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Roger Young ~ Dirty Street, Dirty Money [BackGround]

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Roth Zilberman
Roger Young
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Message par Roger Young Jeu 16 Aoû - 5:39

Roger Young ~ Dirty Street, Dirty Money [BackGround] 21193-15



Chapitre I : Rue sale argent sale.

Juin 82, c'est un jour qui n'aura jamais d'égal dans ma vie, il s'agit du jour où je suis sorti du ventre de ma mère. C'est à partir de ce moment-là que Los Santos aurait dû s'inquiéter, mais il était encore trop tôt pour que mon nom soit encré dans l'esprit des nobliaus. Mon père vendait de la drogue, mais il passait aussi le plus clair de son temps à revendre les voitures volées des copains. Quant à ma mère ... Maman .. Elle a toujours été plus ou moins accroc au crack, grâce à elle j'ai grandi sans ressentir le besoin de toucher au cailloux du diable ou a toutes autre drogues d'ailleurs. L'arrivée de la dope à Ganton a changé beaucoup de choses pour les raclures du quartier, mais derrière une telle aubaine, ils laissaient des familles dans la tourmente et déchirées. Dans un quartier dît normal, on me qualifierait certainement de béjaune et béotien, mais dans mon quartier, j'ai toujours été quelqu'un de réfléchi aux yeux de la populace.

J'ai grandi à Ganton, mais ça je l'ai déjà dit. Mes parents fréquentaient des gens de la pire espèce, qui venaient tous de bas fonds. Entre les taulards, les dealers et même plus encore, les tueurs, le seul exemple auquel j'ai toujours accordé de l'importance était celui de mon père, lui au moins il savait ramener de l'argent et même si on ne vivait pas dans le luxe, on ne manquait de rien, ou presque. Mais vous le savez, on ne choisit pas ses parents et encore moins l'endroit où l'on va grandir. Comme je l'ai toujours dit et le dirai toujours : Quand les rues sont sales, l'argent ne peut être que sale.

Depuis mon plus jeune âge, j'ai toujours souhaité vivre dans l'opulence. J'ai rêvais quelques fois de pouvoir, de femmes, de belles voitures, enfin tout ce que je pouvais voir dans mon quartier. Je n'avais donc aucune échapatoire possible si je désirais réaliser mes souhaits, je devais devenir un loubard. Après tout, je n'avais rien à perdre. J'attendais que la police m'arrête. En prison au moins, on est logé, nourrit et on est au chaud, pas comme les hiver de Ganton. Mais à cette époque là, tout ça n'était qu'utopique, j'étais encore qu'un gamin.

Nous sommes en 92, un scandale vient d'éclater. Alors que j'allume ma télévision, qui était encore en noir et blanc à cette époque de Ganton, une vidéo amatrice déferlait sur les chaines nationales. Le contenu de cette vidéo était tant authentique que clair, les violences policières n'étaient pas un mythe. Sur cette vidéo, un noir du nom de Rodney King se faisait tabasser à coups de matraques. Plus tard dans l'année, nous avons eu vent du procès à l'encontre des policiers, ceux-ci auraient été innocentés, fallait-il croire qu'une conivence certaine aurait été instaurée ? Je n'aurais jamais pensé que ce procès pouvait être l'interlude de deux événements majeurs dans l'histoire de la Los Santos noire. Plusieurs jours après que les policiers aient été innocentés, Jefferson devient le thêatre d'importantes émeutes raciales. La police est attaquée à coups de briques, de tessons de bouteilles et même d'armes à feu par une foule frénétique et déchaînée. Je peux vous assurer que même dans Ganton les émeutes se faisaient ressentir, mais au lieu de s'en prendre aux forces de l'ordre, les noirs s'en prenaient à d'autres noirs. C'est d'ailleurs cette année là que le taux de criminalité de Los Santos atteignait son maximum.

Je n'avais plus le choix, les écoles prennaient feu, la violence êtait Reine de la rue, et les noirs tuaient des noirs. Je suis donc resté chez moi durant six mois, six mois qui auront été éprouvants. L'êtat de ma mère s'empirait et papa avait été descendu à Jefferson par une bande de dealers. Je n'ai jamais sû pourquoi ils s'en étaient prit à lui. Il n'était peut-être pas le meilleur père au monde, mais il n'hésitait pas à se mouiller dans des histoires louches pour nous faire vivre et manger. C'est peut-être ça qui l'a emporté. Toujours étant, ma mère m'avait raconté que la police était sur les lieux lors de la fusillade mais qu'elle n'aurait pas agit. C'est à partir de la mort de mon père que mon esprit vindicatif s'est développé, je dirais même qu'il a prit des proportions démesurées.

