Floyd Okano, l'homme en noir.

[Juscelio Ottavio]

“ Ce récit débute il y a maintenant vingt-six ans. Plus précisément le 26 Mars 1989 à General All Saint Hospital. Floyd, Nagashiro Okano fils de Nagashiro, Shiwezaki Okano et Yaeko Yasuda. Deux parents japonais qui sont venus à Los Santos lorsqu'ils étaient enfant. Yaeko, une chirurgienne de l'hôpital en question et Nagashiro un directeur d'un cabinet d'avocat assez aisé basé sur Market Street. Ces deux parents ont fait grandir leur petit enfant dans les traditions de leur pays car ils voulaient que ce dernier garde toujours des racines de ses ancêtres. Il a ainsi été éduqué convenablement malgré que ses parents n'étaient pas souvent à la maison. Il a reçu une bonne éducation et a été envoyé dans une école privé pour qu'il ai toutes les cartes afin d'avoir un avenir convenable. Mais tout à changer il y a maintenant une dizaine d'année, lorsque des japonais vêtu de costume noir se sont installés en ville. Floyd nous raconte ainsi son histoire ...” Chapter One : Des études à la rue. Comme vous devez le savoir, nous sommes en 2005. Mon père est encore moins présent à la maison qu'avant. Je ne sais pas ce qui se trame. Je le vois souvent dans le salon en compagnie de trois hommes déguisés en costume noir et une cravate. La plupart d'entre eux portent des tatouages sur les avant-bras ou dans le cou. Maman, quant à elle, elle se réfugie dans la chambre, en pleure. Je commence à être seul, délaissé par une famille qui m'a pourtant tant offert. Pourquoi, ces hommes sont-ils à la maison ? Voilà la question que j'ai posé à mon père. C'est alors qu'il m'a regardé, assit sur l'une des chaises de la cuisine pendant qu'il était entrain de travailler sur des dossiers assez louche avec noté des sommes d'argents à six chiffres. Nagashiro : - Mon fils, prend place. Ce que je vais te dire, tu vas devoir garder le silence. Je l'ai alors regardé en écarquillant les yeux, pensant alors qu'il allait m'offrir le tout dernier vélo que je souhaitais afin d'aller en cours. Mais .. Non, en fait il a fait en sorte que mon petit monde s'effondre. Nagashiro : - À compter d'aujourd'hui, je ne veux plus voir ta présence lorsque je suis en rendez-vous d'affaire. Le mot "père" ne doit également plus faire éruption de ta bouche sous peine que je te donne une bonne correction. Je suis resté abasourdis par ce que je venais d'entendre. J'ai alors décidé de me lever et j'ai exécuté les ordres qu'il m'avait annoncé. Mon père, celui qui m'a offert la vie veut nous renier. Il ne veut plus que je me nomme Okano. J'ai alors prit la parole en quittant la pièce. Floyd : - C'est comprit, Monsieur ! J'avais les larmes aux yeux. C'est ainsi que j'ai cherché du réconfort comme je pouvais. Malgré une mère absente et un père qui n'en était plus un, je me suis forgé à ma façon. Selon les traditions que l'on m'a enseigné. Je me suis retrouvé à m'endurcir dans la rue. J'ai commencé à traîner avec des jeunes plus âgés que moi. De toutes les éthnies, Latino, Afro-Américain, Blanc. Je ne me sentais pas chez moi cependant, tout ce que je voyais était contraire à ce qu'on m'a enseigné. Les jeunes traînaient dans les rues, se droguaient, buvaient mais surtout ils avaient déjà des tatouages. Ils prônaient des airs de voyou alors que moi, je voulais resté soigner le plus possible. Mais bon, vous connaissez les choses mieux que moi. A force de rester avec ce genre de personne, nous devenons comme eux. Je me suis prit au jeu de fumer avec eux, boire, traîner jusqu'à pas d'heure. J'ai alors oublié complètement ce qu'était une tradition et également le respect envers notre famille. A mes yeux, j'étais seul au monde. Intouchable avec cette bande de loubard. Tout ce que je voulais pourtant, c'est avoir un intérêt aux yeux de mon père qui m'a laissé tomber. To be continued...

[Invité]

Pas mal, j'aime bien.

To be continued....

[McBob]

Pas mal, j'aime bien.

To be continued....

Méme idée quelle

[KVL92]

J'aime bien mon gars sûr!

[Nasta Mechtcherski]

Pas mal !

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