se dirige en ville lorsqu'il voit une affiche sur un abri-bus. Ce dernier se dirige alors vers une librairie, la plus proche, en centre-ville, afin d'acheter ce qui attire tant son intention.

- Bonjour, combien il coûte votre dernier livre ?

- Le prix habituelle d'un futur best-seller, 29$

- * voix basse, ruminant dans sa moustache * Hmppf c'est cher.

Guillermo achète donc le livre, qu'il emmène dans une petite poche et stock dans sa boite a gant en repartant.

[Roscoe VIII]

DeAndre s’arrête devant la librairie sortant de sa Tahoma avec son frere jumeaux Tyrese en baillant, il pousse la porte de la librairie.

DeAndre: Hey Bro' dit moi c'est quoi son truc ?
Tyrese: J'sais pas moi !

DeAndre tombe sur le livre le regardant attentivement
DeAndre: virus un truc sur la mafia, j'me pisse déja dessus shiit.
Tyrese: Tafiole...
DeAndre: Ta Gueule ses bon j'vais l'prendre *dit-il en tremblant legerement*

DeAndre saisi le livre se dirigant vers la caisse

[Feech Capizzano]

Lucky marchait en direction du cimetière,mains dans les poches en sifflant comme à son habitude, lorsqu'une affiche étrangement noir avec une arme dessu attire son attention. Elle se trouvait au seuil d'une librairie du coin. Il s'arrête donc devant celle-ci, commencant à l'examiner en plissant les yeux pour bien lire.

Il relit cette affiche annoncant le livre une deuxième fois, ne croyant pas ce qu'il voit et retourne ses talons et recommence a marcher tête baisser en continuant son chemin comme si de rien était.

Cepandant celui-ci a une expression facial totalement différente. Il ne sifflote plus mais affiche un leger sourire en coin de levre,très sombre et lugubre, comme s'il était content suite à un mauvais coup. Il lache ensuite quelques paroles basse et roque pour ensuite ne plus rien dire tout le long du trajet.

Vous avez touché l'fond, cher Gambino.

[Joseph Baccalieri]

Kameron passe dans un 24/7, achète de la nourriture puis tombe sur le livre posé sur le comptoir de la caisse.

- Tient, Harry et Dan' dans un livre.

Kameron ouvre le livre au hasard puis lit quelques mots.

- Tony Houston ... Tony , Houston ... Tient Tient.

Kameron ricanne puis prend le livre et le pose avec ses courses.

[Sally Caruso]

Salvatore Caruso lis en diagonale les phrases du livre miteux de Pasquale Greco, qu'il a reçu anonymement le matin même dans sa boîte en lettres, repliant celui-ci en enlevant les lunettes supportant la vue de celui-ci.

Fils de pute. Pas foutu de respecter le serment...

" io brucero como il'fuoco dell'inferno ". Et ça se passera, crois-moi espèce d'enfoiré...

[Jonathan Lawless]

Mickael Uccellini, rentré chez lui après avoir passé l'après-midi à la recherche de Patsy, en vain. Il s'affale de tout son poids sur son sofa, restant enfoncé dans celui-ci quelques secondes avant de s'avancer vers le sofa en face de lui, reprenant l'ouvrage avant de se replacer sur son fauteuil.

Putain, il a dû laisser une trace, c'pas possible.

Mickael Uccellini commence à feuilleter le livre, encore encore et encore. Essayant de retrouver la trace de Patsy. Un endroit dont il parle spécifiquement parmi les 600 pages.

[Frederick Valerio]

Mike entre dans la prison fédérale, lors d'une matinée étonnement paisible au sein de l'établissement, en saluant les employés de sa main droite.

Quelques minutes plus tard, arrivé à l'étage de la prison fédérale, derrière une vitre insonorisée, au panel plus précisement, un gardien s'approche de lui, le fameux livre en question dans les mains.

Gardien : Monsieur, vous aimez la lecture ?
Mike : Ah heu... Ouais, ça dépend.
Gardien : Ce livre que je tiens dans les mains, je suis sûr qu'il vous plaira, tout le monde dis que ce sera un best-seller !

Le gardien tend le livre vers Mike, de sa main droite, juste devant ses yeux.

Mike fixe longuement la couverture du livre, à la vue du mot "Mafia" écrit en lettre capitales, il s'empresse d'analyser la couverture de ses yeux, à la recherche d'un quelconque nom, qu'il connaîtrait, puis se stoppe net quelques secondes sur la phrase écrite en bas du livre "Basé sur l'histoire vraie de Pasquale Greco"

Puis, il attrape vivement le livre de sa main droite, se relevant de sa chaise dépliée d'un air plutôt énervé, sans lâcher un seul mot, et se dirige vers la sortie de la prison fédérale, d'une démarche rapide.

Gardien : Je vous le prête si vous voulez, vous verrez, c'est passionant ce que l'auteur raconte dedans !
Mike, marmonnant dans sa barbe : Ouais, j'en doute, putain d'enfoiré.

A la sortie de la prison, il s'empresse d'attraper son téléphone, et d'appeler un de ses compères, pour répandre la mauvaise nouvelle.

[Gabriel Martinozzi]

Pete Melchionne Ancelotti

Pete Melchionne entre dans le 24/7 de la gare de Los Santos pour trouver y le fameux livre dont tout le monde parle, "Mafia, Inside the Gambino Family". Il n'eut pas à le chercher longtemps car il était à côté de la caisse même, entreposé ici comme étant un livre évènement. Après l'avoir acheté, il se dirige vers l'hôtel où il loge pendant son séjour à Los Santos, s'installe sur son lit puis commence à lire les première pages en livre, Glock 17 en main, prêt à trouer de toutes parts ce livre de l'enfer...