Décembre 96, j'ai 14 ans et je commence à avoir du poil au menton, mince je m'égare. Cette année, les statistiques démontrent que le taux de criminalité était en baisse à Los Santos. Et même si Ganton était toujours agité, on pouvait constater une nette amélioration. Depuis petit je rêvais de pouvoir, et c'est cette année que j'ai commencé à trainer devant mon block avec les jeunes du quartier. Eux aussi avaient une famille à problèmes, mais avec le temps j'ai apprit que tout Ganton était un problème. En partageant de longs moments avec eux, nous avons pû nous trouver beaucoup de points communs. On passait notre temps dans la rue, c'était notre façon de remercier la rue de nous maintenir en vie. Avec mes potes on lançait les dès, au début on misait des lots rudimentaires, rien de bien mirobolant, des bandanas, des boissons et même des boites de céréales. Puis le temps est venu où les plus âgés du Block ont commencé à nous impliquer indirectement dans des histoires où il n'était pas conseillé d'y mettre les pieds. Nous n'avions donc aucune solution autre que de leur demander leur protection. En échange de leur protection, on devait faire de petits boulots pour eux : Livrer de l'herbe, ramener des breuvages alcoolisés mais jamais je n'aurais pensé passer au stade supérieur.

1998, les choses commencent à prendre de l'ampleur. Je reçois pour le première fois un arsenal monté par nul autre que les frères Morner. Les frères Morner c'était les types qui géraient le point de vente au sud de Ganton près de Piru Street, mais il est encore trop tôt pour parler d'eux. J'avais donc un colt 45 en main, un vrai bijou pour moi qui avait toujours convoité les armes de Papa. Cependant, je ne m'attendais pas aux conditions qu'allaient me fixer les anciens du Block. Je m'en rappelle encore, il était 8:16 pm, mon front était couvert des minuscules gouttes de sueur froide. Mes mains étaient moites, ce qui ne facilitait pas la prise de l'arme en main. J'étais dans un clover qui tenait à peine sur ses quatre roue. Le véhicule allait à toute allure en se dirigeant vers Jefferson, à Grape Street. Une fois sur place, nous avons pû aperçevoir un groupuscule de cholos qui déblatéraient avec un simple client, mais le sujet de leur discussion m'échappe encore, je n'étais pas concentré sur le sujet à vrai dire. Je passais le bras par la vitre, l'arme à la main. Le doigt sur la gachette, les gouttes de sueur froide se faisaient de plus en plus denses sur mon front. Je tremblais tellement que tous les junkies du Block se seraient jeté sur moi pour que je les accompagne aux toilettes si ils auraient été là, à ce moment crucial. Un moment précurseur pour la vie que je menerai par la suite.

BOUM ! Je venais d'appuyer sur la gachette et un des mexicains était touché au niveau du sternum. Du sang coulait à profusion le long de son buste béant. Je me rappelle encore du regard qu'il m'a lancé quand il s'est prit la balle en plein buffet. Un regard rempli d'innocence, d'amour. Enfin bref, ça y est, j'étais du gang ! Quelques heures après avoir commis mon premier meurtre, mon jump'in a été organisé et les membres du gang se sont défoulé sur moi. Je pouvais à peine bouger. Ils s'étaient vraiment lâché, à croire qu'ils voulaient me tuer. C'est bien ce que je me suis dit pendant un instant. Une fois le jump'in terminé, ils m'ont tour à tour serré dans leurs bras. Je faisais maintenant parti de la famille, mais est-ce qu'ils m'avaient donné le choix ? Je n'en suis pas si sûr. Mais comme il se dit : il faut casser des omelettes pour faire des oeufs.

Chapitre II : Quartier riche, aucune règle.

Alors que je commence à vendre des premiers dollas d'herbe, les premiers deals se passent sans encombe et la clientelle du block ne désemplit pas. Peu à peu je commence à me faire un nom dans le block et les anciens m'accordent plus de responsabilités quant à mes fonctions de petit dealer. Très rapidement j'ai apprit à couper toute sorte de drogue, mais le plus important des apprentissages résidait dans le crack. L'année touche à sa fin et le passage de relai entre decembre et janvier se fait sans incident aucun.

99, ou encore l'année de l'opulence. Je suis à présent un soldat à la solde du gang, et les anciens me laissent brader mon crack sans aucune taxe imposée. De temps à autres, je suis appelé pour des missions à risque mais, mes homeboy sont toujours présents pour couvrir mes arrières, comme je suis présent pour couvrir les leur. Comme vous pouvez le remarquer, je suis à présent un membre respecté avec une notoriété certaine qui s'installait de jour en jour dans les rues de Ganton. Dans mon block, tout est organisé dans le but d'offrir un meilleur confort aux membres de la bande, les anciens partagent leur repas avec nous, très souvent on fait des grillades, même si ça fait maintenant peut-être deux bons mois que je n'ai pas touché à une merguez. Quand on avait besoin d'argent ils savaient nous avancer de bonnes liasses à condition que l'on rembourse tôt ou tard cet argent sans oublier les intêrets. Enfin bref, le block s'est transformé en une grande famille, une famille qui assure la protection de chacun d'entre nous, et qui nous offre la possibilité de se faire un nom et de grimper dans l'échelle de la societé. Mais papa me disait "Plus haut le singe se perche, plus il expose son derche", il n'avait pas tort, les ennuits allaient très vite arriver sans que je puisse les voir venir.

Avril 99, les anciens nous convoquent d'urgence. Ils nous font part de leur inquiétude à propos d'une affaire qui se serait montée à Piru Street. Un reseau de dealers s'approprierait les clients du block en divulgant des ragots sur la dope du block. Très vite on entendait dire que notre dope était coupée à la lessive, mais bien entendu, ce n'était qu'à moitié faux. Nous n'avions donc pas le choix, et avions à agir. Une dizaine de soldats se regroupe, chacun d'eux est armé, l'un plus que l'autre. Plusieurs voitures partent. Avec l'argent de la dope on a pû remédier à nos anciennes clover qui n'étaient plus que des carcasses putrides. Nous avons investi dans des véhicules de bon marché et des jantes qui faisait plus d'un jaloux. Nous sommes à Piru Street, je constate très rapidement que les dealers arborent des bandana rouges et ne lésinent pas sur leur couleur. Un des soldats sort du véhicule et se dirige vers un des dealers, le coordinateur de la drogue plus précisément. Succinctement, le soldat se fait descendre sous les yeux impuissants des autres sbires du block. C'est alors qu'une fusillade s'engage, faisant trois morts chez les Piru, et deux chez les soldats. Face à un tel sous nombre, les Piru sont contraints de s'enfuir, laissant derrière eux les corps de leurs collègues de la rue. Depuis ce jour, le block et les Piru sont en guerre. Les Piru arboraient des bandanas rouges, le block opta pour des bandanas bleus. Ces deux gangs rejoignaient la multitude d'autres gangs qui étaient déjà engagés dans cette guerre acharnée pour le contrôle et l'argent.

Le soirée s'installe, il fait assez froid pour un avril Gantonien. Toute la famille se regroupe en bas de l'immeuble, une discussion était orchestrée par les anciens, ou encore les Old Gangster. C'était leur nouveau surnom depuis qu'ils avaient opté pour le bandana bleu. Je tends l'oreille et un nom famillier vient à mes oreilles, Morner. Depuis que ces derniers m'avaient confectionné mon 45 je n'avais eu plus aucune nouvelle. J'aurais dû y penser plus tôt, des grossistes en armement sur Piru Street, ça paraissait évident. C'était donc eux les anciens de Piru Street, ceux qui étaient à la tête de ce reseau de dealers aux bandanas rougêatres. Avec le bon nombre de contact que les Morner Piru avaient, on pouvait s'inquiéter et pas qu'un peu. Je m'attends au pire, et si une armée se montait et qu'ils décidaient de nous éliminer uns à uns, qu'adviendrait-il de nous, du block, de notre famille ? J'avais vu juste ... Une semaine après la fusillade de Piru Street on commençait à avoir des echos par de sources sûrs comme quoi un 187 se préparait. C'était la frénésie au block, les soldats étaient désamparés et les anciens buvaient autant que possible, ils pensaient sûrement que leur breuvage éviterait l'inévitable. Il n'a fait que dissiper l'angoisse qui résidait au fond de nous tous. En plus de ça, une odeur pestilentielle se dégageait des block, j'aurais parié pour un mélange de crack et de vomi putride.

Mars 99, il est 7:49pm, nous recevons une visite des plus étonnantes puis qu'elle n'était pas accompagnée de violence, de balles et de sang. Les Morner Piru ainsi que quelques dealers de Piru St pointèrent le bout de leur nez. De loin, je peux entendre la discussion qui se fait entre les frères Morner et les anciens du block.. Trêve, crack, police, mouchards, c'est tout ce que j'ai pû retenir de ce logorrhée. Plus tard dans la soirée j'apprends que les Piru St n'auraient jamais tenté de nuir à la notoriété du Block mais qu'une bande de cholos qui voulaient reprendre le business du quartier tentait de diviser tous les gangs du quartier afin de mieux régner. Ca me revient maintenant, la première fois que j'ai tué un homme, le dialogue qui était instauré conçernait le business des gangs de Ganton, les mexicains manipulaient les clients de renommé. De plus, la fusillade de Grape St n'avait pas arrangé les choses et c'était à partir de là que les choses se sont empirées.