T'as tué mon père espèce de salopard, mais moi t'inquiètes-...tu sais pas qui j'suis, mais j'suis l'plus grand tueur que la planète terre a jamais connue...

[Charles_Goldberg]

Charles Goldberg aperçeoit l'annonce du livre comme étant un best-seller sur internet, il hésite, puis enfile son veston pour finalement sortir de chez lui.

Deux heures plus tard, Charles était déjà assis sur son lit en train de lire son nouveau roman. (( Charles Goldberg ))

Mmmmh... très enrichissant comme ouvrage...

[Sally Caruso]

Salvatore Caruso rentre tardivement chez lui, fumant un cigare en défilant les pages du " best-seller ", hochant la tête de haut en bas en disant:

" T'as eu c'que tu méritais, maintenant t'es mort, ton sort est scellé-.. Bah. "

[Liam McKnight]

Renko passe dans le 24-7, pour acheter un paquet de JPS. Il s’arrête devant le petit étalage de livre, et fixe son attention sur celui a la couverture noire avec un flingue. Il le prend, le feuillette rapidement, et le repose en souriant.

- Ils connaissent pas l'Omerta ces tocards ? ça f'ra plaisir aux collègues du FBI remarque..

[Samuel Lowinsky]

Marzio Amaro , passe dans une superette et achéte une petite bouteille de jus de citron et une bouteille de whisky puis machinalement sors ses pièces en regardant le vendeur il appercois le livre derrière il l'attrappe et l'achéte donc

Putain..incroyable..

En arrivant dans sa voiture il pose ses achats et commence a feuilleté le livre le visage fatigué et choqué

Daniel..Daniel..Ah shit je m'en souviens de ce putain d'affranchi de merde quel petite merde..
D'un coup innatendue Marzio ce met a hurler seul dans sa voiture
ENCULER DE MERDE , *en tappant sur son tableau de bord*
/do Marzio a les larmes aux yeux il se penche et sors de sa boite a gants un mirroir et de la cocaine qu'il prepare en 3 rails puis qu'il snife rapidement l'aire detendue

[Franck Cagliani]

Leather rentre chez lui, poussant un long soufflement comme soulagé de rentrer enfin dans sa petite bicoque après une saloperie de journée de merde, comme il les appelle familièrement. Il baisse les yeux vers le parquet, encore luisant du passage de son entreprise de ménage à domicile favorite, et y découvre un paquet, enveloppé dans du papier couleur carton. Il se plie en deux, l'attrape et le déchire d'un coup sec, laissant découvrir cette fameuse couverture.
Quelques instants plus tard, on retrouve Leather avec 1 bouteille de whisky dans la main gauche et le bouquin dans la main droite, effondré dans un fauteuil en cuir déjà bien usé, un fusil à pompe posé sur la table basse semblant prêt à servir. La radio est allumée, comme à chaque présence de Leather chez lui, sauf que cette fois c'est le mode disque qui est enclenché.

T'aura pas fais long feu, saloperie de trou du cul d'empafé de merde. Tu croyais qu'on pouvait causer sur moi comme ça hein ? Putain d'bordel.. Ca fait chier qu'a notre époque il existe encore des fils de putain dans ce genre v'voyez ? Ça me les brise, tiens. Fallait bien que ce soit un Gam'bite pour faire ces révélations de mes couilles. Bullshit motherfucker... Damn.

Il reste quelques instants bloqué sur une des pages, puis se précipite à la fenêtre en lâchant sa bouteille de whisky déjà à moitié avalée, puis empoigne son fusil avant d'ouvrir la fenêtre. Il balance le livre en l'air, vers le canal, puis tire deux coups de fusil dedans, à la façon d'un "Ball-trap". Leather a les yeux écarquillés, des cernes ceux-ci, et à la mâchoire contractée, comme lorsqu'il vient de vivre une expérience particulière éprouvante. Si il y avait eu un inconnu dans la rue, il l'aurait surement descendu, sans aucune raison valable, juste pour se défouler comme il l'avait fait avec cet ukrainien, dans la journée. Par chance.. Il n'y eu personne.

Spoiler:

[Peter Filkowski]

Philip Rosenberg se réveille chez lui, à côté d'une femme inconnue. Il loge dans une des chambres de son petit motel sur Yiddish street, une chambre assez grande mais mal entretenue, et une AK47 sur la table basse, la télé allumée, le son bas. Il se lève en poussant légèrement la femme, la réveillant. Celle ci se blotti contre Philly, qui la rejette avant d'ouvrir la fenêtre pour prendre un peu d'air. Sans ménagement, il renvoie la femme de chez lui, qui file sans un mot. Après quoi il se dirige à la petite épicerie à côté de chez lui, avec sa robe de chambre. Il croise pendant les 10 mètres qu'il doit parcourir le rabbin du coin, Isaac, le salue rapidement, puis celui-ci lui fait un sermon sur le fais de recevoir des prostituée chez sois. Quinze minutes après qu'il ait finit de le faire chier, Philly entre dans l'épicerie, et achète trois baguettes, comme à son habitude. Mais cette fois, il s'arrête sur le livre posée à la sortie du magasin, sur la caisse. Il s'en saisis et sort comme si de rien n'étais, se disant à voix basse "Je le connais, cet enculé..."
Il lit le livre deux heures, jusqu'à 10h30, puis reçoit un appel étrange "Ramène toi à ma ferme et occupe toi de deux petites merdes". Il jette le livre sur son lit défoncé et se dirige vers la porte rapidement.

Spoiler:

[Allen Hughes]

Allen dévore le livre chez lui, un sourire aux lèvres à la lecture de certains passages.

[Razvan Botezariu]

(( EDITER , trop de rageux quand tu veux rigoler avec eux. ))

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