Une fois les emmerdes terminées, on a pu reprendre notre business tranquillement, sans que personne ne vienne nous faire chier. J'vendais d'la dope, comme tous les mecs du ghettos et j'emmerdais ceux qui étaient pas contents. J'emmerdais les flics, les latinos, ceux qui étaient hors de Ganton, enfin j'emmerdais tout le monde. J'crois que c'était ça d'être un loubard, et j'nagais enfin dans l'opulence, j'ai pu très rapidement m'acheter ma première caisse, une savanna qu'un mec de West Ganton avait volé à l'occasion, mais comme un pote à lui bossait dans un garage il a pu faire changer l'immatriculation.

J'crois que c'est ça le rêve américain, éviter les balles, être là pour sa famille, et même s'il fallait que je crêve, j'en avais plus rien à foutre j'avais perdu mon père et une dizaine des cousins du block. Mais si j'devais crever, ça sera les armes à la main et pour mon quartier.

Après avoir achêté ma première voiture, j'arrêtais pas de flamber avec, en même temps c'est plutôt classe de trainer son cul d'négre dans une Lowride avec des jantes d'enfer, non ? Très rapidement ma notoriété s'est décuplée et les clients se faisaient de plus en plus dense. Avec l'argent qu'on recevait des deals on a investi et on s'est mis à la vente d'armes, des armes de petit calibre du genre 45, c'est ce qui se vendait de mieux à l'époque. Pratique, peu coûtant, et surtout facile à dissimuler. Inutile de préciser que les anciens du Block étaient pleins aux as. Après ça, les clients ont commencé à nous surnommer les Nutty du Block, les cinglés du Block. Peu à peu le block est devenu le Nutty Block de Ganton.

La fin de l'année 99 approche et Monkey décide de me tatouer histoire de marquer le coup. Ce crétin m'avait tatoué une fleur bleue sur l'avant-bras, il a déjà vu des fleurs dans l'ghetto ? Putain quel enfoiré quand j'y repense. Peu de temps après m'être fait piquer le bras un descente de la police s'abat sur le Block et un des anciens se fait fait embarquer étant donné que la police avait un mandat d'arrêt contre lui pour homicide. A c'qu'il paraît il était recherché depuis plusieurs mois, mais il était difficile pour la police de retrouver un homme avec pour seul indice son surnom de la bande. Mais il n'était pas le seul, la police m'a également embarqué pour traffic de crack, inutile de chercher plus loin il y avait un mouchard parmi les clients qui se pointaient au block et on allait pas tarder à mettre la main sur cet enfoiré.

HRP : Suite prochainement


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Message par Roth Zilberman Jeu 16 Aoû - 9:32

Pas mal du tout. Si je peux juste te donner un tout petit conseil ce serait de mettre des images. Cela donnerais de la couleur et de la vie à ton Background Smile
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Message par Roger Young Jeu 16 Aoû - 15:49

Des images seront ajoutées dans le texte incessamment sous peu.


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Message par Dominick Azzinaro Jeu 16 Aoû - 19:52

Sympa, vraiment prenante comme histoire. J'ai bien aimé.
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Message par Roger Young Ven 17 Aoû - 4:25

Mise à jour effectuée, addenda d'un second chapitre. Dans cette seconde saga, nous sommes en contact direct avec le Roger qui est trempé jusqu'aux os dans les affaires louches. Bonne lecture !
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Message par Saito Kamachi Ven 17 Aoû - 15:23

On doit avoir le même style d'écriture lorsqu'il s'agit de raconter une fusillade.
Sympa donc.
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Message par Invité Mer 22 Aoû - 4:52

Gud, ont s'reverra In Game.
Nutty Block Crip !

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Message par Angel Flores. Mer 22 Aoû - 20:19

Espèce de méchant tueur de mexicain Sad beau background j'aime bien, en plus tu fait interférence entre la vrai vie, car dans les années 1990-2000 Compton était inondés de dealeur de crack,accro. En plus il n'y à presque pas de fautes, des mots complexe dans la langue française, bon vocab' vivement une suite Razz
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Message par Roger Young Mer 22 Aoû - 22:58

Merci pour vos critiques, la suite arrive dès que possible.
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Message par Reginald Broadus. Mer 31 Oct - 21:38

T'aurais pu te creuser plus la tête sur le nom de ta faction au lieux de pomper?
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